Le 30 juin 2015, Vénus, la planète qui tient son nom de la déesse de l’amour, et Jupiter, qui tient son nom du dieu du tonnerre, se sont croisées. Pour nous, cela ressemblait à une « double étoile » dans le ciel. On a pu observer que les deux planètes se rejoignaient petit à petit depuis le début du mois de juin
Cette rencontre dans le ciel s’appelle une conjonction : lorsque deux corps ont soit la même ascension droite ou la même longitude écliptique. Ensemble, Jupiter et Vénus ont créé l’étoile de Bethléem. Cette conjonction entre Jupiter et Vénus n’est pas rare, mais c’est la première fois depuis 2000 ans qu’elles sont aussi proches ! Les deux étoiles se sont ainsi superposées et ont formé ce que l’on appelle une super-étoile brillante
http://www.espritsciencemetaphysiques.com/etoile-de-bethleem-reapparu.html
A l’exposition universelle de Milan, le pavillon israélien a mis l’accent sur le développement de l’économie rurale :
http://www.expo2015.org/fr/participants/pays/israel
C’est à dire qu’Israël va être traversée par les mêmes tensions que tous les autres pays : développement de la robotique pour mécaniser l’agriculture ou accroître la part des travaux manuels agricoles dans le P.I.B. ? En robotisant les tâches manuelles, c’est cette part de la productiond de richesse qui sera robotisée. A terme : qu’est-ce qu’un P.I.B. robotisé ? C’est à dire un pays dont 90 % de son P.I.B. serait obtenu par la robotisation ? Est-ce le but de l’économie que cette rencontre entre le progrès robotique et la certitude de la continuité de l’Etat qui s’affranchit de la main d ‘oeuvre de ses citoyens ? Il faut des études plus approfondies : quelle part du P.I.B. génère chaque grand secteur d’activité économique et humaine : secteur primaire, secteur secondaire, secteur tertiaire, secteur quaternaire (= les services de l’Etat) ? On voit dans les sanctions des U.S.A. contre la Russie une dérive des rapports de force de ces secteurs d’activité : alors qu’EXXON réalise un contrat de 500 milliards de dollars avec la Russie en 2014 pour des forages pétroliers en Arctique, les activités agricoles restent sanctionnées. Même si le Président français vient de la Corrèze et que la France compte un suicide de paysan tous les 3 jours en 2014, l’Elysée a suvi washington pour « sanctionner? » Moscou qui se voit puni de ne plus manger du camembert normand ! Combien d’entreprises agricoles ont fait faillitte depuis 2014 ?
Tandis qu’en élaborant une politique qui inclut un pourcentage des secteurs d’activités dans le P.I.B. tout le monde aurait perçu le piège des sanctions américaines concoctées par les lobbys proches des majors des secteurs secondaires, tertiaires et quaternaires. Lors de COP 21, il faudra donc réformer la représentativité des secteurs d’activité auprès des Etats. Le Sénat français a cette fonction de protéger la ruralité, c’est le principe même du découpage cantonal. Or, aucun sénateur (il était à gauche) n’a jugé bon de protéger notre secteur agricole : comment les écologistes du Sénat peuvent croire qu’ils sont crédibles alors qu’ils ont obtempéré aux injonctions des lobbys américains pour valider les sanctions contre la Russie, validant aussi les sanctions contre notre économie primaire agricole ? Lâcheté ? Couardise ? Bêtise ? Peur ? Un peu tout ça.
Il faut un parti écologiste hébreux fort à la Knesset pour contrer les vélléités de Monsanto (composé de nombreux fonds juifs) et rétablir le règne économique du secteur agricole dans les P.I.B. des Etats. A noter que l’islam ne fait que critiquer Israël mais si chaque pays africain avait développé son secteur agricole comme Israël, il n’y aurait pas d’immigration-invasion par la Méditerrannée. Il faut donc soutenir l’exemple isarélien et si des robots doivent être construits c’est pour cultiver dans les déserts les plus chauds de la planète afin de transformer la désertification en champs verts. Imaginons le principe juridique de « zone franche désertique » : les pays qui adopteront ce principe auront le droit de supprimer les droits de douanes pour qu’un robot chinois fasse pousser des salades dans le Sahara, un robot israélien dans un désert sud-américain, un robot français dans un désert australien. Cela prépare l’envoi de robots ouvriers sur les exoplanètes. Il faut tranformer nos difficultés mondiales actuelles en projets porteurs pour demain et protecteurs pour aujourd’hui. Les invasions ne protègent pas mais créent de l’insécurité, de l’injustice raciale en « infériorisant » médiatiquement le peuple qui accueille parce qu’une omerta mondiale est sans vision. Israël est en train de restaurer le droit du sang sur une terre, ce qui place l’Etat hébreux en collision frontale avec les autres forces du monde qui veulent une mondialisation du métissage forcé. Ce mélange des peuples existe peut-être depuis des siècles et l’arrêter n’est pas facile car nous avons des implications à briser, des fautes sur notre manière d’avoir pensé le monde.
Israël possède 1, 65 millions sous le seuil de pauvreté, soit 22 % de la population du pays, seul le Mexique et le Chili ont des taux de pauvreté plus élevés qu’Israël. Cependant, Israël a un taux d’endettement tombé à 67 % du PIB contre 94 % en 2003, ce faible niveau de la dette publique laisse au gouvernement une marge de manoeuvre confortable pour combler son déficit bugétaire en évitant l’austérité. Une politique volontariste de retour à la terre donnerait de quoi vivre à ces 1, 65 millions d’israéliens dont certains ont peut-être fait leur alya car menacés par l’islam en Occident et ils retrouvent pauvres en « terre promise », un comble ! La banque d’Israël s’est constitué une réserve de devises record de 86 milliards de dollars en 2014; en 2014, le revenu moyen de l’israélien était de 132 500 shekels, soit 37 000 dollars. En 1974 : 6 600 dollars, 450 % en 30 ans : cet argent pourrait acheter la production agricole locale pour disséminer la richesse israélienne vie l’économie de consommation locale.
Selon certains-bien informés- l’apparition de cette étoile de Bethléem ne serait qu’une vue de l’esprit.