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Un livre, VRAI PRINCE FAUX PRETENADNT, raconte que Naundorff n’était pas Louis XVII, mais le fils adultérin du dernier Prince de Condé (et donc demi-frère de l’infortuné Duc d’Enghien), dont la cuisinière hollandaise se nommait Emma Naundorff : cette généalogie serait celle du demi-frère du Duc d’Henghien, non dynaste car issue d’une branche natuerre des Condé, Princes capétiens issus du frère d’henri IV dont la lignée est éteinte en ligne légitme en 1830…
Le futur Grand Monarque serait le descendant Salique du vrai Louis XVII évadé de l’enfer du Temple et « exfiltré » à l’étranger, mais on ignore complètement où se trouve cette descendance, qui est celle des Lys coupés….
Karl-Wilhelm Nuaundorff (1785-1845), est un horloger et artificier prussien, qui fut l’un des prétendants à l’identité de Louis XVII, sencé avoir survécu à la priosn du Temple, le plus convainquant. De 1810 à 1845, il esseya en vain de se faire reconnaître de la Famille Royale comme le fils de Louis XVI et de Marie Antoinette. Il se constitua une cour, nomma des aides de camps, des officiers d’ordonnance, un ministère. Expulsé par la police de Louis-Philippe, il trouve refuge en Angleterre, puis en Hollande, où il mit au point “la bombe Bourbon”, ancêtre de la grenade moderne, et devint directeur des ateliers de pyrotechnique de Delf.
Selon la thèse développée dans le livre NAUNDORFF, VRAI PRINCE, FAUX PRETENDANT, Charles Guillaune Naundorff serait le fils naturel du Prince Louis VI de Bourbon-Condé (Louis-Henri-Joseph de Bourbon-Condé, Duc de Bourbon, 1756-1830), et de sa cuisinière, une jolie hollandaise nonnée… EMMA NAUNDORF !
Dans ce livre, le duc de Bourbon, avait à son service une jeune prussienne de 22 ans, cusinière de son état : elle se nommait EMMA NONAUDORFF. la jeune et jolie cuisinière serait devenue la maîtresse du Prince, alors séparé de son épouse, batilde d’Orléans. Le Prince auarit conçut de l’épouser car elle était tombé enceinte, mais Louis XVI refusa car il ne voulait pas d’un mariage civile à la Cour. Le prince passa outre et épousa secrètement : un fils naquis, Charles-Guillaume né en 1785, la même année que Louis XVII. Ce fils illicite, demi-frère de l’infortuné Duc d’Henghien, fut éduqué avec les enfants de Louis XVI, notamment l’aînée, Marie-Thérpèse, future Duchesse d’Angoulême : c’est la raison pour laquelle Nuaundorff put faire valoir de souvenirs communs, notamment en ce qui concerne la description des lieux et des personnes. Après la Révolution, la Terreur et la commotion populaire, le jeune Naundorff n’aut aucun mal, sous la Restauration, à faire valoir l’identité de Louis XVII.
Ici le lecteur féru d’hsitoire pourra mieux comprendre la raison de l’une des plus grandes interrogations des « Naundorffistes » eux-même en ce XXI° siècle : pourquoi la chère et inestimable soeur de Louis XVII, la Duchesse d’Angoulême, a-t-elle renié invariablement son “frère” Naundorff, au cours des années de la Resatauration, et ce jusquà la fin de ses jours ?!
Dans le livre LA RUMMEUR DE DIEU, on découvre que Naundorff avait fondé sa propre église protestante aux Pays Bas. il était convaincu qu’il était le vrai réformateur de l’Eglise d’alors… et donc que l’Eglise Catholique Romaine de l’époque était dans l’erreur ! Une loge l’aurait enrolé et l’affaire Naundorff serait une manipulation maçonnique. Mais les Chevaliers de Foi auraient retourné l’arme contre ses utilisateurs et usé de l’imposteur Naundorff pour égarer les recherches sur Louis XVII et permettre que le vèritable Enfant-Roi puisse avoir été mis à l’abrit à l’étranger ! La descendance de Louis XVII serait-elle redevenue Française au XX°siècle ?
