De Floriane Z, Enseignante dans le supérieur:
Nous sommes un certain nombre à être en butte (et non en but) à de fréquentes questions sur la bonne orthographe de quelques mots, à commencer par les expressions citées dans ce billet.
Alors par acquit (et non acquis) de conscience, je vous propose de vous pencher quelques instants sur cet article qui nous replonge dans l’art et la manière du bien écrire.
Il n’est donc pas question de bayer (et non bâiller) aux corneilles, bien au contraire !
Les mots ont une histoire, des racines et c’est bien là que le bât (et non bas) blesse.
Aussi, à l’attention de mes étudiants, je vous saurais (et non serais) gré de lire avec attention ces quelques lignes ; dans le cas contraire, vous auriez affaire (et non à faire) à moi dès la rentrée.
Vous savez que mon cinquième sens me permet régulièrement de découvrir le pot aux roses (et non le poteau rose 😞 ) et en mon for (et non fort) intérieur, je continue de croire que la volonté de progresser permet de surmonter bien des obstacles.
Dans le cas contraire, au temps pour moi ( et non autant).
Enfin, pour conclure avec un sourire, voici quelques perles rencontrées au hasard des échanges, histoire de rendre la pareille (et non l’appareil 😞😞 !) à des rédacteurs étourdis : au risque de passer du coca-light (du coq à l’âne est moins rafraichissant mais c’est ainsi !) , il est préférable pour certain(e)s de se méfier du loup qui dort ( il faudrait peut-être s’y mettre à l’eau, d’ailleurs ) mais surtout évitons de mettre la charrue avant l’hébreu ( le bœuf n’est pas celui que l’on croit dans l’histoire). ( NDLRB. Trés drôle)
Parler en bon uniforme ( en bonne et due forme devient de plus en plus compliqué alors il faut une discipline militaire désormais) n’est pas à la portée de tous et il est plus facile parfois en cas d’erreur de trouver un bouquet mystère ( plus agréable qu’un bouc émissaire).
Clarinette, ( NDLRB. Et non clair et net) non ?