Aux invalides (Musée de l’armée à Paris), retrouvez les mousquetaires. » Un pour tous, tous pour un »

4ea12e59PARIS, 29 mars 2014 – D’Artagnan  à la tête de ses mousquetaires vous attendent  jusqu’en juillet (Musée de l’Armée à Paris- Invalides), pour une grande exposition sur ces  soldats fifèles à louis XIII.

L’on sait  tout ce que  ce  corps d’élite: les«Mousquetaires!» doit à Alexandre Dumas. tout  ceci est certes  un peu rmancé , l’exposition ne le cache d’ailleurs pas… mais la réalité n’est pas mal non plus.

(»Mousquetaires!» – Musée de l’Armée, Hôtel des Invalides, du 2 avril au 14 juillet – www.musee-armee.fr/ExpoMousquetaires

 

8 thoughts on “Aux invalides (Musée de l’armée à Paris), retrouvez les mousquetaires. » Un pour tous, tous pour un »

  1. Bertrand

    Vos mousquetaires;; les huissiers pour le roi LouisX111 Un homosexuelle…
    Devant le duc de Beaufort; François Pépin… ces zéros étaient des pisous…
    Voyez sur Google; Vingt ans après ..par Alexandre Dumas…le conflit;; les 4 Mousquetaires face à Mordaunt; François en Angletaire..
    Le duc de Beaufort était petit-fils de Henri IV et de Gabrielle d’Estrées, aussi bon, aussi brave, aussi fier …
    L’Angleterre avait engagé les 4 mousquetaires et 50 homme pour sauver Charles 1er de l’Exécution… mais Mordaunt seul fit échouer la manœuvre..
    Alexandre Dumas dans ; Vingt ans après…;- Et cependant, sans cet homme, dit Mordaunt, le roi était sauvé.
    Mordaunt; Le duc de Beaufort; Francois Pépin..Le roi des halles….
    Les 4 Mousquitos encerclent Mordaunt dans la maison de Cronwell..
    D’Artagnan marcha droit sur Mordaunt, et, le repoussant pour ainsi dire avec sa poitrine, lui fit remonter à reculons tout l’escalier, éclairé par une lampe qui permettait au Gascon de ne pas perdre de vue les mains de Mordaunt ; mais Mordaunt comprit que, d’Artagnan tué, il lui resterait encore à se défaire de ses trois autres ennemis. Il ne fit donc pas un seul mouvement de défense, pas un seul geste de menace.
    Athos et Aramis parurent à la porte, qu’ils refermèrent à clef.
    – Prenez donc la peine de vous asseoir, dit d’Artagnan en présentant un siège au jeune homme.
    Celui-ci prit la chaise des mains de d’Artagnan et s’assit, pâle mais calme. A trois pas de lui, Aramis approcha trois sièges pour lui, d’Artagnan et Porthos.
    Athos alla s’asseoir dans un coin, à l’angle le plus éloigné de la chambre, paraissant résolu de rester spectateur immobile de ce qui allait se passer.
    Porthos s’assit à la gauche et Aramis à la droite de d’Artagnan.
    Athos paraissait accablé. Porthos se frottait les paumes des mains avec une impatience fiévreuse.
    Aramis se mordait, tout en souriant, les lèvres jusqu’au sang.
    D’Artagnan seul se modérait, du moins en apparence.
    – Monsieur Mordaunt, dit-il au jeune homme, puisque, après tant de jours perdus à courir les uns après les autres, le hasard nous rassemble enfin, causons un peu, s’il vous plaît.
    – Tout à l’heure, continua d’Artagnan, vous étiez déguisé, je veux dire habillé en assassin, et maintenant…
    – Et maintenant, au contraire, j’ai tout l’air d’être dans l’habit d’un homme qu’on va assassiner, n’est-ce pas ? répondit Mordaunt de sa voix calme et brève.
    – Oh ! monsieur, répondit d’Artagnan, comment pouvez-vous dire de ces choses-là, quand vous êtes en compagnie de gentilshommes et que vous avez une si bonne épée au côté !