Pour en finir avec Naundorff, des tests génétiques pratiqués par le professeur Cassiman et le docteur Pascal, à partir de cheveux de deux soeurs de Marie-Antoinette, d’un peu de sang de la Reine Anne de Roumanie, de cheveux de son frère André de Bourbon-Parme et d’un fragment d’humérus de Naundorff, prélevé lors d’une exumation en 1950, ont été déclarés négatifs le Juin 1988. Les descendants de Naundorff ont contesté ces résultats, au motif que les tests ne seraient pas fiables, l’ossement en question ayant été manipulé bien des fois, y compris par des étudiants en médecine, et en tout état de cause “pollué”, donc, peu apte à fournir un ADN correct. Ils réclament une nouvelle exhumation et un prélèvement plus sérieux. Le Bourgmestre de Deft, où est inhumé Naundorff, ayant accédé à ces désirs le 24 Octobre 2004, hors la présence du descendant en ligne directe, mais avec l’accord d’un cousin, le résultat, à nouveau négatif, suscita un autre litige…
Il n’y aurait rien de déshonorant pour les Naundorff d’être des descendants des Bourbons-Condé !
La Maison de Condé est une branche cadette de la Maison de Bourbon, elle-même cadette des Capétiens. Elle est fondée par le prince LOUIS I° (1530-1569), PRINCE DE CONDE en 1546, cinquième fils du prince Charles IV, duc de Vendôme et aîné de la maison de Bourbon. Le prince Louis Ier était le frère d’Antoine, Roi de Navarre, lui-même père du Bon Roi Henri IV. Elle s’éteint le 27 août 1830, à la mort du prince Louis VI, Prince de Condé, dont l’épouse était Bathilde d’Orléans.
La maison de Condé a donné naissance en 1629 à la maison de Conti, issue du Prince Armand, Prince de Conti, éteinte le 13 mars 1814 à la mort du prince Louis-François-Joseph, Prince de Conti, et à la maison de Soissons, issue du prince Charles, comte de Soissons, éteinte le 3 juin 1692, à la mort de Marie, comtesse de Soissons.
En tant que princes du sangs issus du prince Louis Ier, petit-fils de France, duc de Bourbon, les membres de la maison de Condé ont le droit à la qualification d’altesse sérénissime puis d’altesse royale à partir du 21 septembre 1824, sur décision du roi Charles X.
À partir du 9 mai 1590 (titre crée officiellement en 1595), en tant qu’aîné des princes du sang, les princes de Condé portent le titre de premier prince du sang. Les princes de Condé auraient dû perdre ce titre le 4 août 1703, à la naissance de Louis Ier, duc de Chartres, premier fils du prince Philippe, petit-fils de France, duc d’Orléans. Toutefois, le roi Louis XIV décide de le leur laisser jusqu’à la mort du prince Henri III, le 1er avril 1709. En tant qu’aîné, il a le droit à l’appellation de « Monsieur le Prince » et son fils aîné, titré « duc d’Enghien », à celle de « Monsieur le Duc ».
Les Bourbons-Condé et les Bourbons-Conti ont fourni de grands soldats et de grands mécènes.
Chef-d’œuvre architectural du XVIIIe siècle, les Grandes Écuries du Chateau de Chantilly, ont été construites par l’architecte Jean Aubert pour Louis-Henri de Bourbon, 7ème prince de Condé, propiétaire du château. Elles font figure de véritable palais pour chevaux.
Le bâtiment abrite le musée du Cheval qui présente la relation entre l’homme et le cheval depuis le début des civilisations. Les Grandes Écuries proposent toute l’année des spectacles équestres consacrés à l’art du dressage de haute-école qui contribuent à la renommée internationale de Chantilly, depuis plus de 30 ans.
