Un titre de Noblesse, c’est comme l’armure d’un Chevalier : c’est une Grâce de Dieu qui lui permet de briller et d’être mieux écouté. Surtout des Princes, prétendants ou régnants…
Qui dit Noblesse dit blason : l’Héraldique pour les nuls !
L’AIGLE : à deux têtes, c’est impérial, germanique ou russe… à une tête, c’est napoléonien.
LE LYS : de France, Royal ou collatéral -Anjous, Bourbons, etc…- là où des Princes Français ont régné (Exemple l’héraldique municipal à New Orleans, aux Etats Unis).
LE LYON : parvenus, ni Royal ni impérial, comme les Royautés du Nord de l’Europe.
LA CROIX : la plus belle des Noblesse, celle des Croisades, et la Maison Royale de Savoie (De Gueule à la Croix d’Argent) est issu des Comtes de Savoie, Croisés accompagnant le frère de Robert II le Pieux, Louis VII puis saint-Louis en Terre Sainte, Maison devenue Ducale puis Royale par la conquète du Piémont puis de la sardeigne, puis par l’unification de l’Italie.
Le site belge de Stembert est hélas victime des idées reçues. En effet, comme le rappellait souvent Michel Pastoureau à propos de la hiérarchie des timbres et des casques en particulier, « ce sont là pures fantaisies de théoriciens » ! Et il ajoutait : « dans la pratique, la couleur, la position, l’ouverture et le nombre de grilles N’ONT ABSOLUMENT AUCUNE SIGNIFICATION ». Eléments héraldiques totalement absents (en tout cas avec un sens précis) des armoiries du Moyen-Âge, les timbres et les casques en particulier ne furent mis en exergue qu’à partir de la Renaissance et, surtout, lors de la phase déclinante de l’héraldique aux XVIIe et XVIIIe siècles essentiellement pour des raisons fiscales (cf. l’Edit de 1696).
En d’autres termes… que vous soyez duc, comte, baron, simple chevalier ou même roturier, vous pouvez timbrer vos armoiries comme vous le souhaitez puisque l’objectif fiscal de ces distinction a disparu !
Un titre de Noblesse, c’est comme l’armure d’un Chevalier : c’est une Grâce de Dieu qui lui permet de briller et d’être mieux écouté. Surtout des Princes, prétendants ou régnants…
Qui dit Noblesse dit blason : l’Héraldique pour les nuls !
L’AIGLE : à deux têtes, c’est impérial, germanique ou russe… à une tête, c’est napoléonien.
LE LYS : de France, Royal ou collatéral -Anjous, Bourbons, etc…- là où des Princes Français ont régné (Exemple l’héraldique municipal à New Orleans, aux Etats Unis).
LE LYON : parvenus, ni Royal ni impérial, comme les Royautés du Nord de l’Europe.
LA CROIX : la plus belle des Noblesse, celle des Croisades, et la Maison Royale de Savoie (De Gueule à la Croix d’Argent) est issu des Comtes de Savoie, Croisés accompagnant le frère de Robert II le Pieux, Louis VII puis saint-Louis en Terre Sainte, Maison devenue Ducale puis Royale par la conquète du Piémont puis de la sardeigne, puis par l’unification de l’Italie.
Le site belge de Stembert est hélas victime des idées reçues. En effet, comme le rappellait souvent Michel Pastoureau à propos de la hiérarchie des timbres et des casques en particulier, « ce sont là pures fantaisies de théoriciens » ! Et il ajoutait : « dans la pratique, la couleur, la position, l’ouverture et le nombre de grilles N’ONT ABSOLUMENT AUCUNE SIGNIFICATION ». Eléments héraldiques totalement absents (en tout cas avec un sens précis) des armoiries du Moyen-Âge, les timbres et les casques en particulier ne furent mis en exergue qu’à partir de la Renaissance et, surtout, lors de la phase déclinante de l’héraldique aux XVIIe et XVIIIe siècles essentiellement pour des raisons fiscales (cf. l’Edit de 1696).
En d’autres termes… que vous soyez duc, comte, baron, simple chevalier ou même roturier, vous pouvez timbrer vos armoiries comme vous le souhaitez puisque l’objectif fiscal de ces distinction a disparu !