    – Il n’y a pas si bonne épée, monsieur, qui vaille quatre épées et quatre poignards ; sans compter les épées et les poignards de vos acolytes qui vous attendent à la porte.
    – Pardon, monsieur, reprit d’Artagnan, vous faites erreur, ceux qui nous attendent à la porte ne sont point nos acolytes, mais nos laquais. Je tiens à rétablir les choses dans leur plus scrupuleuse vérité.
    Mordaunt ne répondit que par un sourire qui crispa ironiquement ses lèvres.
    – Mais ce n’est point de cela qu’il s’agit, reprit d’Artagnan, et j’en reviens à ma question. Je me faisais donc l’honneur de vous demander, monsieur, pourquoi vous aviez changé d’extérieur.
    ((( Le masque vous était assez commode, ce me semble ; la barbe grise vous seyait à merveille, et quant à cette hache dont vous avez fourni un si illustre coup, je crois qu’elle ne vous irait pas mal non plus dans ce moment. Pourquoi donc vous en êtes-vous dessaisi ?;;
    Notes=(( Mordaunt avait remplacé le bourreau pour couper la tête de Charle1er.. il attendait les mousquitos et fit échouer le rapt.)).
    – Parce qu’en me rappelant la scène d’Armentières, j’ai pensé que je trouverais quatre haches pour une, puisque j’allais me trouver entre quatre bourreaux.
    – Monsieur, répondit d’Artagnan avec le plus grand calme, bien qu’un léger mouvement de ses sourcils annonçât qu’il commençait à s’échauffer, monsieur, quoique profondément vicieux et corrompu, vous êtes excessivement jeune, ce qui fait que je ne m’arrêterai pas à vos discours frivoles. Oui, frivoles, car ce que vous venez de dire à propos d’Armentières n’a pas le moindre rapport avec la situation présente. En effet, nous ne pouvions(((( pas offrir une épée à madame votre mère et la prier de s’escrimer contre nous ))))); mais à vous, monsieur, à un jeune cavalier qui joue du poignard et du pistolet comme nous vous avons vu faire, et qui porte une épée de la taille de celle-ci, il n’y a personne qui n’ait le droit de demander la faveur d’une rencontre.
    – Ah ! ah ! dit Mordaunt, c’est donc un duel que vous voulez ?
    Et il se leva, l’oeil étincelant, comme s’il était disposé à répondre à l’instant même à la provocation.
    Porthos se leva aussi, prêt comme toujours à ces sortes d’aventures.
    – Pardon, pardon, dit d’Artagnan avec le même sang-froid ; ne nous pressons pas, car chacun de nous doit désirer que les choses se passent dans toutes les règles. Rasseyez-vous donc, cher Porthos, et vous, monsieur Mordaunt, veuillez demeurer tranquille. Nous allons régler au mieux cette affaire, et je vais être franc avec vous. Avouez, monsieur Mordaunt, que vous avez bien envie de nous tuer les uns ou les autres ?
    – Les uns et les autres, répondit Mordaunt.
    D’Artagnan se retourna vers Aramis et lui dit :
    – C’est un bien grand bonheur, convenez-en, cher Aramis, que M. Mordaunt connaisse si bien les finesses de la langue française ; au moins il n’y aura pas de malentendu entre nous, et nous allons tout régler merveilleusement.
    Puis se retournant vers Mordaunt :
    – Cher monsieur Mordaunt, continua-t-il, je vous dirai que ces messieurs payent de retour vos bons sentiments à leur égard, et seraient charmés de vous tuer aussi. Je vous dirai plus, c’est qu’ils vous tueront probablement ; toutefois, ce sera en gentilshommes loyaux, et la meilleure preuve que l’on puisse fournir, la voici.
