Considérons, comme beaucoup d’historiens et politologues, que la France naquît avec le baptême de Clovis en 496. Pendant 1500 ans, notre pays fut gouverné par des rois, régents et princes. De facto, la monarchie occupe une place politique capitale dans l’histoire nationale.
Mais aujourd’hui, alors que la France est administrée par un régime républicain, les partis et mouvements politiques royalistes tiennent plutôt du groupuscule ultra-minoritaire. Non-représentés à l’Assemblée nationale depuis les années 1920, les royalistes ne représentent plus qu’une infime partie de la population française. Pourtant, dans l’imaginaire collectif, les symboles culturels de la France sont quasiment tous issus de la royauté : Versailles, l’arc de Triomphe, Chambord, le Louvre, Notre-Dame de Paris, la Sainte-Chapelle, les fleurs de lys, etc. Comment expliquer cette inexorable descente aux enfers ? Pourquoi le royalisme, pourtant historiquement légitime dans notre pays, a-t-il disparu du spectre politique national ?
https://www.terrabellum.fr/news/le-royalisme-franais-les-raisons-dun-chec-politique
La réponse me semble extrêmement simple, Le roi ne se vote pas, il est sans plus ; comme un père de famille est sans plus de même aussi … Malheureusement nos amis sont eux-mêmes contaminés trop souvent et croient qu’on peut gagner par un vote, les partis ne permettent pas un vrai choix, ils sont plus ou moins infiltrés par les forces maçonniques qui choisissent en réalité …
Le système démocratique a tout perverti ; voir entre autres le livre de Jean Haupt qui dirigeait dans mes jeunes années la revue Découvertes paraissant à Lisbonne, le Lisbonne de Salazar !
http://www.chire.fr/A-159848-le-proces-de-la-democratie.aspx
Il y aurait bien des livres à conseiller, mais ce n’est pas le but de ma réponse .
Merci de votre intérêt et de vos analyses.
D’accord. Il n’y a aucune chance d’élection d’un roi en France.
La démarche électoraliste (Alliance royale) n’avait qu’un but de notoriété et propagande. C’est un échec.
Le roi ne reviendra qu’à la faveur d’une rupture de paradigme, sur les ruines des groupes sociaux d’une nation explosée (guerre, banqueroute ? débâcle climatique ?).
L’impétrant devra mener le bal au milieu des siens*, montrer le charisme nécessaire à l’emploi et disposer d’une autorité naturelle innée. Aucun de nos « princes de beau temps » n’est qualifié.
Mais faudra-t-il encore offrir aux « insurgés » quelque chose de compréhensible par tous, et un nom !
Qui connaît ce nom ?
(*) bémol : si l’on décompte les cotisants et les abonnés à un journal, il y a quatre mille royalistes en France et presque aucun dans la tranche d’âge active de 30-60 ans. Bon courage.
Selon les prophéties de la Fraudais, le roi est pauvre et méprisé alors son charisme… Il est pourtant destiné à être « le sauveur inconnu ». Quelles seront les circonstances de sa venue. Selon Nostradamus, ce sera à l’occasion d’une hécatombe (guerre?) et d’un dérèglement climatique. Il y aura tout pour que cela se produise. Il faut dire qu’en attendant, les présidents de la république et candidats ont un fort charisme… et tout pour plaire à Dieu… Pauvres français!
Pourquoi le Royalisme, pourtant historiquement légitime dans notre pays, a-t-il disparu du spectre politique national ?
Parce que le Ralliement a fait croire aux Catholiques qu’ils pouvaient reconstruire une société Catholique sous la démocratie.
Des régimes comme ceux de Garcia Moreno en Equateur, de Franco en Espagne et de Salazar au Portugal, sont je vous l’accorde autant de tentatives de restauration de véritables institutions:
-Les partis sont interdits car facteurs de divisions.
-Les institutions civiles traditionnelles sont encouragées (politiques familiales, restaurations de
corps de métier…).
-Les institutions politiques sont chrétiennes.
