« Même si le royalisme providentialiste est récusé par le Légitimisme incandescent parce qu’il en affaiblirait la propagande adoubée par le prince en droit de régner, on peut lui reprocher d’invoquer à la fois le majorat intégral de la Providence et dans le même élan imposer la voie où elle devrait cantonner son choix. C’est là le vice caché de la posture.
Comment peut-on s’en remettre aux voies de la Providence et vouloir la contraindre à s’engager dans le tunnel des lois fondamentales du royaume de France ? Tant Frère Maximilien Marie du Sacré-Cœur, prieur de la Confrérie royale, qu’Hervé Volto, gouverneur émérite de la Charte de Fontevrault, semblent décidés à sommer le Ciel d’amener à la lumière le prince attendu sous les conditions qu’ils lui posent, savoir « :
…. à suivre en activant le lien suivant :
https://royalartillerie.blogspot.com/2023/04/de-la-noble-cause-providentialiste.html
La question que posent nos amis de Royal Artillerie (NDLRB. Méritons nous le retour du roi ?), en conclusion de cette analyse est la bonne, mais la réponse à cette question mystérieuse n’en est pas moins, aussi, affligeante : C’EST NON !
Parce que c’est trop tard, fruit d’un gâchis sans nom, d’un aveuglement confondant, d’une amnésie accablante mais de prétentions grotesques et, pour tout dire, d’une sottise incommensurable. Le tout sans compter avec un « Grand Remplacement » dont les vertus possiblement initiatiques vont finalement s’avérer mortelles…
Cher Régent,
si l’on peut légitimement (sic !) penser qu’à vue humaine tout -ou presque tout- est perdu comment douter de l’amour de Dieu pour la France et son destin ? la France pour la survie de laquelle il a mandaté Jeanne d’Arc entre autres ? Vous savez bien que l’amour de Dieu est de toujours à toujours.
Pour répondre à Catoneo et au CER :
La réponse est OUI :
Pour le comprendre, il faut lire absolument le livret de l’Abbé Augustin Lémann à ce sujet :
» Dieu a fait la France guérissable «
On le trouve sur Gallica par le lien suivant :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5475463b/f10.item.texteImage
FXP
Que le Ciel vous entende tous les deux ! Malheureusement rien ne nous prouve que Dieu n’ait pas finalement découvert que sa créature n’était pas à la hauteur de ses projets : ouvrez grands les yeux et les oreilles (sans compter les autres sens) et il y a de grandes chances que vous parveniez à la même désolante conclusion : tout ça pour ça…
Ce qui viendrait étayer les propos de Paul Valéry : « Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles. »
Paul VALÉRY (1871-1945), La Crise de l’esprit (1919)
Et c’est partout désormais. Nos villes et nos villages, nos hameaux et nos campagnes sont frappés, comme par la peste dans la fable de La Fontaine :
Un mal qui répand la terreur,
Mal que le Ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
La Peste [puisqu’il faut l’appeler par son nom]
Capable d’enrichir en un jour l’Achéron,
Faisait aux animaux la guerre.
Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés…
Vous nous proposez un livre d’espoir… déçu.
Ce qu’a reçu d’assurance la nation juive, celle du « peuple élu » n’est pas transposable à la nation française. L’abbé Lémann ne s’y trompe pas qui affirme après le désastre de Sedan que « si la France est encore guérissable ; cependant en soi, elle n’est simplement que guérissable. Quels que soient en effet les motifs d’espérance ; si nombreux et si consolants qu’ils apparaissent, nulle assurance positive, nulle certitude absolue ne garantissent toutefois la guérison ».
Et le Christ de nous dire par Matthieu que « tout royaume divisé contre lui-même sera ruiné, et toute ville ou maison divisée contre elle-même ne subsistera pas ».
Le royaume et sa continuatrice, la République, n’ont cessé de se diviser ; et les maisons dynastiques sont dans le plus grand désordre quand ce n’est pas dans le scandale. La question se pose donc d’éviter les anciennes maisons déconsidérées, et peut-être même le périmètre du royaume si cela réduit ses divisions. Ça va très loin.
Vu la masse d’assertions produites par les Ecritures, on trouvera toujours la prophétie qui va bien au sujet considéré à l’instant. La France est devenue la Babylone moderne. Dieu attendit sa contrition, en vain, puis s’en est désintéressé (selon Jérémie). Ce qui fait dire à Léon Bloy que la nation s’est damnée à décapiter son roi, le lieutenant du Christ sur terre.
Nous reparlerons de tout cela après le 18 avril.
Tout cela est bien vrai… MAIS…
le MAIS du message de Pontmain, quelque temps après Sedan, et les Prussiens s’enfuirent en courant.