Un livre, VRAI PRINCE FAUX PRETENADNT, raconte que Naundorff n’était pas Louis XVII, mais le fils adultérin du dernier Prince de Condé (et donc demi-frère de l’infortuné Duc d’Enghien), dont la cuisinière hollandaise se nommait Emma Naundorff : cette généalogie serait celle du demi-frère du Duc d’Henghien, non dynaste car issue d’une branche natuerre des Condé, Princes capétiens issus du frère d’henri IV dont la lignée est éteinte en ligne légitme en 1830…
Le futur Grand Monarque serait le descendant Salique du vrai Louis XVII évadé de l’enfer du Temple et « exfiltré » à l’étranger, mais on ignore complètement où se trouve cette descendance, qui est celle des Lys coupés….
Karl-Wilhelm Nuaundorff (1785-1845), est un horloger et artificier prussien, qui fut l’un des prétendants à l’identité de Louis XVII, sencé avoir survécu à la priosn du Temple, le plus convainquant. De 1810 à 1845, il esseya en vain de se faire reconnaître de la Famille Royale comme le fils de Louis XVI et de Marie Antoinette. Il se constitua une cour, nomma des aides de camps, des officiers d’ordonnance, un ministère. Expulsé par la police de Louis-Philippe, il trouve refuge en Angleterre, puis en Hollande, où il mit au point “la bombe Bourbon”, ancêtre de la grenade moderne, et devint directeur des ateliers de pyrotechnique de Delf.
Selon la thèse développée dans le livre NAUNDORFF, VRAI PRINCE, FAUX PRETENDANT, Charles Guillaune Naundorff serait le fils naturel du Prince Louis VI de Bourbon-Condé (Louis-Henri-Joseph de Bourbon-Condé, Duc de Bourbon, 1756-1830), et de sa cuisinière, une jolie hollandaise nonnée… EMMA NAUNDORF !
Dans ce livre, le duc de Bourbon, avait à son service une jeune prussienne de 22 ans, cusinière de son état : elle se nommait EMMA NONAUDORFF. la jeune et jolie cuisinière serait devenue la maîtresse du Prince, alors séparé de son épouse, batilde d’Orléans. Le Prince auarit conçut de l’épouser car elle était tombé enceinte, mais Louis XVI refusa car il ne voulait pas d’un mariage civile à la Cour. Le prince passa outre et épousa secrètement : un fils naquis, Charles-Guillaume né en 1785, la même année que Louis XVII. Ce fils illicite, demi-frère de l’infortuné Duc d’Henghien, fut éduqué avec les enfants de Louis XVI, notamment l’aînée, Marie-Thérpèse, future Duchesse d’Angoulême : c’est la raison pour laquelle Nuaundorff put faire valoir de souvenirs communs, notamment en ce qui concerne la description des lieux et des personnes. Après la Révolution, la Terreur et la commotion populaire, le jeune Naundorff n’aut aucun mal, sous la Restauration, à faire valoir l’identité de Louis XVII.
Ici le lecteur féru d’hsitoire pourra mieux comprendre la raison de l’une des plus grandes interrogations des « Naundorffistes » eux-même en ce XXI° siècle : pourquoi la chère et inestimable soeur de Louis XVII, la Duchesse d’Angoulême, a-t-elle renié invariablement son “frère” Naundorff, au cours des années de la Resatauration, et ce jusquà la fin de ses jours ?!
Dans le livre LA RUMMEUR DE DIEU, on découvre que Naundorff avait fondé sa propre église protestante aux Pays Bas. il était convaincu qu’il était le vrai réformateur de l’Eglise d’alors… et donc que l’Eglise Catholique Romaine de l’époque était dans l’erreur ! Une loge l’aurait enrolé et l’affaire Naundorff serait une manipulation maçonnique. Mais les Chevaliers de Foi auraient retourné l’arme contre ses utilisateurs et usé de l’imposteur Naundorff pour égarer les recherches sur Louis XVII et permettre que le vèritable Enfant-Roi puisse avoir été mis à l’abrit à l’étranger ! La descendance de Louis XVII serait-elle redevenue Française au XX°siècle ?
