Ce n’est pas nous qui avons dit la phrase qui figure en tête de cet article mais le légitimiste grand teint Daniel de Montplaisir. https://fr.wikipedia.org/wiki/Daniel_de_Montplaisir
Nous ne saurions trop vous recommander de lire avec attention l’extrait du livre présenté ci-contre et qui nous a été communiqué par un haut responsable fontevriste.
Vous y verrez que ce qui était dit tout bas sur les vices potentiels de l’ascendance de Louis XX est maintenant dit ici ou là trés clairement.
Que l’on permette à la Charte de Fontevrault de préciser qu’après ce qui ne constitue pas pour elle une révélation les deux points qui suivent .
- « Louis XX » est le premier d’une longue liste de Bourbons, http://yolio.over-blog.com/article-33484440.html liste qui contient également bien d’autres descendants de cette illustre lignée et cette lignée s’accroit régulièrement . L’illégitimité (?) de Louis XX ne change donc rien aux droits de cette Maison.
- La querelle des droits de tel ou tel au trône de France n’est pas la tasse de thé des Fontevristes. Pour nous , seul Dieu désignera qui sera Son Lieutenant en terre de France . » Que Votre volonté soit faite sur la terre comme au Ciel » et le trône fait bien partie de la terre.
Alain TEXIER, CJA. Président fondateur de la Charte de Fontevrault
En droit coutumier la bâtardise ne passe pas par la reine.
Ce principe fut repris au Code Napoléon.
(art. 312 du CC : L’enfant conçu ou né pendant le mariage a pour père le mari.)
Les ratiocinations de Montplaisir sont du délayage (comme souvent) même si à l’époque napoléonienne la rumeur dominait le sujet et qu’elle ait rebondi ensuite pour la vie amoureuse agitée d’Isabelle II.
Monsieur de Montplaisir est chevalier de la légion d’honneur et Commandeur de la confrérie de Bontemps du Médoc… entre deux verres, effectivement il peut exister un certain flottement dans les recherches généalogiques…
Et pour détendre l’atmosphère: Au moins il se soigne, il prend ses « médocs ».
il n’en reste pas moins que si Louis XX devait monter sur un trône vide depuis plus de deux siècles les légistes du roi auraient beaucoup de travail pour retrouver une application correcte des Lois fondamentales du Royaume.