D’azur au chevron écimé accompagné en chef de trois fleurs de lys, en pointe de deux fers de lance passés en sautoir, tous d’or.
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Blason_Magnanville01.svg
La sauvagerie du drame qui a touché Magnanville (78200) nous permet du moins de nous pencher sur les armoiries de la commune qui a payé un si lourd tribu à l’abandon par la France républicaine de la vocation de la France éternelle.
http://www.20minutes.fr/societe/1865027-20160614-direct-policiers-tues-magnanville-assaillant-identifie
Que voyons nous dans ces armoiries?
- Les trois fleurs de lys d’or sur fond d’azur empruntées au chef dit de France
- Un chevron écimé qui évoque assez la décapitation de la France et de son chef Louis XVI pour qu’il ne soit pas besoin d’en parler d’avantage.
- Deux fers de lance qui font assez clairement allusion aux combats de toute nature que nous allons avoir à mener pour réinstaurer le chef de LA France sur ce qui reste de notre pays bien aîmé.
- Les émaux (Azur et or) de ces armes étant , pour faire bonne mesure, ceux des armes traditionnelles de la France ancienne.
Alain TEXIER, CJA. Président fondateur de la Charte de Fontevrault en l’Abbaye royale homonyme le 25 août 1988.
Une grande bataille aura à l’époque du Grand Monarque, sur le sol de la commune de Magnanville.
Le Krak des chevaliers
Forteresse imprenable
Dominant la plaine
Place forte des croisés
Sise à l’ouest en Syrie
Terre blessée par la guerre
Plus beau château du monde
Au dire de Lawrence
Le monde à l’agonie
Le cœur si loin de Dieu
Versant du crack des geeks
A celui que l’on pique
Au loin gronde le chaos
Effondrement financier
Le krach des actifs
Des bulles spéculatives
Tel un dessin animé
Du crac Québécois
Défilent les évènements
Qui mènent au dénouement
La France attend son crack
Noble cheval de Course
A la robe immaculée
Monté par le Lieutenant
Ainsi se terminent les liens
A cette commune de Crac’h
Terre du Morbihan
Où l’inspiration me vint
http://louischiren1785.wix.com/artistpainter#!blank-8/k3nbh
Pour ce qui est des fleurs de Lys, elles ont toujours veiller sur la France depuis cette funeste révolution. Pour preuve, la commune du Morbihan Crac’H où a débutée ma mission et où la mère du comte de Chambord, Marie Caroline Ferdinande Louise de Naples et de Sicile, duchesse de Berry, a laissé sa charitable et pieuse trace.
Le blason de la commune a également un lien très fort avec les armes de France:
» D’azur à une tête de cheval d’or au chef cousu du champ chargé de quatre fleurs de lys d’or posées en fasce « .
Voir le lien ci-dessous:
http://louischiren1785.wix.com/artistpainter#!blank-7/aijxb
Aussi comme aime à le répéter monsieur VOLTO, chacun à son poste, le Christ nous veut tous et toutes à la manœuvre. Le vaisseau de la flotte providentialiste avance et Dieu de son souffle gonfle les voiles.
En très grande union de prière pour Dieu la France et le roi que nous attendons !
Louis Chiren
Pingback: Vers un appel historique du 17 juin 2016, pour sortir du cauchemar et échapper au chaos et à l’abîme vers lesquels la France se précipite ? … « cril17.info
Non … Donnes moi des détails par mail perso.
Voici la réponse que j’ai reçu d’Hervé Volto. Elle n’est pas aussi satisfaisante qu’elle aurait pût l’être même si elle contient des éléments intéressants.En tout cas l’analyse que j’ai faite des armes de la commune sans avoir connaissance de l’écho ci-dessus reste…Alain TEXIER.
Un ami voyant m’a dit (à prendre avec prudence) qu’il y aura à l’époque du Grand Monarque une grande bataille sur le sol de Magnanville, entre le contigent breton et les forces de la république coalisée avec une puissance étrangère venue des Balkans. Celui qui aurait conçut les armoiries de la villes aurait eu connaissance d’une prophétie oubliée. Je ne peux t’en dire plus. Cet ami désire rester anonyme.
Beau commentaire, providentialiste à souhait et plein d’humour, de notre ami Alain. Hélas, à l’heure qu’il est, je ne suis pas encore parvenu à trouver l’explication de ces armoiries (même pas dans une reprise de celles des possesseurs successifs du château de Magnanville).