    Et ce disant, d’Artagnan jeta son chapeau sur le tapis, recula sa chaise contre la muraille, fit signe à ses amis d’en faire autant, et saluant Mordaunt avec une grâce toute française :
    – A vos ordres, monsieur, continua-t-il ; car si vous n’avez rien à dire contre l’honneur que je réclame, c’est moi qui commencerai, s’il vous plaît. Mon épée est plus courte que la vôtre, c’est vrai, mais bast ! j’espère que le bras suppléera à l’épée.
    – Halte-là ! dit Porthos en s’avançant ; je commence, moi, et sans rhétorique.
    – Permettez, Porthos, dit Aramis.
    Athos ne fit pas un mouvement ; on eût dit d’une statue ; sa respiration même semblait arrêtée.
    – Messieurs, messieurs, dit d’Artagnan, soyez tranquilles, vous aurez votre tour. Regardez donc les yeux de monsieur, et lisez-y la haine bienheureuse que nous lui inspirons, voyez comme il a habilement dégainé ; admirez avec quelle circonspection il cherche tout autour de lui s’il ne rencontrera pas quelque obstacle qui l’empêche de rompre. Eh bien ! tout cela ne vous prouve-t-il pas que(((( M. Mordaunt est une fine lame)))) et que vous me succéderez avant peu, pourvu que je le laisse faire ? Demeurez donc à votre place comme Athos, dont je ne puis trop vous recommander le calme, et laissez moi l’initiative que j’ai prise. D’ailleurs, continua-t-il tirant son épée avec un geste terrible, j’ai particulièrement affaire à monsieur, et je commencerai. Je le désire, je le veux.
    C’était la première fois que d’Artagnan prononçait ce mot en parlant à ses amis. Jusque-là, il s’était contenté de le penser.
    Porthos recula, Aramis mit son épée sous son bras ; Athos demeura immobile dans l’angle obscur où il se tenait, non pas calme, comme le disait d’Artagnan, mais suffoqué, mais haletant.
    – Remettez votre épée au fourreau, chevalier, dit d’Artagnan à Aramis, monsieur pourrait croire à des intentions que vous n’avez pas.
    Puis se retournant vers Mordaunt :
    – Monsieur, lui dit-il, je vous attends.
    – Et moi, messieurs, je vous admire. Vous discutez à qui commencera de se battre contre moi, et vous ne me consultez pas là-dessus, moi que la chose regarde un peu, ce me semble. Je vous hais tous quatre, c’est vrai, mais à des degrés différents. ((((J’espère vous tuer tous quatre,)))) mais j’ai plus de chance de tuer le premier que le second, le second que le troisième, le troisième que le dernier. Je réclame donc le droit de choisir mon adversaire. Si vous me déniez ce droit, tuez-moi, je ne me battrai pas.
    Les quatre amis se regardèrent.
    – C’est juste, dirent Porthos et Aramis, qui espéraient que le choix tomberait sur eux.
    Athos ni d’Artagnan ne dirent rien ; mais leur silence même était un assentiment.
    – Eh bien ! dit Mordaunt au milieu du silence profond et solennel qui régnait dans cette mystérieuse maison ; eh bien ! je choisis pour mon premier adversaire celui de vous qui, ne se croyant plus digne de se nommer le comte de La Fère, s’est fait appeler Athos !
    Athos se leva de sa chaise comme si un ressort l’eût mis sur ses pieds ; mais au grand étonnement de ses amis, après un moment d’immobilité et de silence :
    – Monsieur Mordaunt, dit-il en secouant la tête, ((((tout duel entre nous deux est impossible,))) faites à quelque autre l’honneur que vous me destiniez.

