Cher Alain,
Il n’y a, à ma connaissance, aucune règle décrivant la position du coude dans la représentation héraldique du bras (armé ou pas). D’où, sans doute, les variations observées qui n’expriment que…l’humeur de l’artiste.
JYP
il est vraiment agréable d’écrire d’écrire à la lumière des torches de la connaissance héraldique dont tu veux bien me faire bénéficier et qui suppléent heureusement à mes faibles lumières en la matière.
Il s’est passé quelque chose d’inédit hier à la lecture de l’article , un des blasons ressemblent à s’y méprendre au blason d’un baron belge dont il est signifié que les origines remontent au XVème et la filiation au XVI éme siècle …
Est-il possible d’usurper un blason qui aurait appartenu ou appartiendrait à un autre ? en toute impunité …
Deux choses, chère Madame :
1/ j’avoue mon incompétence à déchiffrer ces quatre lettres,
2/ l’usurpation d’armoiries est du même ordre que l’usurpation d’identité à condition de pouvoir prouver l’antériorité par rapport à l’usurpateur. Elle est donc punie par la loi.
C’est Conseil dans l’Espérence du Roi qui a raison : aucune règle décrivant la position du coude dans la représentation héraldique du bras (armé ou pas) n’existe. D’où, sans doute, les variations observées qui n’expriment que…l’humeur de l’artiste de l’époque qui produit les dessin héraldique.
Le bras qui sort tout droit de terre pourrait être une représentation moderne…
En tout cas, la montagne qui figure sur les blasons de VOLTO comme de VOLTOLINI DE VALTELINA symboliserait la splendeur de famille : ce pourrait être pareil pour la Famille TOURNEROCHE. Dans mon cas, elle représente une MONTAGNE IN VALTELINA, commune située sur une montagne de la Province de Sondrio (Valteline) avec un château, aujourd’hui en ruine. Les 3 étoiles sont celles des 3 Rois mages : Gaspar, Balthasar et Melchior.
D’après le Manuel héraldique ou Clef de l’art du blason » par L. Foulques-Delanos, Limoges, oct. 1816.
Mes ancêtres, des Comtes gouverneurs héréditaires de la Valteline pour le Saint Empereur Germanique, chassés par Napoléon I°qui les a fait princes mais à qui ils ne voulaient pas préter serment de fidélité, sont descendus de la montagne pour aller pécher le thon en Siciles, via la Corse. De Siciles, ils ont emmigrés en Algérie en 1831 où il sont devenus les VOLTO de Guyotville.
Alger, Juin 1962, un jeune homme de 26 ans en pleur, né aux Bains-Romains de mère Hispano-Maltaise et de père Franco-Sicilien, sa jeune épouse de 25 ans elle aussi en pleur, née quand à elle à Saint-Eugène de parents italiens originaire de Naples, et le dernier et plus important bien qu’il leur reste -leur héritier, alors à peine agé de 4 mois et qui se tenaient sagement dans les bras de sa maman- montèrent à bord d’un navire en partance pour Marseille.
Aujourd’hui, le bébé est devenu un homme adulte garnd et costeau qui a toujour vécu sur la Cote d’Azur avant de repartir vivre de l’autre côté des Alpes avec une époiuse italienne et qui n’écrit pas ce commentaire uniquement pour ses amis Royaliste, mais aussi pour ceux qui, comme l’a si bien chanté Enrico Macias, ont perdu leur pays…
Avant que vous ne le découvriez par vous même, Jean-Luc Mélanchon se trouve avoir un arrière-grand-père VOLTO : c’est un parent…
Celà ressemble à ma famille, les VOLTO
https://www.heraldrysinstitute.com/lang/it/cognomi/Volto/Italia/idc/876403/
qui sont Comtes VOLTOLINI DE VALTELINA DE VOLTOLINA
https://www.heraldrysinstitute.com/lang/it/cognomi/Voltolini+Di+Valtellina/idc/12422/#
a ne pas confondre avec les Comte de Voltolina
http://www.iagi.info/ARALDICA/ARALDICA/gentilizia/famigliech/v/voltolina.html
qui n’ont rien à voir
Cher Alain,
Il n’y a, à ma connaissance, aucune règle décrivant la position du coude dans la représentation héraldique du bras (armé ou pas). D’où, sans doute, les variations observées qui n’expriment que…l’humeur de l’artiste.