Jean-Yves Pons
A propos des prophéties le Padre Pio disait :
« Quand elles viennent des hommes, elles ne parlent que de châtiments.
Mais quand une prophétie vient de Dieu, elle ne parle que d’amour et de miséricorde »
*de la dévotion au Sacré-Cœur:
« Offrez et consacrez votre cœur à mon Sacré-Cœur. Faites que Mon Cœur soit votre refuge, c’est là que vous trouverez le repos.
De là découle le bonheur ».
Plongez toutes vos imperfections, tous vos défauts dans Mon Précieux Sang pour en obtenir l’atténuation. Persistez dans l’Amour, en union avec Mon Sacrifice, pour la Rédemption de l’humanité. »
*Padre Pio parle aussi de l’échec de la République :
« Sans le soutien de pouvoir royal et divin de David, l’Eglise tombe en décadence, sous l’esprit du serpent, qui relève sa tête orgueilleuse sur le chef de l’Eglise.
Les républiques ont le malheur de relever de terre les esprits serpents lesquels sacrifient le peuple de Dieu, l’empêchant de l’élever vers le Dieu du ciel…
C’est aujourd’hui le mal de l’Europe. »
Padre Pio parla un jour d’un testament se trouvant au Vatican, celui de la Duchesse d’Angoulême. Padre Pio était persuadé que la France cachait un pouvoir qui allait se révéler à l’heure de Dieu :
» La folie des hommes a été de tenter de tuer la royauté.
Le monde le paye encore aujourd’hui.
Sans le véritable Roi promis par Dieu parmi les descendants de David, le pouvoir de Dieu ne réside plus dans le cœur des chefs d’Etats et des ministres.
Que le malheur du monde sera grand avant que les hommes puissent comprendre cette vérité.
La vraie grandeur de la France est le pouvoir royal de David qui fut en terre de France, dans le sang du Roi Louis XVI et de Marie Antoinette.
Cependant, comme le roi Louis XVI pardonna à la France, celle-ci garde le droit à la grandeur de la royauté de David, celle qui est amour et humilité. »
http://www.touteslespropheties.net/padre-pio/
18 juin 1429 Jeanne d’Arc victorieuse à Patay
Nous sommes dans la deuxième phase de la «guerre de Cent Ans». Les Anglais et leurs alliés bourguignons tiennent non sans difficulté le nord de la France. Le roi Charles VII, revigoré par l’arrivée de Jeanne d’Arc, reprend l’offensive.
Après avoir délivré Orléans, les troupes royales commandées par le duc Jean d’Alençon, gendre du roi Charles VII, sont rejointes par les troupes de Dunois, le défenseur d’Orléans. Ainsi renforcées, elles descendent la vallée de la Loire afin d’en chasser les Anglais. Elles rencontrent une première fois ceux-ci devant la petite ville de Jargeau, le 12 juin. Jeanne d’Arc, brandissant son étendard, monte à l’assaut des remparts. Blessée d’une pierre à la tête, elle se relève et continue sur sa lancée.
Bientôt, les Anglais refluent en désordre cependant que leur chef, le duc de Suffolk, est capturé. Il sera remplacé à la tête de l’armée par John Talbot.
Les troupes françaises poursuivent l’ennemi et le chassent de Meung-sur-Loire puis Beaugency. Remontant vers le nord, elles se heurtent à une armée anglaise venue de Paris pour secourir la garnison de Beaugency.
Le choc a lieu près du village de Patay, à 25 kilomètres au nord-ouest d’Orléans, sans doute le 18 juin 1429.
La cavalerie française charge avec succès les francs-archers anglais, en dépit de l’efficacité redoutable de leur longbow, un arc puissant de près de 2 mètres. Débordés par la charge, les archers s’enfuient tant bien que mal.
Les Français remportent une victoire totale sous le commandement du duc Jean d’Alençon ainsi que de l’ancien connétable Arthur de Richemont, lequel, en dépit de la disgrâce royale, s’était mis au service de Jeanne d’Arc. Les Français bénéficient aussi de l’appui des Écossais de l’«Auld Alliance», commandés par Patrick Ogilvy.
Bousculés, les Anglais sont écrasés à plate couture. Ils comptent 2 à 3000 morts et 400 prisonniers, parmi lesquels John Talbot, qui a pris la tête des armées anglaises. Il est capturé par Xaintrailles, un capitaine gascon, qui va généreusement le libérer sans rançon. Un autre chef de l’armée, Sir John Fastolf, s’enfuit et sera pour cette raison radié de l’Ordre de la Jarretière.