Malheureusement ces beaux édifices s’écroulent à la mort de l’homme fort et le pays retourne
immanquablement à la Révolution. Sur le plan de la légitimité naturelle, ces institutions sont donc très
imparfaites, plus fragiles encore que celles du Bas Empire romain ou que celles de la Monarchie
Carolingienne…
En guise de conclusion, nous ferons trois constats :
1. Il est impossible d’envisager une politique Chrétienne durable dans le cadre démocratique, cela
n’a jamais existé dans l’histoire. Continuer d’affirmer que c’est pourtant théoriquement possible relève de
l’utopie car contraire aux faits.
2. La dictature Chrétienne possède du point de vue naturel une légitimité très faible : son instabilité
ne garantit pas la pérennité du bien commun.
3. La mise en place d’une institution politique ne s’improvise pas: prétendre repartir de zéro et créer de toutes pièces un régime Catholique armé de la seule légitimité théologique serait irresponsable et orgueilleux. Ce serait surtout se moquer de la Providence en méprisant une institution dont on ne peut nier qu’Elle l’a suscitée et soutenue.
Les institutions de la Monarchie Capétienne sont donc les plus légitimes : elles réalisent le mieux le
bien commun par l’ordre, la stabilité et la continuité qu’elles procurent en garantissant la prénénité de la France (Légitimité naturelle) et de sa vocation Catholique (Légitimité théologique).
Les Capétiens ne comptent peut-être pas dans leurs rangs des personnages de l’envergure
d’un Charlemagne, mais la stabilité de l’institution leur permet, génération après génération, de
reconstruire solidement ce que les temps féodaux ont morcelé.
En outre cette légitimité naturelle permet à la légitimité théologique d’apporter ses plus beaux
fruits : développement de l’Eglise, des institutions civiles Chrétiennes (chevalerie, confréries bourgeoises
caritatives…), de l’esprit missionnaire. L’histoire de France montre que le titre de fille aînée de l’Eglise
n’est pas usurpé.
La Monarchie Capétienne, Catholique et Royale, tire sa Légitimité du respect de la loi naturelle voulue par Dieu. Le Royalime soutient la famille, la société organique et l’autorité sur le modèle le Divin Christ-Roi. Elle défend défend les Lois Fondamentales du Royaume de France
et le Roi qu’elles désignent clairement aujourd’hui, l’Aîné Salique et Catholique des Capétiens nés de Naissance Légale.
La continuité Royale, assurée par l’hérédité, retire le pouvoir aux luttes partisannes, aux ambitions personnelles et à la corruption, et peut dès lors assurer le Bien Commun du peuple Français et la pérénité de la France comme de sa vocation Catholique, le Roi de France, nouveau Constantin, devant gouverner Chrétiennement “pour le Bien Commun et le salut de l’Etat (Edit de juillet 1717)”, protégeant la Foi et la Patrie !
La Reconquista espagnole n’aurait pas été possible sans la continuité Royale et sans la certitude que Roi Catholique avait de savoir son ouvre de longue halène continuée par son fils après lui, puis par son petit-fils et son arrière-petit-fils !!!
Si le Divin Christ-Roi, qui a fondé l’Eglise Catholique Romaine, veut nous redonner un Roi Très Chrétien pour défendre l’Eglise et assurer Sa Royauté universelle, nous devons l’accueillir :
-En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui reçoit celui que j’aurai envoyé me reçoit, et celui qui me reçoit, reçoit celui qui m’a envoyé (Jean 13:20).
C’est ce que firent les Gallo-Romains au baptême de Clovis. C’est ce que firent nos ancêtres à la Restauration de 1814. Ils étaient même pret à accuillir le Comte de Chambord avant que celui-ci ne recnonce pour ne pas être le « Roi Légitime de la Révolution » (entendez : un nouveau Louis-Philippe).
Aujourd’hui, nous sommes de nouveau appellés de nouveau à accuillir le Roi qui vient, un Roi Très Chrétien de droit Divin qui viendra sauver la France et Chrétienté -et donc l’Eglise Catholique- ce pour, permettez-moi d’insister, recouronner Dieu et la France. Pour aider à son retour, prions et agissons, aggissons et prions. Et espérons !
