Dans le dessin ci-dessous, résultat de la fusion et de la confusion d’un certain nombre de symboles la croix du Christ sur laquelle est mort le Seigneur pour nos pêchés disparait dans une sorte de salmigondis * .
- Salmigondis = ….Conversation, discours ou écrit où sont mêlées confusément toutes sortes de choses disparates; Personnes réunies au hasard.
20 septembre 2016 : Le pape François à Assise pour la journée mondiale de prière pour la paix
30 ans après la visite de Saint Jean-Paul II (27 octobre 1986), cette rencontre interreligieuse a pour thème « Soif de paix. Religions et cultures en dialogue ». Elle est organisée par la Communauté de Sant’Egidio.
Le 20 septembre, la ville d’Assise sera de nouveau le théâtre d’une rencontre interreligieuse, 30 ans après celle historique qui réunit le pape Jean-Paul II et 120 responsables religieux.
« Soif de paix », c’est le nom de la rencontre internationale organisée du 18 au 20 septembre prochain. Une rencontre à laquelle participera le pape François pour la dernière journée. Trente ans après la rencontre d’Assise convoquée par Jean-Paul II qui avait réuni environ 100 leaders religieux, près de 500 responsables sont attendus cette année, parmi lesquels Bartholomée Ier, le patriarche de Constantinople, ou encore Justin Welby, l’archevêque de Canterbury.
Nous avons interrogé Marco Impagliazzo, le président de la communauté Sant’Egidio, qui fait partie des organisateurs de cette rencontre, avec le diocèse d’Assise et la Famille Franciscaine.
Pour lui, l’esprit d’Assise est de se désolidariser de la violence des religions, dans un contexte marqué par le terrorisme. La rencontre veut être l’écho des peuples qui souffrent, et non seulement des leaders.
Radio Vatican
Et aussi :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rencontres_d%27Assise
Et pourtant le Christ a été très clair. Il n’a pas dit de baptiser les nations au nom de Mahomet, Shiva, Boudha,Brahma ou Confucius mais bien de les baptiser au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit.
Evangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 28, 18-20
Au temps de Pâques, Jésus ressuscité adressa ces paroles aux Apôtres : « Tout pouvoir m’a été donné au ciel et sur la terre. Allez donc ! De toutes les nations faites des disciples, Baptisez- les au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit ; et apprenez-leur à garder tous les commandements que je vous ai donnés. Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde. »
Seuls deux hommes peuvent stopper l’Anté-Christ qui se profile.
Le premier est retenu prisonnier au Vatican.
Reste le second…
Aussi incroyable que celà puisse sembler, il y a 500 ans, le Mage de Salon a prévu le retour de la Royauté en France. Nostradamus a appellé notre Roi le Grand Chiren -de Henri, Henririch, Chiren, Cyrénen, le Lys qui aide à porter le poid de La Croix- ou le Lorrain V. Il connaitrait sa propre identité depuis Juillet 1999 : selon Raspail, ce Roi incognito, Bourbon inconnu et masqué aux yeux du monde comme l’est Benoit XVI depuis sa démission, pourrait avoir commencé à régner dans l’ombre, ce qui créerait un sentiment de grande frayeur parmi les ennemis de la France et de la Chrétienté, ayant déjà commencé à consulter, bâtir, organiser -et même conspirer!- à tisser sa toile, comme une Chouannerie moderne et, d’allégeance en allégeance, instituer un Royaume parallèle, invisible aux yeux d’Yves-Marie Adelyne mais pas à ceux de Jean Raspail, et dont la trame irriguerait silencieusement le corps encore sain de la Nation.
En certaines circonstances, l’Eglise s’est revivifiée de cette manière là…
Notre Roi caché : Catholique d’une haute élévation de sentiments, tel un Chevalier de Malte au service des déshérités, incollable sur les Ordres de Chevalerie antiques ou encore existants comme sur les hauts lieux d’apparitions Mariales, suivant silencieusement les déplacements de la Jet Set, possédant un passeport de l’Ordre Souverain de Malte, ayant ses entrées à la cour Royale d’Angleterre et usufruitant d’un bolide de rêve -une corvette Stingray modèle 1965 de couleur noire- résultant enregistré au parc automobile de la Maison Blanche, où personne là-bas ne semble rien savoir…
Immaginons un Roi inconnu comme un nouveau pauvre bien né qui hante les pèlerinages mariaux, les cercles Royalistes, les salons Aristocratiques, les Ordres de Chevalerie, les permanances politiques, les chancelleries diplomatiques, tel Ulysse déguisé en mandiant ! Un Français sur deux voudrait un Roi de nouveau en France, un sur trois voterait pour un candidat Royaliste et attendent un Roi ayant des pouvoirs et un sur 4 que ce Roi soit constitutionnel.
