Colpo di Stato !
Le président de la République italienne, Sergio Mattarella, vient, sans l’aide de la force armée…de commettre un authentique coup d’Etat ( en refusant à Giuseppe Conte la possibilité de former le gouvernement et ce contrairement au vote majoritaire des Italiens)
… et pour en savoir plus , merci d’activer le lien ci-dessous…
https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2018/05/28/colpo-di-stato/
ainsi que :
https://www.ladepeche.fr/article/2018/05/28/2806190-president-italien-veut-nommer-austerite-populistes-crient-trahison.html
NDLRB . Rappelons que le Grand Monarque aura également vocation à gouverner l’Italie . Ce qui s’y passe doit donc être également apprécié dans une optique providentialiste.
Le « Colpe di Stato » de Sergio Matarella a une raison.
Multiplication de dépenses non financées, contrat de coalition clairement anti-européen, président du Conseil sans pouvoir réel : en Italie, tous les ingrédients sont réunis pour une crise majeure avec les Vingt-Sept.
Après dix-huit mois de négociations difficiles, les ministres des Finances de l’UE avaient trouvé à Bruxelles un accord sur le paquet législatif relatif à la réduction des risques dans le secteur bancaire, qui devait encore être approuvé par le Parlement européen. Les pays du nord y voyaient un préalable pour avancer sur la question du partage des risques et d’une plus grande solidarité au sein de la zone euro.
Oubliées, pour un instant, les profondes divergences entre la France et l’Allemagne sur le renforcement de la zone euro. C’est à l’unisson, lors d’une conférence de presse conjointe à Bruxelles, que les ministres des Finances des deux pays ont tenu à saluer l’accord trouvé par les Vingt-Huit sur la réduction des risques dans le secteur bancaire.
-Il s’agit d’un moment très important, qui pourrait faciliter les discussions sur l’union économique et monétaire, a déclaré le vice-chancelier (SPD) Olaf Scholz.
Les résultats électoraux Outre-Alpes risquent de tout remettre en question ! D’où l’obligation pour le Ministre Comte de renoncer…
En Europe, nous ne sommes plus en démocratie mais en démokrature, pour reprendre un bon mot de Jean-Marie Le Pen. Et les fortunes anonymes et vagabondes nous voulant tous amnésiques, crétins et prostitués -et ce depuis notre plus tendre enfance!- tous nés de père inconnu et mourrant tous célibataires, mènent les gouvernements européens d’une main de fer.
Le Roi, c’est la présence du Sacré dans le pouvoir, la continuité de la France, le destin national incarné par un Souverain indépendant des acpprices du suffrage universel et du diktat des banques comme des agences de notation financière.
Des deux côtès des Alpes, LES FOUS DU ROIS savent que le Fantôme du Louvre est assis serainement dans la pénombre, sur un siège avec des accoudoirs, regardant sur son écran les évènements avec le même détachement de quelqu’un qui regarderait un match de foot, fumant un bon havanne dont la fumée s’accumule au plafond, déborde par une fenêtre ouverte pour aller s’ajouter aux nuages menaçant qui s’amoncellent dangereusement dans le ciel.
Et qu’il n’a plus qu’à attendre !
Oui. Une étincelle…
Les coulisses d’un coup d’Etat.
Le Premier ministre Giuseppe Conte, choisi par le Mouvement 5 Étoiles (M5S, populiste) et la Ligue (extrême droite), a renoncé dimanche 27 mai à former leur gouvernement de coalition. Sa décision est la conséquence du refus opposé par le président de la République Sergio Mattarella à la nomination de l’économiste Paolo Savona à la tête du ministère de l’Économie en raison de son hostilité envers l’euro et les institutions européennes. Le chef de l’État a parallèlement convoqué lundi matin au Quirinal un ancien haut responsable du Fonds monétaire international (FMI), Carlo Cottarelli. Mattarella pourrait lui demander de former un gouvernement de transition composé de techniciens.
Mais le départ de Conte a déclenché une crise constitutionnelle et semble rendre inévitable la tenue de nouvelles élections législatives cette année. Mattarella a été aussitôt accusé par les dirigeants du M5S et de la Ligue d’avoir trahi la Constitution et de répondre aux ordres des puissances européennes par son coup d’Etat institutionnel.