Rose Valland, née le 1er novembre 1898 à Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs et morte le 18 septembre 1980 à Ris-Orangis, est une conservatrice de musée et une résistante Française.
Elle a joué un rôle décisif dans la sauvegarde et la récupération de plus de 60 000 œuvres d’art et biens culturels volés et spoliés par les nazis pendant l’Occupation aux institutions publiques et aux familles juives françaises https://fr.wikipedia.org/wiki/Rose_Valland
Puisque les temps sont favorables aux conseils de lecture, ne nous privons pas de celui-ci ! Il s’agit d’une bande dessinée dont le titre et riche de promesses : SUR LES CHEMINS DE COTIGNAC, dans la collection Le Vent de l’Histoire aux Editions du Triomphe.
Les auteurs en sont Antoine d’Arras (pour le texte) et Jean-Marie Michaud (illustrateur).
Mais de quoi s’agit-il ?
Le sanctuaire de Cotignac en Provence rassemble toute l’attention de la Providence pour la France et son lien charnel avec la famille royale. La Vierge Marie apparaît pour la première fois à un berger en 1519 sur le mont Verdaille. Un sanctuaire lui est construit sous le vocable de NOTRE-DAME DE GRÂCES et voit de nombreux miracles s’accomplir pour ceux qui y prient.
Dans le contexte de la Réforme de Luther, la Mère de Dieu s’affirme comme médiatrice des grâces.
Bien plus tard, en 1630, le frère Fiacre, simple carme du couvent Notre-Dame des Victoires, décide de prier pour la reine Anne d’Autriche et pour l’arrivée d’un héritier au trône de France. Le frère prie durant 7 ans avant d’avoir une vision de la Vierge lui demandant une neuvaine à Notre-Dame de Grâces. Le 5 septembre 1638, la reine met au monde Louis Dieudonné, futur roi Louis XIV.
C’est l’année du mariage de Louis XIV, en 1660 que Saint Joseph apparaît à son tour et fait couler une source miraculeuse sur le mont Bessillon. « C’est tout. Rien de plus simple, rien de plus pauvre que cette apparition comme l’Évangile » dit Mgr Barthes en 1971. Le sanctuaire va connaître de nombreuses vicissitudes surtout au moment de la Révolution mais il est aujourd’hui plus vivant que jamais. Tous les ans, le pèlerinage des pères et mères de famille voit les foules confier leurs peines et leurs joies à la Sainte Famille de Cotignac. Préface Mgr Rey, évêque de Fréjus-Toulon.
Nous sommes loin de l’espionnage mais c’est tant mieux.
Rose Valland, née le 1er novembre 1898 à Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs et morte le 18 septembre 1980 à Ris-Orangis, est une conservatrice de musée et une résistante Française.
Elle a joué un rôle décisif dans la sauvegarde et la récupération de plus de 60 000 œuvres d’art et biens culturels volés et spoliés par les nazis pendant l’Occupation aux institutions publiques et aux familles juives françaises
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rose_Valland
Puisque les temps sont favorables aux conseils de lecture, ne nous privons pas de celui-ci ! Il s’agit d’une bande dessinée dont le titre et riche de promesses : SUR LES CHEMINS DE COTIGNAC, dans la collection Le Vent de l’Histoire aux Editions du Triomphe.
Les auteurs en sont Antoine d’Arras (pour le texte) et Jean-Marie Michaud (illustrateur).
Mais de quoi s’agit-il ?
Le sanctuaire de Cotignac en Provence rassemble toute l’attention de la Providence pour la France et son lien charnel avec la famille royale. La Vierge Marie apparaît pour la première fois à un berger en 1519 sur le mont Verdaille. Un sanctuaire lui est construit sous le vocable de NOTRE-DAME DE GRÂCES et voit de nombreux miracles s’accomplir pour ceux qui y prient.
Dans le contexte de la Réforme de Luther, la Mère de Dieu s’affirme comme médiatrice des grâces.
Bien plus tard, en 1630, le frère Fiacre, simple carme du couvent Notre-Dame des Victoires, décide de prier pour la reine Anne d’Autriche et pour l’arrivée d’un héritier au trône de France. Le frère prie durant 7 ans avant d’avoir une vision de la Vierge lui demandant une neuvaine à Notre-Dame de Grâces. Le 5 septembre 1638, la reine met au monde Louis Dieudonné, futur roi Louis XIV.
C’est l’année du mariage de Louis XIV, en 1660 que Saint Joseph apparaît à son tour et fait couler une source miraculeuse sur le mont Bessillon. « C’est tout. Rien de plus simple, rien de plus pauvre que cette apparition comme l’Évangile » dit Mgr Barthes en 1971. Le sanctuaire va connaître de nombreuses vicissitudes surtout au moment de la Révolution mais il est aujourd’hui plus vivant que jamais. Tous les ans, le pèlerinage des pères et mères de famille voit les foules confier leurs peines et leurs joies à la Sainte Famille de Cotignac. Préface Mgr Rey, évêque de Fréjus-Toulon.
Nous sommes loin de l’espionnage mais c’est tant mieux.
Il m’a donné envie de lire le livre.