Avant de rendre sa belle vie à Dieu, Jean Bastien-Thiry, heureux d’apprendre que ses camarades avainr été graciés, servit sa dernière messe célébrée par l’aumônier. S’adressant au prêtre, il lui dit: « Mon Père, offrons cette messe pourqu’un jour redevienne possible l’unité des Français« .
« Oui; Mon Père, il faut qu’un jour les français puissent être unis! ».Devant le peloton d’exécution » l’homme a souri , et son visage a eflété un immense apaisement, une sérénité définitive ». Que Dieu sauve la france ! Amen
Homélie de Mgr Jean-Yves Molinas, vicaire général du Diocése de Fréjus-Toulon, durant la messse célébrée en la cathédrale de toulon pour le ciquantenaire de la mort du Colonel jean Bastien-thiry, fusillé le 11 mars 1963.
Et en mémoire aussi d’ Agnès de Marnhac, née Bastien-Thiry, qui nous a quittés le 28 juin 2007, à l’âge de 47 ans. et qui avait honoré de sa présence une des fêtes du Christ-Roi organisée à Paris par la charte de Fontevrault à Notre-Dame du Lys au début des annnées 1990.