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« J’allais au Louvre. Je m’y promenai en toute liberté, et traversant les divers corps de garde, je parvins enfin à cette porte qui est ouverte dès qu’on y touche, et le plus souvent par le roi lui-même. Il vous suffit d’y gratter et l’on vous introduit aussitôt. Le roi veut que tous ses sujets entrent librement. »
Sebastiano Locatelli – Voyage de France: mœurs et coutumes françaises (1664-1665)
La parole présidentielle n’a pas de prix ! Ce ne sont pas moins d’une centaine de camionnettes et de camions de CRS et de gendarmes qui stationnent dimanche aux alentours de 16 h 30 avenue Charles-de-Gaulle à Neuilly. Intrigués, les riverains se sont renseignés. La cause de ce dispositif sans commune mesure ? La venue, dimanche soir, de François Hollande sur le plateau de Capital sur M6.
Les rues adjacentes sont elles aussi interdites d’accès. Pour toute réponse, un membre des forces de l’ordre avoue : « On est dix fois plus nombreux de l’autre côté. » À ce prix, on ne doute pas que les annonces du chef de l’État valent de l’or…
http://www.lepoint.fr/confidentiels/la-securite-du-president-normal-16-06-2013-1681516_785.php
Je sors d’un article vengeur d’un lecteur de Bvoltaire contre le double violeur et l’assassin…Nous plaignons les victimes et leurs parents mais l’assassin a suivi ses pulsions pour se perpétrer et jouir. Personne ne lui a appris à aimer. Ni l’école déchristianisée, ni les parents qui lui ont appris les économies à travers la tirelire, ni le catéchisme s’il a eu la chance, la grâce d’y aller.
On veut bâtir une société avec des individus qui n’aiment pas l’autre, qui n’ont pas appris à aimer. Ils se regroupent par affinité pour détester l’autre, pas apprendre à aimer. Peu d’institutions apprennent à aimer. Bonne question pour le baccalauréat. (Cacalauréat, imprime mon PC).
Je suis triste et je pense à Fontevrault, une abbaye pour apprendre à aimer, détourner en prison . Un prisonnier politique me racontait qu’un homme, non pas un homme, un responsable d’une institution religieuse pas catholique, avait dit aux prisonniers politiques dont était mon ami, : « vous êtes la lie de la société… ». Mon ami dit être sorti avec un sourire de connivence et de pitié d’un gardien. G.
Merci de nous avoir transmis votre émotion.
Je sors d’un article vengeur d’un lecteur de Bvoltaire contre le double violeur et l’assassin…Nous plaignons les victimes et leurs parents mais l’assassin a suivi ses pulsions pour se perpétrer et jouir. Personne ne lui a appris à aimer. Ni l’école déchristianisée, ni les parents qui lui ont appris les économies à travers la tirelire, ni le catéchisme s’il a eu la chance, la grâce d’y aller.
On veut bâtir une société avec des individus qui n’aiment pas l’autre, qui n’ont pas appris à aimer. Ils se regroupent par affinité pour détester l’autre, pas apprendre à aimer. Peu d’institutions apprennent à aimer. Bonne question pour le baccalauréat. (Cacalauréat, imprime mon PC).
Je suis triste et je pense à Fontevrault, une abbaye pour apprendre à aimer, détourner en prison . Un prisonnier politique me racontait qu’un homme, non pas un homme, un responsable d’une institution religieuse pas catholique, avait dit aux prisonniers politiques dont était mon ami, : « vous êtes la lie de la société… ». Mon ami dit être sorti avec un sourire de connivence et de pitié d’un gardien. G.
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