Pour en finir avec Naundorff, des tests génétiques pratiqués par le professeur Cassiman et le docteur Pascal, à partir de cheveux de deux soeurs de Marie-Antoinette, d’un peu de sang de la Reine Anne de Roumanie, de cheveux de son frère André de Bourbon-Parme et d’un fragment d’humérus de Naundorff, prélevé lors d’une exumation en 1950, ont été déclarés négatifs le Juin 1988. Les descendants de Naundorff ont contesté ces résultats, au motif que les tests ne seraient pas fiables, l’ossement en question ayant été manipulé bien des fois, y compris par des étudiants en médecine, et en tout état de cause “pollué”, donc, peu apte à fournir un ADN correct. Ils réclament une nouvelle exhumation et un prélèvement plus sérieux. Le Bourgmestre de Deft, où est inhumé Naundorff, ayant accédé à ces désirs le 24 Octobre 2004, hors la présence du descendant en ligne directe, mais avec l’accord d’un cousin, le résultat, à nouveau négatif, suscita un autre litige…
Il n’y aurait rien de déshonorant pour les Naundorff d’être des descendants des Bourbons-Condé !
La Maison de Condé est une branche cadette de la Maison de Bourbon, elle-même cadette des Capétiens. Elle est fondée par le prince LOUIS I° (1530-1569), PRINCE DE CONDE en 1546, cinquième fils du prince Charles IV, duc de Vendôme et aîné de la maison de Bourbon. Le prince Louis Ier était le frère d’Antoine, Roi de Navarre, lui-même père du Bon Roi Henri IV. Elle s’éteint le 27 août 1830, à la mort du prince Louis VI, Prince de Condé, dont l’épouse était Bathilde d’Orléans.
La maison de Condé a donné naissance en 1629 à la maison de Conti, issue du Prince Armand, Prince de Conti, éteinte le 13 mars 1814 à la mort du prince Louis-François-Joseph, Prince de Conti, et à la maison de Soissons, issue du prince Charles, comte de Soissons, éteinte le 3 juin 1692, à la mort de Marie, comtesse de Soissons.
En tant que princes du sangs issus du prince Louis Ier, petit-fils de France, duc de Bourbon, les membres de la maison de Condé ont le droit à la qualification d’altesse sérénissime puis d’altesse royale à partir du 21 septembre 1824, sur décision du roi Charles X.
À partir du 9 mai 1590 (titre crée officiellement en 1595), en tant qu’aîné des princes du sang, les princes de Condé portent le titre de premier prince du sang. Les princes de Condé auraient dû perdre ce titre le 4 août 1703, à la naissance de Louis Ier, duc de Chartres, premier fils du prince Philippe, petit-fils de France, duc d’Orléans. Toutefois, le roi Louis XIV décide de le leur laisser jusqu’à la mort du prince Henri III, le 1er avril 1709. En tant qu’aîné, il a le droit à l’appellation de « Monsieur le Prince » et son fils aîné, titré « duc d’Enghien », à celle de « Monsieur le Duc ».
Les Bourbons-Condé et les Bourbons-Conti ont fourni de grands soldats et de grands mécènes.
Chef-d’œuvre architectural du XVIIIe siècle, les Grandes Écuries du Chateau de Chantilly, ont été construites par l’architecte Jean Aubert pour Louis-Henri de Bourbon, 7ème prince de Condé, propiétaire du château. Elles font figure de véritable palais pour chevaux.
Le bâtiment abrite le musée du Cheval qui présente la relation entre l’homme et le cheval depuis le début des civilisations. Les Grandes Écuries proposent toute l’année des spectacles équestres consacrés à l’art du dressage de haute-école qui contribuent à la renommée internationale de Chantilly, depuis plus de 30 ans.