Notre Roi caché n’est pas un super-héros de cinéma holiwoodien. Tout juste un résistant. Un peu comme le Fantôme de l’opéra, qui fait parfois entendre sa voix mais sans qu‘on le voit. C’est une sentinelle Française, à la Franck Abed. Une présence invisible, qui veille sur la France. Un gardien silencieux. Un Chevalier Blanc dans l’obscurité…
Quand la justice l’exigera, Dieu le révèlera. Il viendra alors sauver le pape et la France.
Dans l’attente : aujourd’hui, les Princes Jean et Louis-Alphonse décrochent leur téléphone et appellent quand ils veulent les Princes étrangers, aussi bien issus de Familles régnantes que prétendantes: le Prince Jean, en particulier, possède un statut reconnu internationalement, étant apparenté avec toutes les Familles Royales d’Europe, ce qui lui ouvre toutes les portes!
Le Roi caché, qui qu’il soit, est selon la tradition prophétique le Roi Blanc, le Roi du Miracle tenu Providentiellement en réserve pour la régénération future de la France et il mènerait en attendant une vie retirée et pénitente : le Roi futur n’aurait d’ouverture Princière que comme descendant de Louis XVII, et ce vers les Habsbourg comme peut-être, à travers eux, vers les Bourbons d’Espagne, de Naples et de Parme.
Il serait relativement isolé auprès des Cours, sa seule force ne pourra être que politique. La théorie successorale ne résout plus rien aujourd’hui, car, à l‘heure où notre Etat est bradé, nos ville souillées, nos Eglises vidées, notre jeunesse brimée, abandonnée, livrée, il est n‘est pas impossible que les Français ne se ressaisissent et réclament avec force qu‘une haute et Sainte Légitimité vienne consacrer l‘Etat Français, et le Prince, qui qu‘il soit, devra être à la hauteur de sa Naissance : seule l’action politique peut donner du poids au futur Grand Monarque, comme elle en donna au Comte Henri de Chambord.
Une silencieuse action Conterévolutionnaire reconstructrice, ne voyant comme le Comte de Chambord de destin Français que dans le cadre de la Chrétienté, de Mission Française que dans la fidélité de la France à son baptême et ne voulant de salut national que dans l’esprit de justice, et soutenant les causes Royalistes étrangères citées plus haut qui lui sont proches…
Le jeu du Roi : une action Royale que nous pouvons aider, relayer -même si nous ne connaissons pas l’identité du Roi caché, même si nous savons pas s’il connait ou pas lui-même sa propre identité, mais seulement parce que nous savons que Dieu nous l’a promis et annoncé, et tout en restant chacun à son poste- par une action politique Royaliste Providentialiste consacrée au double Coeur de l’Amour surmonté de la Croix du Sacrifice qui est la représentation des Coeurs-Unis, action qui serait en cela une véritable Joie de Dieu.
Prions pour notre Roi caché et applanissons-lui les chemins par une action Catholique et Française, Royaliste et Providentialiste, à la manière de l’Abbé Georges de Nantes ou du Vicomte Pierre d’André…
La France, redevenue la Fille Ainée de l’Eglise et l’Educatrice des Peuples, pourra réaliser la parole de l’Evangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 28, 18-20…
Quand au cardinal de substitution, faisons notre la devise de la Princesse Christine de Kent :
-BIEN FAIRE ET LAISSER DIRE !
Que le Ciel vous entende cher ami !
Toutefois, prenons garde aux « loups revêtus d’une peau de mouton », aux faux prophètes annoncés par Notre-Seigneur, faux prophètes capables d’abuser les élus eux-mêmes si c’était possible !!!
Grande prudence ! ceci ne veut pas dire que nous ne devons pas regarder les signes que nous envoie la Providence : regardez : cette année a vu le retour en France de l’Anneau de Ste Jeanne d’Arc : sans son action, début XVème sièce, la France serait devenue protestante 100 ans plus tard ! Et aujourd’hui : ce n’est pas le protestantisme qui menace la France, mais 100 fois, 1000 fois pire !!! c’est l’Islam qui la menace du haut de toutes ses horreurs, abominations en tous genres et idioties monstrueuses !!! alors, que va faire le Seigneur ? combien de Jeanne d’Arc va-t-il nous envoyer ? Faisons-Lui confiance ! après tout, l’Islam n’est-il pas le châtiment que Dieu nous envoie pour nous punir de nos crimes, renoncements et infidélités de toutes sortes ??? pour nous punir de nous être donnés entièrement entre les mains de la satanique maçonnerie, ses pompes et ses basses oeuvres depuis plus de 200 ans !!! On ne l’a pas pas volée, notre punition musulmane je pense !!!