    Notes; ( Athos avait cohabité avec sa mère; Milady; Francoise Prieur `qui avait tenté de l’empoisonner ainsi que Dartagnan.. les mousquetaires l’assassinèrent.. et Mordaunt voulait tuer les Mousquito pour venger sa mère..))

    Et il se rassit.
    – Ah ! dit Mordaunt, en voilà déjà un qui a peur.
    – Mille tonnerres, s’écria d’Artagnan en bondissant vers le jeune homme, qui a dit ici qu’Athos avait peur ?
    – Laissez dire, d’Artagnan, reprit Athos avec un sourire plein de tristesse et de mépris.
    – C’est votre décision, Athos ? reprit le Gascon.
    – Irrévocable.
    – C’est bien, n’en parlons plus.
    Puis se retournant vers Mordaunt :
    – Vous l’avez entendu, monsieur, dit-il, le comte de La Fère ne veut pas vous faire l’honneur de se battre avec vous. Choisissez parmi nous quelqu’un qui le remplace.
    – Du moment que je ne me bats pas avec lui, dit Mordaunt, peu m’importe avec qui je me batte. Mettez vos noms dans un chapeau, et je tirerai au hasard.

    Enfin Mordaunt réussit a s’enfuir par une porte secrète durant le duel contre Dartagnan.. qu’il aurait pu tuer… il se sauva car sachant que tuer Dartagnan les 3 autres l’auraient tué..
    Mordaunt espérait faire sauter le bateau qui ramènerait les Français en France..
    Suite à cette aventure;; Dartagnan disparu pour un temps;; Aramis entra chez les religieux et Athos & Portos vivaient dans la peur de rencontrer Mordaunt; Le duc de Beaufort;; Francois Pépin.. mort en prison le masque de fer..

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  2. Bertrand

    Aramis ouvrit le papier ; mais, quelque calme et quelque froideur qu’il affectât, on voyait que sa voix tremblait de haine et de désir.
    – D’Artagnan ! lut-il à haute voix.
    D’Artagnan jeta un cri de joie.
    – Ah ! dit-il, il y a donc une justice au ciel !
    Puis se retournant vers Mordaunt :
    – J’espère, monsieur, dit-il, que vous n’avez aucune objection à faire ?
    – Aucune, monsieur, dit Mordaunt en tirant à son tour son épée
    – Etes-vous prêt, monsieur ? dit-il enfin.
    – C’est moi qui vous attends, monsieur, répondit Mordaunt en relevant la tête et en regardant d’Artagnan avec un regard dont il serait impossible de rendre l’expression.
    – Alors, prenez garde à vous, monsieur, dit le Gascon, car je tire assez bien l’épée.
    – Et moi aussi, dit Mordaunt.
    – Tant mieux ; cela met ma conscience en repos. En garde !
    – Un moment, dit le jeune homme, engagez-moi votre parole, messieurs, que vous ne me chargerez que les uns après les autres.
    – C’est pour avoir le plaisir de nous insulter que tu nous demandes cela, petit serpent ! dit Porthos.
    – Non, c’est pour avoir, comme disait monsieur tout à l’heure, la conscience tranquille.
    Tous deux firent en même temps un pas en avant, et grâce à ce seul et même mouvement, les fers furent engagés.
    D’Artagnan était une lame trop distinguée pour s’amuser, comme on dit en termes d’académie, à tâter son adversaire. Il fit une feinte brillante et rapide ; la feinte fut parée par Mordaunt.
    – Ah ! ah ! fit-il avec un sourire de satisfaction.
    Et, sans perdre de temps, croyant voir une ouverture, il allongea un coup droit, rapide et flamboyant comme l’éclair.
    Mordaunt para un contre de quarte si serré qu’il ne fût pas sorti de l’anneau d’une jeune fille.
    – Je commence à croire que nous allons nous amuser, dit d’Artagnan.
    – Oui, murmura Aramis, mais en vous amusant, jouez serré.
    – Sangdieu ! mon ami, faites attention, dit Porthos.
    Mordaunt sourit à son tour.
    Et, en une seconde, d’Artagnan porta trois coups terribles à Mordaunt. Tous trois le touchèrent, mais en l’effleurant. D’Artagnan ne comprenait rien à cette puissance. Les trois amis regardaient haletants la sueur au front.
    . D’Artagnan ne comprenait rien à cette puissance. Les trois amis regardaient haletants la sueur au front.
    Enfin d’Artagnan, engagé de trop près, fit à son tour un pas en arrière pour préparer un quatrième coup, ou plutôt pour l’exécuter ; car, pour d’Artagnan, les arènes comme les échecs étaient une vaste combinaison dont tous les détails s’enchaînaient les uns aux autres. Mais au moment où, après une feinte rapide et serrée, il attaquait prompt comme l’éclair, la muraille sembla se fendre ; Mordaunt disparut par l’Ouverture béante, et l’épée de d’Artagnan prise entre les deux panneaux, se brisa comme si elle eût été de verre.
    D’Artagnan fit un pas en arrière. La muraille se referma.
    Mordaunt avait manoeuvré, tout en se défendant, de manière à venir s’adosser à la porte secrète par laquelle nous avons vu sortir Cromwell. Arrivé là, il avait de la main gauche cherché et poussé le bouton ; puis il avait disparu comme disparaissent au théâtre ces mauvais génies qui ont le don de passer à travers les murailles.
    Le Gascon poussa une imprécation furieuse, à laquelle, de l’autre côté du panneau de fer, répondit un rire sauvage, rire funèbre qui fit passer un frisson jusque dans les veines du sceptique Aramis.
    – A moi, messieurs ! cria d’Artagnan, enfonçons cette porte.
    – C’est le démon en personne

