Charles Barbanes. Louis XVII. « Autopsie d’une fausse vérité ».

880-918-large_defaultLOUIS XVII AUTOPSIE D’UNE FAUSSE VERITE

L’Affaire Louis XVII : réalité, uchronie ou chimère ?

Ce livre inédit est construit sur le rapport publié en 2008 par la Commission du Vieux Paris, suite aux fouilles réalisées en 2004/2005 dans l’ancien cimetière Sainte-Marguerite, par l’Institut National des Recherches Archéologiques et Préventives.

Les travaux de Jean-Pierre Babelon publiés en 1979/1980 et l’ensemble des archives mises à la disposition de l’auteur par Christian Crépin, permettent d’affirmer que les restes, conservés sous la stèle funéraire dédiée à « L XVII 1785-1795 », sont ceux d’un jeune adulte, décédé au Temple à l’âge de 18 ans environ, le 20 prairial an III (8 juin 1795), sous l’identité de « Louis Charles Capet ».

Le Pr Gérard Lucotte, Institut d’Anthropologie Moléculaire à Paris, vient de révéler que les cheveux de ce substitué étaient naturellement roux et qu’il est impossible qu’ils soient ceux du fils du Roi Louis XVI et de la Reine Marie-Antoinette !

Grâce à l’étude critique des sources historiques les plus sûres, cet ouvrage élimine la théorie selon laquelle Karl-Wilhelm Naundorff aurait été Louis XVII et permet d’espérer que l’acte de décès, de l’état civil de Paris, de « Louis Charles Capet » du 24 prairial an III, soit prochainement annulé.

ISBN: 9782954946863 – Référence : COPY-MEDIA 17645 — 330 pages – 50 exemplaires –

Prix : 25,00 €

Pour commander l’ouvrage : 

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LOUIS XVII, AUTOPSIE D’UNE FAUSSE VERITE

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Voir aussi  l’éphéméride du Salon Beige ! Le voile jeté autour de la vérité sur le destin de Louis XVII commence à se déchirer !  

Pour la version officielle, le Dauphin est né le 27 mars 1785, au château de Versailles ; Louis Charles duc de Normandie est le troisième enfant de Marie-Antoinette et le deuxième fils de Louis XVI. A la mort de son frère aîné Louis de France, âgé de huit ans le 4 juin 1789, il devient le Dauphin de France, puis «prince royal» à partir de 1790. A la mort de Louis XVI, il est enlevé à sa mère et confié au jacobin Simon. Il meurt de maladie à la prison du Temple. Comment la révolution, dont le but est de détruire la Monarchie, bras séculier de l’Eglise catholique, aurait-elle pu arriver à ses fins en laissant mourir le Dauphin. Rendre tout futur prétendant illégitime est un bien meilleur moyen. Et le comte de Chambord lui-même refuse le trône non pas pour un simple drapeau blanc, mais parce qu’il sait qu’il n’est pas l’héritier légitime. Et le cœur déposé en 2004, dans la crypte royale de Saint Denis ne peut pas être celui de Louis XVII car :

1° le cœur analysé en 2000 mesurait 8 cm ; celui examiné en 1894, avant sa remise à don Carlos et présenté comme étant celui de l’enfant du Temple mesurait 6 cm ;

2° l’affirmation selon laquelle la technique de conservation utilisée en 1789 pour le cœur du frère aîné (supposée être l’embaumement) aurait été différente de celle utilisée en 1795 pour Louis XVII lui-même (mélange alcool/eau), est erronée. Dès le début du XVIIIe siècle, l’inefficacité de la méthode employée encore au siècle précédent, pousse à utiliser la conservation par le mélange hydro-alcoolique (celle-ci impliquant, notons-le, une dessiccation complète du viscère, ainsi qu’une forte réduction de taille). Au demeurant, le cœur de Louis-Joseph, avant d’être remisé dans une boîte de plomb au Val de Grâce, puis à la bibliothèque de l’archevêché de Paris, avait été placé lui aussi dans une urne, comme le souligne Reynald Secher en 1998, ce qui confirme l’utilisation d’une solution liquide pour la conservation.

Enfin lorsqu’en 1894 sont exhumés les restes de l’enfant mort au Temple et enterré au cimetière Sainte-Marguerite à Paris, les médecins affirment qu’il s’agit d’un enfant d’au moins quatre ans plus âgé que ne l’était Louis XVII. Si le résultat des analyses ADN pratiquées en 2000 est incontestable, le cœur analysé peut donc être aussi bien celui de Louis-Joseph, frère aîné de Louis XVII, que celui de Louis-Charles, Louis XVII lui-même.

Il existe un document qui permet de clarifier ce « mystère », vérité à la quelle ont droit tous les Français : le Testament de la duchesse d’Angoulême que détient l’Etat du Vatican.

4 thoughts on “Charles Barbanes. Louis XVII. « Autopsie d’une fausse vérité ».