Les Français n’ont à déplorer qu’une poignée de morts. C’est leur premier succès dans une bataille rangée, depuis leur défaite écrasante d’Azincourt (1415).
André Larané fondateur de Herodote.net
Sa devise : une formule que l’on prête à Guillaume le Taciturne, fondateur des Pays-Bas indépendants : « Il n’est point besoin d’espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer ».
https://www.herodote.net/18_juin_1429-evenement-14290618.php
C’est arrivé un 21 juin…
lu sur l’éphéméride de référence
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/06/cest-arriv%C3%A9-un-21-juin.html
« A qui veut régénérer une Société en décadence, on prescrit avec raison, de la ramener à ses origines. » Léon XIII, Rerum Novarum
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Alors rappelons-nous :
…/…
le 21 juin 1429 : la triple donation du Royaume de France.
Peu avant le sacre de Charles VII, à Reims, le 17 juillet 1429, Jeanne par un pacte officiel et public renouvelle le pacte conclu entre Dieu et le Royaume de France naissant à Reims en 496. Qui connaît, aujourd’hui, ce qui s’est passé le mardi 21 juin 1429 à 16 heures en l’abbaye de Fleury-sur-Loire, appelée ensuite Saint-Benoît-sur-Loire ? C’est pourtant là qu’a lieu un évènement central de toute l’histoire de France.
Alors que la confusion la plus grande règne en France où « il y a grande pitié », Dieu se manifeste à notre nation. Débauche, immoralité, trahison des clercs et des élites intellectuelles de l’université de Paris, politique qui avec la reine Isabeau de Bavière, ont vendue la France par le traité de Troyes, qui la donne à Henri V Roi d’Angleterre, scandale de la filiation du Dauphin, le futur Charles VII, que sa propre mère appelle « batard » ; tout semble annoncer la disparition de la Fille Ainée de l’Eglise.
La triple donation du Royaume de France est racontée dans le Breviarium historiale, texte rédigé peu après, au cours de l’été 1429, qui est consultable à la Bibliothèque Vaticane.
Jehanne dit à Charles : «Sire, me promettez-vous de me donner ce que je vous demanderai?» Le Roi hésite, puis consent. «Sire, donnez-moi votre royaume».
Le Roi, stupéfait, hésite de nouveau ; mais, tenu par sa promesse et subjugué par l’ascendant surnaturel de la jeune fille : «Jehanne, lui répondit-il, je vous donne mon royaume». Après quoi, voyant celui-ci tout interdit et embarrassé de ce qu’il avait fait : «Voici le plus pauvre chevalier de France : il n’a plus rien».
Cela ne suffit pas : la Pucelle exige qu’un acte notarié en soit solennellement dressé et signé par les quatre secrétaires du Roi. « Notaire, écrivez dit la pucelle inspirée : le 21 juin de l’an de Jésus christ 1429, à 4 heures du soir, Charles VII donne son royaume à Jeanne. Ecrivez encore : Jeanne donne à son tour la France à Jésus-Christ. -Nos Seigneurs dit-elle d’une voix forte, à présent, c’est Jésus-Christ qui parle : « moi, Seigneur éternel je la donne au Roi Charles ».
Que signifie cet événement capital ?
– que ce Dauphin, que l’enseignement républicain nous présente comme un indécis et un demeuré, voire le digne fils d’un fou, mais que ses contemporains appellent le «bien-servi» (ce qui signifie qu’il savait juger les hommes), montre en cette occasion une foi extraordinaire en la Sainte Providence. Toute sa vie est d’ailleurs un exemple remarquable de Roi très chrétien.
– qu’il n’y a qu’un seul Roi qui mérite d’être aimé et servi : c’est le vrai Roi de France, Notre-Seigneur Jésus-Christ. Et que C’est Notre Seigneur JÉSUS-CHRIST qui a VOULU ÊTRE, ET EST, ROI DE FRANCE; et le Christ a voulu nous le faire savoir par l’entremise d’une fille de 17 ans.
– que la raison d’être de notre pays est de proclamer à la face de l’univers non seulement la royauté universelle du Christ sur le monde, c’est sa mission « d’éducatrice des nations » ;
– que cet acte officiel et capital consacre le Roi de France comme le lieutenant du Christ ; si les successeurs de Charles VII avaient compris, ils auraient considéré ce document comme le plus grand de leurs trésors; ils l’auraient relu et médité tous les jours et seraient encore aujourd’hui sur le trône ;
Dès le lendemain, le Dauphin décide d’aller à Reims pour se faire sacrer, malgré plusieurs opposants et grâce à l’insistance de Jeanne. Le pacte de Reims se renouvelle alors que tout semblait perdu. Or A-t-on vu un vrai Roi abandonner ses sujets ? Peut-on penser une minute qu’après avoir tant châtiée la France, il ne puisse ne pas répondre aux prières le suppliant de convertir le pays?
le 21 juin 1667 : pose de la première pierre de l’Observatoire Royal à Paris.