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  3. Bertrand

    – Quoi donc ? quelle situation ? demanda Porthos.
    – A ce jeu-là, quiconque ne tue pas est tué, reprit d’Artagnan.
    ! Le misérable va nous envoyer cent côtes de fer qui nous pileront comme grains dans ce mortier de M. Cromwell. Allons ! allons ! en route ! si nous demeurons cinq minutes seulement ici, c’est fait de nous.
    – Oui, vous avez raison, en route ! reprirent Athos et Aramis.
    – Et où allons-nous ? demanda Porthos.
    – A l’hôtel, cher ami, prendre nos hardes et nos chevaux ; puis de là, s’il plaît à Dieu, en France, où, du moins, je connais l’architecture des maisons. Notre bateau nous attend ;

    Notes;; Ils étaient vraiment braves a 4 cotre 1 ??
    Les Huissiers du roi Louis X111…

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  4. Bertrand

    Charle1er était marié a Marie Henriette sœur de Louis X111 fille d’Henri 1V et de Marie de Médicis…celle qui devint reine après avoir assassiné Gabrielle ;le grand amour d’Henri la grande mère de Francois; ; Mordaunt en Angleterre… qui devint le masque de fer

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  5. Bertrand

    Milady de Winter est un personnage du roman d’Alexandre Dumas, Les Trois Mousquetaires. Elle joue une double partition, dictée par le récit romanesque et par la trame historique. Elle a été religieuse, maîtresse d’un prêtre, marquée au fer rouge comme voleuse, puis l’épouse d’Athos, qui l’a pendue, ou cru la pendre ; elle est un moment la maîtresse de D’Artagnan, elle tente en vain de faire tuer Athos et d’Artagnan, réussit au moins à empoisonner Constance Bonacieux. Elle est d’autre part l’agent anglais du cardinal de Richelieu. Sur son ordre, elle compromet la reine Anne d’Autriche en volant deux de ses ferrets de diamant qu’elle avait donnés au duc de Buckingham

    Milady; Francoise Prieur;; femme de Cézar le duc de Vendôme fils d’Henri1v et de Gabrielle D’Estrées…Riche héritière.. ruiné qui du aller chez les religieuses..son mari; prison 1626. ensuite exil;;;Milady tente de tuer Athos et Dartagnan, mais elle fini par se faire assassiné par les mousquitos..; Vos braves !!!!!

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  6. Bertrand

    Louis son premier fils fuit vers la Nouvelle France…
    Francois ;le prisonnier au masque de fer..1669 a 1703…
    Élisabeth (1614-1664), mariée à Charles Amédée de Savoie, duc de Nemours (1624-1652)
    son mari provoqua Francois en duel et fut tué..

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  7. Bertrand Pépin

    Grace a Henri et Gabrielle d’Estrées;; les guerres de religions avaient cessé… mais la religion allait continuer a s’imposer de facon plus stratégique.. influence;;; découverte de la Nouvelle France;; Migration; Catholique seulement… etc..
    Ces deux héros ont civilisé le monde…Malgré tout leurs descendant ont vécu l’enfer… La mafia s’était infiltré dans l’église…

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