JYP
Cher Régent,
il est vraiment agréable d’écrire d’écrire à la lumière des torches de la connaissance héraldique dont tu veux bien me faire bénéficier et qui suppléent heureusement à mes faibles lumières en la matière.
Il s’est passé quelque chose d’inédit hier à la lecture de l’article , un des blasons ressemblent à s’y méprendre au blason d’un baron belge dont il est signifié que les origines remontent au XVème et la filiation au XVI éme siècle …
Est-il possible d’usurper un blason qui aurait appartenu ou appartiendrait à un autre ? en toute impunité …
De qui parlez-vous ?
RPDW
Deux choses, chère Madame :
1/ j’avoue mon incompétence à déchiffrer ces quatre lettres,
2/ l’usurpation d’armoiries est du même ordre que l’usurpation d’identité à condition de pouvoir prouver l’antériorité par rapport à l’usurpateur. Elle est donc punie par la loi.
Merci cher Monsieur , de m’apporter la réponse qui sera peut-être soulevée pour le nouveau monde en cours , …
C’est Conseil dans l’Espérence du Roi qui a raison : aucune règle décrivant la position du coude dans la représentation héraldique du bras (armé ou pas) n’existe. D’où, sans doute, les variations observées qui n’expriment que…l’humeur de l’artiste de l’époque qui produit les dessin héraldique.
Le bras qui sort tout droit de terre pourrait être une représentation moderne…
En tout cas, la montagne qui figure sur les blasons de VOLTO comme de VOLTOLINI DE VALTELINA symboliserait la splendeur de famille : ce pourrait être pareil pour la Famille TOURNEROCHE. Dans mon cas, elle représente une MONTAGNE IN VALTELINA, commune située sur une montagne de la Province de Sondrio (Valteline) avec un château, aujourd’hui en ruine. Les 3 étoiles sont celles des 3 Rois mages : Gaspar, Balthasar et Melchior.
D’après le Manuel héraldique ou Clef de l’art du blason » par L. Foulques-Delanos, Limoges, oct. 1816.
Mes ancêtres, des Comtes gouverneurs héréditaires de la Valteline pour le Saint Empereur Germanique, chassés par Napoléon I°qui les a fait princes mais à qui ils ne voulaient pas préter serment de fidélité, sont descendus de la montagne pour aller pécher le thon en Siciles, via la Corse. De Siciles, ils ont emmigrés en Algérie en 1831 où il sont devenus les VOLTO de Guyotville.
Alger, Juin 1962, un jeune homme de 26 ans en pleur, né aux Bains-Romains de mère Hispano-Maltaise et de père Franco-Sicilien, sa jeune épouse de 25 ans elle aussi en pleur, née quand à elle à Saint-Eugène de parents italiens originaire de Naples, et le dernier et plus important bien qu’il leur reste -leur héritier, alors à peine agé de 4 mois et qui se tenaient sagement dans les bras de sa maman- montèrent à bord d’un navire en partance pour Marseille.
Aujourd’hui, le bébé est devenu un homme adulte garnd et costeau qui a toujour vécu sur la Cote d’Azur avant de repartir vivre de l’autre côté des Alpes avec une époiuse italienne et qui n’écrit pas ce commentaire uniquement pour ses amis Royaliste, mais aussi pour ceux qui, comme l’a si bien chanté Enrico Macias, ont perdu leur pays…
Avant que vous ne le découvriez par vous même, Jean-Luc Mélanchon se trouve avoir un arrière-grand-père VOLTO : c’est un parent…