En 1666, le Roi a créé, en compagnie de Colbert, l’Académie royale des sciences. C’est le Roi qui pousse à la création de l’observatoire royal. Le jour du solstice d’été, les scientifiques de l’Académie royale décident de l’emplacement du monument, en fonction du méridien de Paris. Claude Perrault en assure la construction. Colbert propose à l’astronome néerlandais Christiaan Huygens et au Franco-Italien Jean-Dominique Cassini de venir y travailler. Ce dernier y découvre deux satellites de Saturne et étudie la division qui porte son nom. Au cours du XXe siècle, les observatoires de Meudon et de Nancy sont rattachés à celui de Paris.
le 21 juin 1786 : exécution de la condamnation de Mme Lamotte instigatrice de l’affaire du collier.
Le Cardinal de Rohan est pleinement acquitté et sort rapidement de la Bastille ; Mme Lamotte a été condamnée à être fouettée, marquée et enfermée. L’acte deux de la manœuvre, qui vise à détruire l’image de la Reine dans l’esprit des Français, consiste à faire de la voleuse un parangon de vertus. Le maçon Louis Blanc raconte sa réaction à l’énoncé de la sentence dans son livre : Histoire de la Révolution, (édit. de Bruxelles, 1848, t. II, p. 132.)
« Pour ce qui est de Mme de La Motte, elle tomba, en apprenant son sort, dans d’inexprimables accès de rage. Pendant qu’on lui lisait la sentence, on fut obligé de la tenir en l’air, personne n’ayant pu, par violence, la faire mettre à genoux. Liée avec des cordes et traînée dans la cour du Palais de Justice, elle se mit à pousser des cris, non d’épouvante, mais de fureur. S’adressant au peuple : « Si l’on traite ainsi le sang des Valois, quel est donc le sort réservé au sang des Bourbons ? »… Comme elle se débattait avec désespoir entre les mains du bourreau, le fer qui la devait marquer sur l’épaule la marqua sur le sein. On la transporta à la Salpêtrière, échevelée, le visage couvert de sang, demi-nue, et exhalant en imprécations ce qui lui restait encore de force. »
« C’est le 21 juin 1786 qu’eut lieu cette exécution. Mais les magistrats l’avaient annoncée pour le 13 et, apprenant qu’elle était retardée, l’opposition (c’est-à-dire la Maçonnerie) commença aussitôt, en faveur de la coquine que le Parlement venait de condamner à l’unanimité, un concert tout pareil à ceux qu’on entendra pendant l’Affaire Dreyfus, un siècle plus tard : « Et les nouvellistes de répéter que la Comtesse serait graciée par le Roi; que la Cour avait décidément honte de l’iniquité commise, que la Reine rougissait de laisser flétrir une innocente – sa victime. Le vent est à présent fixé dans sa direction. Quoi que la Reine fasse ou ne fasse pas, quoi qu’il advienne, le vent soufflera contre elle. » (M. Funck-Brentano, L’Affaire du Collier, 6e édit., pp. 363, 364.)
Louis Dasté dans, Marie Antoinette et le Complot Maçonnique, continue à décrire le montage patiemment élaboré pour détruire la Reine. Pour cela, il s’appuie sur les écrits de M. Funck-Brentano et surtout de Louis Blanc, le fameux maçon avec son livre Histoire de la Révolution :
« On cuisina si bien ce qu’on appelle l’opinion publique que, dès le lendemain de l’exécution de l’arrêt, la voleuse du collier devint sympathique ! Les détails de l’exécution de Mme de La Motte avaient été horribles… Ils se répandirent dans Paris. La foule en fut impressionnée. On redisait ses imprécations à la Reine et au cardinal de Rohan, ses accusations contre eux, ses reproches au Parlement, tout de miel et d’indulgence pour les personnages d’importance, toujours prêt à servir la Cour, la noblesse et le clergé. […] « La situation de la Comtesse, dit la Gazette d’Utrecht, commence à intéresser jusqu’aux personnes qui étaient le plus insensibles à son châtiment. […] « La dame de la Motte, note la Gazette de Leyde, devient de plus en plus stoïque et résignée à son sort. Elle s’occupe, la plus grande partie de la journée, à lire et à méditer le livre ascétique de l’Imitation de Jésus-Christ… » « … La plus grande partie de la journée à méditer le livre ascétique… », et la Reine osait dire qu’elle était une criminelle ! C’était une sainte. » (M. Funck-Brentano, La Mort… pp. 15 à 17.)
