Samedi 19 mai 2018. Fontevristes, venez et voyez les petits cailloux blancs déposés sur notre chemin par la Providence.

Un Samedi comme aujourd’hui – mais ce sera le samedi 25 août 2018 – nous fêterons au Domaine de Mestré ( Commune de Fontevraud l’Abbaye) le 30 éme anniversaire de la fondation de la Charte de Fontevrault :

https://chartedefontevraultprovidentialisme.wordpress.com/2016/03/27/rencontres-fontevristes-du-jeudi-25-aout-2016-quelques-vues-du-domaine-de-mestre-35-km-de-fontevraud-lieu-du-repas-et-du-chapitre/

Trente ans cela se fête et comment mieux le fêter qu’en rappelant – par morceaux choisis – tout ce que la Providence a daigné faire pour nous tout au long de ces années ? 

***

Mes parents m’ont   doté de trois prénoms : Alain , Yves, Fernand .« 

Fernand’  renvoie  à un de mes aïeuls paternels , Fernand Viallatoux,  étudiant,  qui me parait être mort trés jeune  24-25 ans.

Le prénom « Alain » ne me parait pas  avoir  déjà été porté dans ma parentèle . En revanche le  bienheureux Alain de la Roche( + 1475)  pourrait m’aider à découvrir les  bienfaits du rosaire , un des grands absents de ma  vie  chrétienne.   http://reflexionchretienne.e-monsite.com/pages/vie-des-saints/septembre/bienheureux-alain-de-la-roche-restaurateur-de-la-devotion-du-rosaire-1428-1475-fete-le-09-septembre.html Peut-être pourrais je m’intéresser aussi à  un autre  bienheureux Alain de Solminihac rappelé à Dieu le 31 décembre 1659 https://fr.wikipedia.org/wiki/Alain_de_Solminihac

Quant à « Yves« , ses  correspondances sont assez nombreuses avec ma mère d’abord  Yvette Texier née Fourcade,  avec la soeur de mon père, Yvonne ,  naissance  qui s’ert produite 16 ans après son rappel à Dieu.  Yvonne  Texier était  morte à Châtelaillon  (17340)   à l’été 1929  d’une méningite à 19 ans  alors qu’elle étudiait la pharmacie.

Ce qui est providentiel  c’est  que sans l’avoir jamais  connue puisque  je suis né  en 1945,  je m’en suis  découvert en fait trés proche et je la  connais trés  bien puisqu’elle nous a laissé cinq agendas à l’écriture trés fine  où j’ai découvert une jeune chrétienne fervente  allant  régulièrement à la messe en  semaine en l’église Saint Pierre du Queyroix, à Limoges,  messe en semaine et  église où j’ai suivi ses pas. Yvonne ne manquait pas de mentionner les jours fréquents où elle communiait en faisant  suivre  le lieu  et l’heure dela messe par une  (+). Mes  confessions en ce lieu, comme celle de jeudi dernier s’accompagnent   d’ailleurs souvent  dune prière pour elle ou pour moi  par son intermédiaire.

Mais aujourd’hui , fête de la saint Yves, comment ne pas mentionner mes études  de  droit , études  brillantes,  qui ont heureusement  contrasté avec  mes lamentables études secondaires.  Mes parents avaient-ils pressentis cela en me donnant  comme  saint patron supplémentaire  le juriste Yves  comme one le verra rappelé  ci-dessous ?

https://nominis.cef.fr/contenus/saint/1186/Saint-Yves.html

Yves Hélory, prêtre et juge en Bretagne (✝ 1303)Il était le fils d’un chevalier breton. Orphelin très jeune, il est élevé par sa mère*. Puis il s’en vient à l’Université de Paris. Très doué, il y étudie les arts, c’est-à-dire les lettres, la théologie pour être prêtre, et le droit. Ayant parachevé ses études dans la prestigieuse faculté de droit d’Orléans, il revient au pays. On le nomme à la fois curé de Trédrez, petite paroisse près de Saint Michel en Grèves et official (juge ecclésiastique) à Tréguier. Sous l’influence de moines franciscains avec qui il a de longues discussions sur la perfection et la pauvreté, il se décide à partager ses ressources avec les pauvres. Juge, il assume ses fonctions dans un esprit de conciliation et de justice et, gratuitement, se fait le conseiller ou le défenseur des plaideurs démunis, gardant, sous les attaques parfois acerbes de ses collègues d’en face, une joyeuse égalité d’humeur. Fidèle à l’exemple des saints, saint Martin entre autres, à une vie de prière centrée sur l’Eucharistie et l’étude de l’Écriture Sainte, il s’adonne aussi à la prédication, souvent dans plusieurs paroisses le même jour, et à l’assistance spirituelle. Sa maison, le manoir de Minihy, devient un abri pour les pauvres. On l’appelle ‘le prêtre saint’. Après sa mort, il connaîtra un culte populaire très fervent, en Bretagne et bien au-delà.
*La mère de saint Yves, Azou du Quinquis, était une femme très pieuse qui aimait répéter à son fils: ‘Vivez mon fils de telle manière à devenir un saint’

Entre  bon et fidèle serviteur dans la joie de ton maître« .

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