Notre Royalisme politique devra redevenir une action Catholique et Royale. Aussi plaçons notre Croisade Royaliste sous le signe du double-CEOUR DE L’AMOUR surmonté de la CROIX DU SACIRIFICE, espoir et salut de la France, les demandes de Paray-le-Monial nous enseigant la Fidélité par laquelle se verifie le véritable Amour.
Les Capétiens ont été battus trois fois par leur propre peuple, sans intervention d’une guerre étrangère comme ce fut le cas des successeurs corses. Faudra trouver ailleurs.
N’ayant pas votre vaste culture je vous serai reconnaissant de bien vouloir faire bénéficier les lecteurs de ce blog des repères chronologiques bornant ces trois événements.
Cher Monsieur Texier, vos lecteurs, que vous sous-estimez, le savent bien ; les deux branches capétiennes se sont rendues sans combattre :
-1792 : la royauté s’effondre sur sa garde aux Tuileries au seul bruit des vociférations d’une révolution de bazar, sous les yeux incrédules d’un capitaine d’artillerie qui prend son anisette place du Carrousel. Lui en tirera les bonnes leçons comme empereur.
-1830 : Le roi oint refuse l’obstacle d’une insurrection parisienne et ne montre pas plus de sens politique que feu son frère aîné. Gouverner le fatigue, seul régner à ne rien faire lui plaît. Il partira à pied pour Cherbourg et transformera son exil en promenade digestive.
-1848 : Le « neveu » devenu Mister Smith s’enfuit de Paris au Havre comme un rat au bruit de l’émeute déclenchée par le peuple insurgé contre ses parrains (la Forge et la Banque).
Le problème n’est pas l’histoire, mais que les descendants actuels (je ne dis pas « héritiers ») s’en réclament encore. Qui leur ferait confiance en cas de grand tumulte ? Quels « droits » détiennent-ils sur notre avenir ? Les Lois ? Celles du darwinisme les ont écrasées.
Pour trouver ailleurs ou dans une continuité réfléchie, il faudra des gens comme vous, des barons qui se posent des questions et se demandent pourquoi cela a échoué….
Pour trouver ailleurs ou dans une continuité réfléchie… Catoneo le dit dit lui-même, il est agnostique. Se pose-t’il les bonnes questions? Il ne faut pas oublier que Jésus fut battu, condamné tout de suite par des Juifs de son peuple. Les Capétiens ont fait leur temps. Que sait-on de l’avenir? Faut-il s’attendre à des accomplissements rapides. Le christianisme n’a démarré que lentement, ça se compte en siècles… De nos jours qui croit vraiment à son message et à sa fin par la résurrection? La continuité voudrait qu’il y ait un rebondissement. Le plus difficile la résurrection. Il y a bien des mystères dans l’ère chrétienne qu’il faudrait expliquer comme la répétition par une foule de prophètes et voyants dont l’Eglise se semble pas tenir compte quand elle n’est pas vraiment contre, qui annoncent d’un grand roi à la fin des temps. Qu’est-ce à dire? Comment cela se matérialisera-t’il? Il ne faut pas oublier que la dynastie franque par Clovis n’intervient que près de cinq siècles après. Il ne faut pas être pressé, comme si l’urgence n’avait pas été là mais bien plutôt d’établir le message. C’est parti du petit nombre comme le sont les providentialistes et les survivantistes. Il y a place pour le travail de ce qu’on a appelé secte, comme les Esséniens. Le grand roi étant confirmé, les prophéties seraient confirmées et partant le Dieu du christianisme à la base de tout. Bon courage!
Le royalisme et le monarchisme ne seront jamais dans les poubelles de l’Histoire
Et pour qu’il en soit bien ainsi demandons à Dieu de faire en sorte que les Français cessent d’en soulever les couvercles.
J’ai longtemps renoncé à intervenir dans ce débat tant je suis persuadé de faire beaucoup (trop ?) de peine à la plupart de nos amis. Et pourtant… il faut bien finir par dire la vérité, même si elle est douloureuse.
Nous ne reverrons jamais un roi régner en France. A part, peut-être, l’un des prétendus descendants du prophète Mohamed ! Et, après tout, pour peu que les résultats de son équipe de football au Qatar aient le moindre intérêt, le sixième Mohamed du Maroc pourrait faire l’affaire.