Qui menait le mouvement d’opinion destiné à sortir Mme de la Motte de la boue tandis qu’on y plongerait la Reine ? – La Franc-maçonnerie : « Le duc d’Orléans, qui dirigeait la Franc-maçonnerie et préparait son rôle révolutionnaire, vit dès lors le parti qu’il pourrait tirer de l’aventure et la duchesse d’Orléans prit la tête de ce joli mouvement de compassion. (M. Funck-Brentano, La Mort…, p. 18.)
Sa femme, la Sérénissime Sœur*** duchesse d’Orléans, et sa belle-sœur, l’infortunée amie de la Reine, la Sérénissime S*** Princesse de Lamballe, donnent l’exemple des visites à Mme de la Motte, et le parloir de la Salpêtrière devient le rendez-vous des femmes de la plus haute noblesse dont la plupart, hélas ! ont été enrôlées dans la Maçonnerie féminine.
Si l’on songe qu’en collaborant aux intrigues de la Maçonnerie, les Frères*** et les Sœurs*** de l’aristocratie française creusaient leurs propres tombeaux, en même temps que les tombeaux de Louis XVI, de Marie-Antoinette, de la Monarchie tout entière, – on voit se dessiner en lettres de feu les lignes, cruelles du F*** Louis Blanc : « Grâce au mécanisme habile de l’institution, la Franc-maçonnerie trouva dans les princes et les nobles moins d’ennemis que de protecteurs… Il arriva, par une juste et remarquable disposition de la Providence, que les plus orgueilleux contempteurs du peuple furent amenés à couvrir de leur nom, à servir aveuglément de leur influence les entreprises latentes dirigées contre eux-mêmes. » (F*** L. Blanc, Histoire de la Révolution, t. II, p. 71.)
Marie Antoinette et le Complot Maçonnique, Louis Dasté (éditions La Renaissance Française, pages 65 à 67 et suivantes)
le 21 juin 1791 : arrestation du Roi Louis XVI à Varennes.
Louis XVI, Marie-Antoinette, et leurs deux enfants sont arrêtés dans la bourgade de Varennes-en-Argonne. Ils ont fui le palais des Tuileries la veille afin de rejoindre l’armée du marquis de Bouillé à Metz. Mais le cortège royal est reconnu à Sainte-Menehould par le maître de poste Drouet qui donne l’alerte. Une fois la disparition du Roi constatée, et l’alerte donnée, La Fayette, commandant la garde nationale, envoie des courriers dans toutes les directions pour ordonner l’arrestation de son souverain. On ne peut avoir deux maîtres, or La Fayette est maçon.
Bloqué une partie de la nuit, le Roi refuse que la force soit employée, des hussards et une partie de la population sont prêts à couvrir son départ, Louis XVI attendant, en vain, le renfort de Bouillé, qui aurait dû arriver.
…/…
C’est un postier qui a fait arréter Roi de France. Le peuple, représenté par ce postier, a sa part de responsabilité de la Révolution. Ne manquez pasd notre article LES ROIS DE FRANCE ET LE SACRE COEUR : vous y découvrirez ce que les successurs de Louis XIV ont fait pour le le Sacré-Coeur. Il appartient aussi au peuple de France de prier PUBLIQUEMENT le Sacré-Coeur pour obtenir plus vite le Roi HENRI V DE LA CROIX (comme il y eu un Philippe VI de Valois) qui conssacrera la France et méritera le surnom de ROI DU SACRE COEUR.
Tous à Pontmain, Tous à Tilly, tous à Pary le Monail ! TOUS A GENOUX !!!
Encore un truc : sur la commune de Magnanville, dans le futur, un Roi (les 3 Lys), héritier de Louis XVI (le chevron décapité) mènera un combat (les deux lances qui s’entrechoquent) contre les ennemei de la France et de la Chrétienté. Sa victoire est danms les couleurs de la France Royale : Azur et Or…
Et cette fois as tu une réference que l’on puisse vérifier en la recoupant ?
https://i.imgur.com/Fl2h0zR.jpg