Amitiés à tous.
Mise à jour de La Porte Latine, le site officiel du District de France
Vendredi 23 septembre 2016
En ce 170ème anniversaire de La Salette et du 30ème anniversaire du scandale d’Assise nous rappelons ces merveilleux, ces terribles et prophétiques mots de Léon Bloy dans « Celle qui pleure » :
« L’obéissance à la Mère de Dieu, venue tout exprès, pour notifier sa volonté, fut le seul expédient dont nul ne s’avisa. Pourtant, on aurait pu croire que c’était bien simple. La Souveraine des univers se dérangeait, si j’ose dire, comme se dérangerait la Voie lactée, si cette créature incalculable, épouvantée de la méchanceté des hommes, s’agenouillait dans le bleu sombre du firmament. Elle se dérangeait pour nous apporter en pleurant la « grande nouvelle » de l’énormité de notre danger. Parlant comme la Trinité seule peut parler, cette ambassadrice déclarait l’imminence des châtiments et des cataclysmes et disait ce qu’il fallait faire pour ne pas périr, car les menaces proférées par elle étaient des menaces conditionnelles, dès les premiers mots : » Si mon peuple ne veut pas se soumettre, je suis FORCEE de laisser aller le Bras de mon Fils. Je le répète, quoi de plus simple que de s’humilier et d’obéir ? »
On a fait exactement le contraire. Marie avait demandé le Septième jour et le respect du Nom de Son Fils. Elle voulait que les lois de l’Eglise fussent observées et que pendant le Carême, ses enfants n’allassent pas à la boucherie « comme des chiens ». Elle avait confié à chacun des deux bergers, à Mélanie surtout, un secret de vie et de mort, exprimant Sa volonté formelle – ratifiée depuis par Pie IX et Léon XIII – qu’on le fît passer à tout son peuple…Enfin elle avait donné, en français, la Règle d’un nouvel Ordre religieux : « les Apôtres des Derniers Temps »…les vrais disciples du Dieu vivant et régnant dans les cieux; les vrais imitateurs du Christ fait homme ; mes enfants, mes vrais dévots ; ceux qui se sont donnés à moi pour que je les conduise à mon divin Fils ; ceux que je porte pour ainsi dire, dans mes bras, ceux qui ont vécu de mon esprit ; les Apôtres des Derniers Temps, les fidèles disciples de Jésus-Christ qui ont vécu dans le mépris du monde et d’eux-mêmes, dans la pauvreté et dans l’humilité, dans le silence, dans l’oraison et la mortification, dans la chasteté et dans l’union avec Dieu, dans la souffrance et inconnus du monde. Il est temps qu’ils sortent et viennent éclairer la terre…Car voici le temps des temps, la fin des fins.
Soixante ans se sont écoulés. On est devenu plus profanateur, plus blasphémateur, plus désobéissant, plus « chien »… »Si je veux que mon fils ne vous abandonne pas, je suis chargée de le prier sans cesse ».
Que puis-je faire pour vous que je n’aie pas fait ? Je suis l’Egypte et la Mer Rouge ; je suis le Désert et la Manne ; je suis la Vigne très-belle, mais je suis en même temps, la Soif divine et la Lance qui perce le Cœur du Sauveur. Je suis la Flagellation infiniment douloureuse , je suis la Couronne d’Epines et les Clous et surtout la Croix très dure où s’engendre la joie des hommes. Les deux Bras de mon Fils y furent attachés, mais il n’en faut qu’un pour vous écraser et celui-là je ne peux plus le retenir, tant il est pesant !…Ah mes enfants, si vous vous convertissiez !…
[…] Des hommes alors se sont levés qui avaient la mitre en tête et qui tenaient en leurs mains le bâton des pasteurs du troupeau du Christ. Et ces hommes ont dit à Notre-Dame : En voilà assez, n’est-ce pas ? Taceat Mulier in Ecclesia ! Nous sommes les Evêques, les Docteurs, et nous n’avons besoin de personne, pas même des Personnes qui sont en Dieu. Nous sommes d’ailleurs les amis de César et nous ne voulons pas de tumulte parmi le peuple. Vos menaces ne nous troublent pas le moins du monde et vos petits bergers n’obtiendront de nous, même dans leur vieillesse, que le mépris, la calomnie, la dérision, la persécution, la misère, l’exil et finalement l’oubli !… ».