Les lignes suivantes , qui émanent de nos amis légitimistes, sont pleine d’intérêt. Pour autant, elles me paraissent pourtant faire l’impasse sur un fait aveuglant. Nous sommes en république et tous les cris Vive X ! ou Vive Y ! n’y changeront rien .
LE LÉGITIMISME EST :
Une attitude philosophique: reconnaissance de la primauté du réel .
Une attitude politique : reconnaissance de la primauté de droit naturel divin .
Une attitude religieuse : reconnaissance du fondement surnaturel de l’autorité et obéissance à la Providence.
La Providence est intervenue trois fois, de manière absolument déterminante dans l’histoire de notre pays :
* En 496, par l’intermédiaire de saint Remi qui baptise Clovis, fils de Chilpéric, successeur de Clodion et de Mérovée ;
* 491 ans plus tard, En 987, par l’intermédiaire de l’archevêque Adalbéron qui propose l’élection de Hugues Capet, réaffirmant, ainsi, le maintien du principe dynastique au profit de la nouvelle race ;
* 491 ans plus tard, En 1429, par l’intermédiaire de sainte Jeanne d’Arc qui conduit Charles VII au sacre de Reims confirmant, ainsi, la dévolution de la Couronne conformément aux Lois Fondamentales du Royaume.
La doctrine légitimiste accueille avec humilité et reconnaissance la volonté de la Providence.
http://www.uclf.org/page3.html
et pourtant :
* 364 ans plus tard, le 21 janvier 1793, Louis XVI le Lieutenant du Christ portait sa tête sur l’échafaud.
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Depuis cette date, c’est-à-dire 222 ans , aujourd’hui, la Providence n’a pas fait savoir qui Elle entendait désigner pour être le Lieutenant du Christ en terre de France.
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Et si aucun des candidats officiellement en lice ( Louis XX ( Bourbons-) et » Henri VII » ( Bourbons-Orléans) ne lui convenait ?
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Qu’avons nous à perdre, nous royalistes providentialistes, nous royalistes, nous Français, à nous abandonner à Dieu, s’agissant de qui doit être Son Lieutenant sur le trône de France , Dieu qui a déjà par trois fois – au moins – indiqué qui nous devions servir ?
Pour être Sacré Roi en France, il faut :
1. Etre de Sang Royal, être l’Aîné de ses frères et de ses cousins et en fin être de sexe masculin comme succéder à un Roi lui opossédant ces trois qualités (I° Loi Fondamentale du Royaume de France).
2°) Etre Catholique (II° Loi Fondamentale du Royaume de France)
3°) Etre né et grandit en France (XII° Loi Fondamentale du Royaume de France)
4°) Etre de maissance Légitime (XI° Loi Fondamentale du Royaume de France)
Les autres Lois Fondamentales règlent la sucession au Trône et le mode de sucession comme de gouvernement Royal.
Ces Lois ont été inspirées par Dieu (Bapetme de Clovis, Testament de Saint-Rémy et Songe de Hugues Capet).
Il n’est pas dit que le prince Lous Alphonse soit l’Ainé des Bourbons : à part la survivance plus que probale de Louis XVII, Bourbon de France qui viendrait AVANT les bourbons d’Espagne, les Bourbons de Bopahl ont été retrouvé en Inde au XIX° siècle. Sans parler de la plus probable descendance du Masque de Fer.
Aujourd’hui la coupure a été longue. Nous ne savons pas objectivement qui est l’Ainé des Bourbosn Catholqiues nés en France. Avant les Orléans, il y a les Bourbons-Parme. Avant ces derniers, il y a Charles de Bourbon-Siciles.
La situation est celle-ci :ou on s’en renmet totalement à Dieu pour le choix du Roi avanir, ou on réédite l’Election de Senslis, le nouveau Roi Sacré à Reims devent le CAPOSTIPITE d’une nouvelle dyanstie, tout comme on est passé des Capétiens directs au Capétiens Valois puis aux Capétiens Bourbons.
On peut aussi appeller arbitrairement un Roi choisi tout aussi arbitrairement et là, le Prince Louis-Alphonse concerve totes ses chances, comme le prince Jean ou le Prince Sixte Henri.
Quand Claire Ferchaud a reçut en 1925 la demende du Sacré-Coeur de demener PARDON , EN FOULE et AGENOUX, pour obtenri que le Père céleste fasse gràce, celà ne sifgnifie-t-il pas que les prières doivent être PUBLIQUES ? par des pèlerinages, des processions, des Pardosn à la bretonne ? Royalistes, ne devrions nous pas raisonner et OBEIR ?