Ceci n’est pas un A Dieu . Mais Dieu m’a permis de vivre la vie d’un militant pendant de déjà si longues années et comme l’avenir de la Charte de Fontevrault apparait plus assuré par le parfait déroulement des 34 èmes Rencontres Fontevristes du Mercredi 25 août 2021. Pourquoi ne pas se retourner vers les années qui ont fait de moi ce que je suis – politiquement parlant –
Merci , Seigneur pour les grâces reçues en mon âme en cette fin de lundi 18 octobre aprés-midi.
Un mois et demi sans que je ne sois allé me replonger dans la fontaine de de grâces que constitue la confession. Mon Dieu, mais à quoi est ce que je jouais? Ce n’est pas tant l’intervalle entre mes confessions qui m’inquiète que l’aspect répétitif de ce que je vais avoir à avouer.
Mais depuis ce matin l’envie d’une absolution se faisait plus pressante. Je suis donc arrivé une bonne demie-heure avant la messe de 18H30. C’était le vicaire général, le père Pierre Morin qui attendait non pas dans le confessionnal dont l’image figure ci dessus mais dans une ancienne petite chapelle qu’une cloison met à l’abri des regards et qui forme un confessionnal trés confortable . Le pénitent y est certes moins à l’abri des regards du prêtre derrière sa grille cloisonnée mais il y dispose d’un prie-Dieu moins raide que le classique agenouilloir en bois, prie-Dieu faisant face à une petite table supportant une statuette de la Vierge Marie . Quant au Pére, il est un peu en diagonale par rapport au pénitent.
Il était parlé dans le titre de ce post d’Yvonne la soeur de mon père, étudiante en pharmacie morte à 19 ans en 1929 à Chatelaillon d’une méningite et que je n’ai jamais connue puisque je suis né en 1945. A vrai dire il n’est pas exact de dire que je ne l’ai jamais connue puisqu ‘elle nous a laissé 5 ou 6 agendas racontant jour après jour , sa vie de jeune fille. habitant au début de l’avenue Garibaldi à Limoges, elle allait trés souvent à la messe en semaine en l’église Saint Pierre du Queyroix où j’ai suivi ses traces de nombreuses fois . Dans ses pages parlant de l’amour du Seigneur , elle mettait une croix dans ses compte -rendus lorsqu ‘elle avait communié à une de ses messes. Et peut -être s’est elle confessée dans le confessional dont j’ai donné plus haut l’illustration?
Dans moins de deux heures je dormirais probablement et peut être un des anges qu’Yvonne m’en verra sans doute m’effleurera des plumes de ses ailes et je l’en remercie par avance . C’est doux les plumes des ailes des anges, c’est doux aussi une âme reconcilièe avec son créateur. Alléluia !
Alain TEXIER.