Les Lois Fondamentales ne règlent que le mode de gouvernement Monarchique et de transmission de la Couronne -Monarchie héréditaire, Salique, catholique et Sacrée- mais elles ne désignent pas le Roi.

Si Dieu a inspiré les douze Lois Fondamentales, qui ont été scrupuleusement respectées sous les Capétiens et ce, jusqu’en 1830, nous ne devons ni les contourner ni les exclure. 

Mais les Lois Fondamentales ne règlent que le mode de gouvernement Monarchique et de transmission de la Couronne -Monarchie héréditaire, Salique, catholique et Sacrée- mais elles ne désignent  pas le Roi.   Il n’y a donc que Dieu qui puisse nous dire , en cas d’interruption de la  transmission; quel doit être Son Lieutenant sur le trône de France, et ce à condition, naturellement, qu’on le lui demande dans la prière et l’action comme on le fait à Pontmain chaque 17 du mois http://www.pontmain-pourleretourduroi.com/  sous la conduite de Chouan de Coeur chouandecoeur@orange.fr mailto:chouandecoeur@orange.fr et dans le courant des royalistes providentialistes http://www.sylmpedia.fr/index.php/Providentialisme  et comme on doit le faire également TOUS A PARAY-LE-MONAIL, TOUS A GENOUX, comme l’a demandé le Sacré-Coeur Lui-même à Claire Ferchaud en 1925.  

Alors que la France est en guerre et le monde en feux, il faudrait ranger notre orgueil dans notre poche et le demander, ce Roi, à qui nous l’a promis: à Jésus par Marie! Marie, Reinede l’Ordre est Mère des Rois cachés (Henri pour la France, Dimitri pour la Russie, Sebastien pour le Portugal, Frédéric pour l’Allemagne et les pays de l’ex-Saint-Empire Romain Germanique ): c’est à N.D. qu’il faut demander le Roi ! TOUS A PONTMAIN! TOUS A PARAY-LE-MONIAL! TOUS A GENOUX !!!

                                                        Hervé Volto

3 thoughts on “Les Lois Fondamentales ne règlent que le mode de gouvernement Monarchique et de transmission de la Couronne -Monarchie héréditaire, Salique, catholique et Sacrée- mais elles ne désignent pas le Roi.

  1. Hervé J. VOLTO

    Merci à Alain Texier d’avoir mis en ligne comme article ce petit commentaiore fait sur un de ses articles à lui. Pour en savoir plus sur les Lois Fondamentales du Royaume de France, on peut se référer à nos articles parus sur ce blog: LES LOIS FONDAMETALES DU ROYAUME DE FRANCE, CONSTITUTION DE L’ANCIENNE FRANCE et PRECISIONS SUR LA LOI DE NATIONALITE.

    Prions N.D de l’Ordre, Mère des Rois cachés pour obtenir plus rapidement un Roi pour la France.

    Hervé

    Reply
  2. Hervé J. VOLTO

    Pour en savoir plus sur les Lois Fondamentales du Royaume de France, on peut se référer à nos articles parus sur ce blog: LES LOIS FONDAMETALES DU ROYAUME DE FRANCE, CONSTITUTION DE L’ANCIENNE FRANCE

    LES LOIS FONDAMENTALES DU ROYAUME DE FRANCE, CONSTITUTION DE L’ANCIENNE FRANCE

    et PRECISIONS SUR LA LOI DE NATIONALITE.

    Hervé Volto, Président honoraire de la Charte de Fontevrault. Accession au trône de france. PRECISIONS SUR LA LOI DE NATIONALITE

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  3. Hervé J. VOLTO

    SUCCESSION DE FRANCE ET REGLES DE NATIONALITE

    Les renonciations exigées en 1713, lors du Traité d’Ultrecht, paraissent confirmer l’INEXISTANCE d’un vice de pérégrinité Princier dans la France du XVIII° siècle : sinon pourquoi les anglais se seraient-ils donné tant de peine pour arracher par la force, contre le principe d’inaliénabilité de la Couronne de France, à Philippe d’Anjou, devenu Philippe V d’Espagne, un tel acte ?

    Or les faits montrent le contraire : si les plénipotentiaires Français ont accepté le principe de séparation des deux Couronnes de France et d’Espagne, ce qui était la clause du testament de Charles II appellant un Bourbon à lui succéder -ce qui ne fut jamais réellement remis en question par Louis XIV- ils ont cependant toujours protesté CONTRE la perspective d’une abdication ou d’une renonciation d’un petit fils de France en violation des Lois Fondamentales du Royaume de France.

    C’est ce que rappelle une Lettre Pattente -lettre de précaution et non de nécessité- de Louis XIV de décembre 1700, concervée aux Archives Nationales (carton J. 931, trésor des chartes II, supplément, Mélanges, Espagne, Philippe V, pièce n°1).

    Pour Louis Revelière, dans son livre Les ruines de la Monarchie Française (Lyon et Paris, Lecoffre, 1879, p. 74), le Traité d’Ultrecht pouvait obliger personnellement Philippe V, mais non priver les descendants de Louis XIV du droit d’opter.

    -Ce n’est pas à des Français de s’armer d’une clause imposée par l’étranger, et dans son seul intéret (Le Drapeau Blanc du 6 mars 1820).

    On observera que les deux arguments sont contradictoires : A QUOI BON DES RENONCIATIONS SI LE FAIT DE REGNER A L’ETRANGER SUFFIT A ECARTER DU TRONE ? Guy Augé montre que le « vice de pérégrinité », qui est la pièce maîtrssse de l’argumentation adverse, est un ANACHRONISME et n’existait pas sous l’Ancien Régime.

    Pour ce qui est de la Loi de Nationalité, UN PRINCE CAPETIEN N’EST PAS UN SIMPEL PARTICULIER : il relève d’un statut de droit public, il reste quelque soit sa résidence, membre d’une dynastie Française, et ce qui le singularise précisément, sa filiation dynatique.

    Daguesseau le dit nettement :

    -La Couronne n’est point déférée par les lois civiles : ainsi, quoi que la jurisprudence du Royaume prive des successions particulières les Français établis en pays étranger, on ne doit pas en conclure que Phlippe V et ses descendants soient eclus du Trône de France comme étrangers.

    Celà vaux pour les Bourbons espagnols. Celà vaux pour une éventuelle descendance de Louis XVII ou du Connétable de Bourbon ayant Providentiellement survécu en Italie.

    Nous ne saurions terminer avec cet argument qu’en reprenant les termes d’un mémoire de 1741, concervé au Ministère des Affaires Etrangères et rapporté providentiellement par M. Raoul de Warren dans son livre les Prétendants au Trône de France :

    -Les Princes Français ne peuvent contracter le vice de pérégrinité.

    Autrement dit, pour M. de Warren, Ils ne peuvent être traités en étrangers dans leur pays d’origine et ne peuvent perdre leurs droits éventuels à la Couronne de France du fait qu’ils ont acquis une nationalité étrangère. Et qu’à l’inverse, tout Prince étranger au Sang de France, même si né en France et de religion Catholique, comme les Habsbourg et des Savoie, ne peuvent succéder. COMME SI LA NATIONALITE FRANCAISE DES CAPETIENS ETAIT INAMOVIBLE.

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