Son jour de naissance. Le 6 janvier, jour de l’Epiphanie, se fonde sur une curieuse lettre écrite en 1429 au duc de Milan par un certain Perceval de Boulainvilliers, racontant avec force détails le dépôt de l’enfant mystérieux à Domrémy, http://www.stejeannedarc.net/lettres/lettre_boulainvilliers.php où les coqs auraient alors chanté pendant plus de deux heures…
L’année 2020 sera l’occasion de célébrer un double centenaire johannique :
· Canonisation de Jeanne d’Arc,
· Loi du 10 juillet 1920 , promulguée le 14 juillet, instituant en France, chaque deuxième dimanche de mai, une « fête de Jeanne d’Arc fête du patriotisme », loi signée par le président DESCHANEL. https://www.asafrance.fr/images/jo_loi_instituant_une_fete_nationale_de_jeanne_d-arc_fete_du_patriotisme.pdf
A cette occasion, l’aumônerie de l’Ecole militaire à Paris organise, en lien avec l’Association Universelle des Amis de Jeanne d’Arc, le Dimanche 6 janvier, deux événements à ne pas manquer :
A 12h15, messe de sainte Jeanne d’Arc, à la chapelle de l’école militaire. Entrée par le 13 place Joffre (entrée centrale de l’Ecole militaire).
De 18h00 à 20h00, en amphi FOCH de l’Ecole militaire, colloque sur le sujet « Jeanne d’Arc vue à travers ses procès » :
· Le procès de condamnation par maître Jacques Trémolet de Villers, avocat ;
· Le procès de « réhabilitation » par Mme Isabelle Brancourt, historienne ;
· Le procès de canonisation par l’abbé Jacques Olivier, FSSP.
Pour assister à ce colloque, il est impératif de s’inscrire sur le site : https://www.paris-ecole-militaire.fr/fr/forms/jeannedarc
Attention, en raison des délais de contrôle d’accès, prévoyez d’arriver en avance, vers 17h30. Entrée par le 5 place Joffre.
N’hésitez pas à faire connaître ce colloque à tous ceux qui vous paraissent susceptibles d’être intéressés.
SALUT DE LA FRANCE
Ô Jeanne, ô vous si simple, enfant si misérable,
En ce pays de l’est aux frontières si instables !
Le Ciel vous a choisie au sortir de l’enfance
Pour divine mission : sauver la pauvre France !
Nul pays dans le monde ne connut tel destin :
Jeune fille de seize ans sur les chemins de guerre,
Prenant de Saint Michel tout conseil militaire,
Dominant abandons, pleutreries, vils instincts !
Et du haut du bûcher où l’enfer vous mena
Les Saints du Paradis tendaient vers vous leurs bras !
Les flammes qui montaient pour narguer le Seigneur
Ne pourront consumer votre Foi, votre Coeur !
Á Reims en Cathédrale, le Sacre triomphal !
Á Rouen, pour le martyre, le bûcher infernal !
Á Notre-Dame enfin, Justice fut rendue,
Mais aujourd’hui brûlée !!! comme votre corps le fut !!!
Ô Jeanne, tout est « malheur au doux Royaume de France » !
Ô Jeanne tant il périt écrasé de souffrances !
Ô Jeanne, de Saint Michel ramenez les Légions,
Ô Jeanne pour le Royaume, la Foi de la Nation.
I. Pincemaille – Domrémy – 28 Août 2019,
DIEU PREMIER SERVI !