0 thoughts on “Pépite. Que serait une nouvelle Autriche-Hongrie réunifiée?

  1. Hervé J. VOLTO

    Une menace directe pour la France Bourbonnienne.

    Dans son livre MEMOIRE D’EUROPE (Criterion), Otto de Hbasbourg dévoilait son plan pour… dépecer la France ! La Bourgogne, la Franche-Comté, l »Alsace et la Lorraine retrounerait à l’Empire austro-hongrois, l’Aquitaine à l’Angleterre !

    Cette dernière, lucide, a refusé.

    Le groupe de Visegrád trouve son origine en automne 1335, lorsque les Rois de Bohême, de Pologne et de Hongrie se rencontrèrent dans la ville hongroise de Visegrád pour créer une alliance ANTI-HABSBOURGG. Les trois dirigeants se sont mis d’accord sur la création de nouvelles routes commerciales qui permettraient un accès facilité aux marchés européens.

    Le Visegrade moderne moderne a démarré lors d’un sommet des chefs d’État ou de gouvernement de Tchécoslovaquie, Hongrie et Pologne dans la ville de Visegrád le 15 février 1991, afin de mettre en place des coopérations entre ces États, en vue d’accélérer le processus d’intégration européenne SANS SE FAIRE DILUER PAR L’UNION EUROPENNE. De là vient le premier nom du Groupe de Visegrád ; ces trois États allaient devenir quatre avec la partition de la Tchécoslovaquie le 1er janvier 1993.

    Si en Autriche, les Royaliste sont tous fidèles aux Habsbourgs mais se desespèrent du renoncement du Prince Karl, fils aîné de Otto qui ne croit pas que l’Empire puisse être reconsttituéen Hongrie, il y a encore des Royalistes fidèles également aux habsbourg -le Prince Georg est reçut dans de nombreux salons de Budapest- les Magyaristes sont des Royalistes qui, donnant la primauté au Catholicisme, désireraient accorder leur fidélité à une autre dynastie : le Pirnce charles de Bourbon-Siciles, héritier des Angevins de Hongrie, est reçut lui aussi avec son épouse Camilla Crociani à Budapest. Le Magyarisme pourrait adopter la même devise que le Carlisme : DIEU, PATRIE, FOYER ET ROIS LEGITIME. Viktor Orban est connu en Hongrie pour ses positions Royalistes et s’il vante l’anmitié du Prince Georg de Habsbourg, il compte de nombreux Magyarsites dans son parti.

    Si l’Empire austro-hongrois reste un modèle de management Catholique, l’heureuse renonciation d’Otto de Habsbourg en 1963 laisse dispinible au futur Grand Monarque le Roi caché Henri V de La Croix une vocation impériale que le Sacre de Reims donne déjà implicitement au Roi de France Très Chrétien Sacré à Reims.

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  2. Catoneo

    L’Autriche-Hongrie est un leurre. Dès le Traité de Vienne la Hongrie a manifesté son souhait de gérer ses affaires de manière autonome. Puis on argua d’un désir d’indépendance qui aboutit après Sadowa au compromis de 1867 où les affaires internes hongroises relevaient de Budapest et la diplomatie comme la guerre, de Vienne. L’empereur Habsbourg devenait roi de Hongrie (et suzerain des provinces associées) ce qui signifiait qu’il y avait bien une couronne de Hongrie séparée.

    La mosaïque ethnique fermenta de la fin du XIX° siècle jusqu’à la Grande Guerre, et les déboires militaires austro-allemands de l’année 1917 mirent le feu aux peuples. La construction corne-cul de double monarchie, infestée de rivalités nationales, n’y résista pas. En reparler est perdre son temps. L’empire austro-hongrois était un anachronisme, une hégémonie bancale.

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  3. Hervé J. VOLTO

    Bravo Catoneo.