D’abord parce que, comme le rappelle avec justesse Catoneo, « L’impétrant devra(it) mener le bal au milieu des siens, montrer le charisme nécessaire à l’emploi et disposer d’une autorité naturelle innée. (Or) Aucun de nos “princes de beau temps” n’est qualifié. » AUCUN.
Ensuite parce que, malgré certaines apparences trompeuses, malgré l’attrait folklorique qu’exerce encore la monarchie britannique (c’est la dernière) et malgré le nombre des lecteurs de l’hebdomadaire « Point-de-Vue » (l’ex « hebdomadaire de l’actualité heureuse » !), les Français ont non seulement perdu la mémoire mais ils sont désormais totalement décérébrés au point de croire que la démocratie c’est la république et vis versa. Ils en sont arrivés à élire chef de l’Etat le pire imposteur que nous ayons connu et à en être si satisfaits qu’ils l’ont même réélu. Alors, le roi…
Enfin, comment ne pas douter lorsqu’on voit le peu d’intérêt dont témoignent ces mêmes citoyens (y compris parmi nos propres amis) pour les questions régaliennes les plus significatives et les plus graves comme les finances publiques, l’armée et la défense du pays, la justice, l’instruction publique sans oublier notre appartenance à cette association de malfaiteurs que l’on nomme « l’Union européenne » et, bien sûr, le raz de marée migratoire que vous savez et dont nous prétendons qu’il est la plus grande tragédie de notre Histoire.
En vérité, si l’hypothèse émise par Catoneo (une rupture de paradigme sur les ruines des groupes sociaux d’une nation explosée – guerre, banqueroute ? débâcle climatique ?) ne se produit pas… rien ne changera jamais plus car nous autres ne tarderons pas à disparaître et les jeunes générations elles-mêmes (les seules dont ont pourrait espérer), amnésiques, incultes et de plus en plus métissées, ont déjà fait le choix de notre disparition. Pour vous en convaincre, prenez le train ou le métro, arpentez les rues de nos villes et même de nos villages, ouvrez les yeux et les oreilles mais aussi le nez et la bouche pour découvrir toutes les richesses des cuisines exotiques, orientales ou asiatiques…
Et, surtout, ne me rappelez pas comme une évidence les propos anachroniques de Charles Maurras : « Le désespoir, en politique, est une sottise absolu ». Souvenez-vous plutôt de ceux de Paul Valéry : « Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles ». Alors, prions pour le salut de nos âmes.
Catonéo a raison : c’est,selon Marie Julie Jahenny, une guerre civile qui favorisera l’invasion de la France.
Des Cosaques Tchéthcènes défilnant à Paris ?
ils seront cause de la chute de la république. Alors, les Français appelleront un Roi qui ne sera pas le vrai. Il pactisera avec l’envahisseur ! Il faudra se méfier de cet usurpateur : c’est un poteau de boue. C’est alors que des généraux se réuniront et l’un d’eux ira checher le vrai Roi qui vit humblement dans un pays étranger. Le vrai Roi a un nom : HENRI V DE LA CROIX (comme il y eu un Philippe VI de Valois). Il aura une formation paramilitaire, peut-être sera-t-il familier des questions regardant l’intelligence. Il reviendra en France avec le général et réorganisera la résistance. après six mois de lutte, le vrai Roi vaincra définitivement les armées ennemies en un lieux dit LACROIX (peut-être La Croix de Bousset, prpès de Clisson). ici commencera le règne de celui qui deviendra le Gramnd Monarque.
L’hypothèse émise par Catoneo (une rupture de paradigme sur les ruines des groupes sociaux d’une nation explosée – guerre, banqueroute ? débâcle climatique ?) se produira et une personne jeune comme Marion Maréchal pourrrait voir le retour du Roi en France de son vivant.
Pour cette rupture de paragdigme, il manque :
1. Une guerre civile : on y est presque.
2. Une invasion étrangère.
3. La chute de la République et une usrpation Royale.
4. Le retour du vrai Roi, qui apsrès avoir déposé l’usurpateur, deviendra le Grand Monarque.