  1. irene

    Bonsoir Messieurs, Oui, j’ai entendu parler de ce nouveau livre sur l’affaire. MAIS je ne vois pas en quoi un travail sur ce malheureux cimetière (où il n’y a plus d’énigme depuis bien longtemps) peut apporter une quelconque contradiction à l’identité Naundorff-Louis XVII !!! Je lirai ce livre attentivement et en tirerai les conclusions qui s’imposent, mais je crains fort de beaucoup décevoir l’auteur en ne voyant guère de rapport avec la survie du petit prince. Amitiés.

    Reply
  2. Hervé J. VOLTO

    LE SACRE DE LOUIS XVII

    -Louis XVII, figure Christique de la Révolution: tout le monde le dit mort, mais personne n’a retrouvé son corps (Princesse Amélie de Bourbon-Parme, LE SACRE DE LOUIS XVII, NRF – Gallimards, p.69) .

    Mais est-ce bien le coeur de Louis XVII qui a été inhumé, le 8 Juin 2004 dans la rypte de Saint-Denis, avec l’accord du Ministère de la culture et en présence de tous les membres officiels de l’Auguste Maison de Bourbon? Ne serait-ce pas plutôt celui du Dauphin Louis-Jospeh, frère aîné de Louis XVII, mort le 8 Juin 1789? Des personnalités comme le professeur Jean Tulard de l’Institut, ou l’historien Alain Decaux, ne l’excluent pas.

    En fait le Manuscrit de Trieste démontre la probale survivance de Louis XVII au delà de la date boutoir que les révisionistes révolutionnaires nous donnent constamment: 15 Aout 1795. Le jeune Roi de France ne serait pas mort au Temple. Et un enfant du même age, chargé de le substituer, aurait été martyrisé à sa place. Si l’enfant-Roi a été évadé, le mérite en incombe à l’Ordre Souverain de Malte, à tous les Princes de Sang de France -Même ceux qui pensaient qu’il n’étaient pas le fils de Louis XVI mais celui de Fersen, ce jusqu’à la révélation de Martin de Galardon!- les Rois d’Espagne, les Empereurs d’Autriche, les Aristocrates Français, ceux d’Ecosse, d’Irlande et ceux du Saint-Empire Germanique qui ont fait face à leur resposabilités et permi que l’Enfant-Roi fut mis à l’abrit à l’étranger. On ne peut que remercier leurs descendants actuels.

    Le Comte de Chambord lui-même, qui ne voyait de destin Français que dans le cadre de la Chrétienté, ne concevait de Mission Française que la fidélité de la France à son Baptême et ne désirait de salut national que dans l’esprit de justice, décida de renoncer au Trône -au grand dam de ses contemporains!- après la révélation de Maximin Giraud, le Berger de la Salette, de la Survivance de louis XVII et de la vraie descendance Royale, et la querelle du Drapeau Blanc ne fut qu’une excuse.

    Ou se trouve cette descendance?

    Il y a trois hypothèses:

    1. Naundorff était Louis XVII et les descendants de Naundorff sont les descendants de Louis XVII.

    2. Naundorff n’était pas Louis XVII, mais le fils adultérin du dernier Prince de Condé (et donc demi-frère de l’infortuné Duc d’Enghien), dont la cuisinière hollandaise se nommait Emma Naundorff: le futur Grand Monarque est le descendant Salique de Louis XVII mais on ignore complètement où se trouve cette descendance, qui est celle des Lys coupés.

    3. Le futur Grand Monarque ne descend de Louis XVII que par sa mère, petite-fille du petit-fil de l’Enfant-Roi, et membre de la branche coupée des Lys, et descend par son père de la Branche Aînée de Saint-Louis, qui est celle des Bourbons-Montpensier-de-Valois-et-de-La Croix, lignée oubliée mais Légitime, dont le Masque de Fer fut l’incarnation comme l’instrument Divin du témoignage de la permanance de la Légitimité: on ignore totalement, là aussi, où se trouve cette double descendance, dont on ne connaitrait que le nom: Henri V de la Croix.

    Pour ceux qui ne croirait pas en les prophéties du Grand Monarque, Claude Mouthon-Raimbault l’a dit dans son livre Le coeur de Louis XVII (Editions de Chiré): le doute sur la mort de Louis XVII ne saurait l’emporter sur l’espérence d’une VRAIE Restauration, dont l’Enfant-Roi -qu’il soit mort ou non au Ttemple- demeure le symbole, en attendant que se réalisent les promesses du Sacré-Coeur à la France: celles du retour de la Monarchie, facteur de Grandeur pour la France…

    Hervé J. VOLTO, CJA, Président Honoraire de la Charte de Fontebvrault (Président 1991-1994), membre du Chapitre Général et Délégué Officiel pour l’Italie

    Reply
  3. Pingback: Statistiques de consultation du blog de la Charte de Fontevrault et de l’Encyclopédie du Royalisme en ligne SYLMPEDIA au 12 décembre 2017 | La Charte de Fontevrault

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