    Le 8 mais 1918, JOUR DE LA FETE DE SAINTE-JEANNE D’ARC, PATRONNE TE PROTECTRICE DE LA FRANCE, l’Empereur Charles I° d’Autriche signe son abdication. : c’est la fin de l’Empire Austro-Hongrois. Mais si le lendemain, l’Aurtiche accepte se donner des insitutions républicaines, il n’ en est pas de même pour la Hongrie où le sentiment Royaliste demeure très fort.

    En 1933, plusieurs mouvements Magyaristes fusionnent entre eux pour donner naissance au second parti Nemzeti Legitimista Néppárt ou GRIGER-PART, dirigé Miklós Griger. GRIGER EST UN ROYALISTE MAIS ANTI-HABSBOURG. Il essaye à diverses reprises d’entrer au parlement, mais en vain. C’est le Comte Antal Sigray, chef Magyariste Hongrois de la LIGUE DE LA COURONNE MAGYARDE DE SAINT ETIENNE, qui anime les débats au parlement et devient le représentant du prétendant au trône.

    Le Magyarisme en Hongrie, c’est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il incarne le principe d’expension-évangélisation dont Léon XIII rependra l’idée : tout le contraire de l’actuel euro-mondialisme islamisant ! C’est aussi un nationalisme hongrois et Chrétien : mourir pour la Patrie, c’est mourir pour la société hongroise destabilisée par les idées révolutionnaires. C’est, enfin, face à la masse l’affirmation de la personne.

    Le mouvement Monarchiste hongrois marque les années 30 en proclamant être en faveur d’un « Royaume populaire social », ENTENDEZ CATHOLIQUE-SOCIAL. La question de savoir si c’est Otto de Habsbourg OU UN PRINCE ISSU D’UNE AUTRE DYNASTIE n’est pas vitale. On joue en sous main sur plusieurs tableaux. UNE OUVERTURE S’OFFRE POUR LES BOURBONS, HERITIERS LEGITIMES DES ANJOU DE HONGRIE. En août 1934, Budapest voit le plus grand rassemblement de Monarchistes près de l’ancien palais Royal.

    Mais le KNGP, habsbourgien, refuse toute entente avec le parti de Griger, Magyariste. Chaque tentative d’accord se soldera par un échec. Les Monarchistes sont incapables de s’entendre. En 1937, le Parti Légitimiste se scinde en deux. Une partie va fusionner avec le KNGP du monarchiste János Zichy pour donner naissance au PARTI DEMOCRATE CHRETIEN (Egyesült Keresztény Párt /EKP), pro-Habsbourg, tandis qu’István Friedrich reste à la tête de ce qui reste du KNGP, maryariste. Le 11 octobre 1937, le Parti Agrarien et les Légitimistes s’allient pour former une coalition en vue de la restauration de la Monarchie, PEU IMPORTE LA DYNASTIE DE PROVENANCE DU PRINCE, POURVU QU’IL FUT DE CONFESSION CATHOLIQUENCE (et donc, pas notoirement compromis avec la franc-maçonnerie), seule condition pour etre digne de la couronne Saint-Etienne !

    Griger meurt à 58 ans le 28 février 1938 suivi d’une grande voix du monarchisme Hongrois, le Comte Apponyi (auquel lui succède son fils Georges). Si le Parti Chrétien National soutient la restauration des Habsbourg, le Parti des Petits Propriétaires songent à l’élection d’un autre Souverain. Le Quai d’Orsay en France ira même suggérer que celui soit issu des dynasties belges ou britanniques. Cette division entre Royaliste hongrois pèsera lourdement sur la possibilité d’un réelle Restauration. Et l’invasion communiste renverra lA Restauration aux callendes grèque.

    Même si l’ultime empereur d’Autriche-Hongrie, Charles I° fut une Saint, et son épouse, Zita l’impératrice courage, une vraie Bourboin et une vraie Catholique, il ne faut pas sous-estimer le profond ressentiment hongrois, tchèque, slovaque, polonais -et serbe !- contre les Habsbourg, QUI ATTENDENT TOUS UN ROI CATHOLIQUE et forment aujourd’hui le Groupe de Visegrade…

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