FXP
Chouandecoeur, bien sûr que l’affaire peut attendre le 18 avril mais ce n’est pas d’un débat d’idées qu’il s’agit mais plutôt de la vérification personnelle des convictions profondes du providentialiste.
Moi, j’ai tranché il y a longtemps en faveur de la Thèse A et n’attends pas de secours du Ciel. Donc je ne « cotise » pas.
Mais chaque pèlerin de la Charte de Fontevrault pourrait se poser la séquence de questions effleurées par le billet de Royal-Artillerie, savoir :
– Crois-je vraiment en la Providence ?
– Crois-je en sa sollicitude particulière à l’égard de la nation française ?
– Crois-je en son projet de rétablir un roi sur le trône français ?
– Crois-je en son « obéissance » aux lois fondamentales du royaume de France ?
– Accepterai-je un roi ou une reine qui n’en soit pas issu ?
– Etc…
Ce débat, s’il a lieu, est d’abord à mener entre vous, à la façon qu’il vous plairait, sur les bases argumentaires que vous vous seriez choisies. Ça ne me regarde pas.
Bonne soirée.
Ce livre n’est pas un livre d’espoir déçu comme vous le dites, mais un livre de grande espérance, à la condition de faire ce qu’il dit : prendre les 3 moyens recommandés pour que la France soit effectivement guérissable… et donc puisse guérir.
C’est bien la vertu d’Espérance qui intervient ici, et qui mieux que Notre-Dame de Pontmain, Mère de l’Espérance et Madone de la France en péril, stoppant net l’avance irrémédiable des Prussiens ( » Nous n’avancerons plus, une madone vous protège « , dixit le général von Schmitt en charge de l’attaque de Laval prévue pour le 18 janvier 1871, au général Chanzy), qui donc mieux que Marie de Pontmain peut nous aider à AGIR en procédant comme il le faut et dans l’ordre… Nous avons par elle l’assurance de la victoire : » Dieu vous exaucera EN PEU de temps » !
Cher Catoneo, pour reprendre une formule célèbre de saint Remy à Clovis : » Dépose tes colliers fier Sicambre … « , je peux vous retourner : » Déposez votre agnosticisme à terre un instant, et venez à Pontmain le temps d’une journée « , pour une Supplique à Dieu pour le retour du Roi ; je vous y invite, vous y serez toujours le bienvenu. Peut-être vous ennuierez-vous quelque temps… peut-être pas ! Mais croyez-moi, Marie n’oubliera jamais la présence chez elle de son Piéton du Roi.
Chouandecoeur
@CDC
Je suis souvent venu sur le chemin de Damas ; hélas, il ne m’y a jamais conduit.
Mais je vous remercie de votre aimable invitation à expérimenter le ruissellement de la Grâce, sans que je puisse déjà m’en convaincre. Votre démarche de Pontmain est très respectable et tout le monde ici souhaite le succès de la supplique.
Bonjour à tous,
Voici le commentaire que je viens de faire à Catoneo sur son site (accès par le lien ci-dessus) :
Bonjour Catoneo,
Je souhaite répondre en détail à votre article ci-dessus, parce que je crois qu’il y a plusieurs erreurs qu’il va falloir absolument corriger.
Elles sont dues certainement à la confusion que l’on trouve sur Internet sur le ce sujet, issues de divers auteurs et commentateurs (même de notre microcosme royaliste), qui ne sont pas assez précis sur ce qu’ils affirment, ou ne s’appuient sur aucune source ou référence historique, créant ainsi une impression de flou sur la question, si ce n’est de sophisme.
Je suis dans l’impossibilité de le faire cette semaine et ne pourrai commencer cette critique (au bon sens du terme) qu’après le 18 avril, ayant plusieurs documents à reconsulter.
En effet, je pense que votre article demande une étude approfondie, de façon à rappeler et réaffirmer précisément ce que le royalisme présidentialiste de la Charte de Fontevrault dit exactement sur le sujet, comme ce qu’elle ne dit pas, avec les arguments les plus appropriés.
Bien à vous,
François-Xavier PACHOT (Chouandecoeur)
Cher catoneo permettez de vpous détromper :
PRIMO : Les Lois Fondamentales du Royaume de France furent donné au Père des Capétiens par Dieu à travers LE SONGE D’HUGUES CAPET.
SECONDO : la CHRAT DE FONTEVRAULT est un mouvement royaliste : Cela signifie que son objectif est de favoriser la restauration de la Royauté. Tout en reconnaissant la validité des Lois Fondamentales du Royaume https://charte-fontevrault-providentialisme.fr/index.php/2013/09/23/les-lois-fondamentales-du-royaume-de-france-constitution-de-lancienne-france/ , elle considère que le futur Roi n’est pas définitivement identifié à ce jour (n’y a-t-il pas présomption de batardise -affaiees Godoy ou Puygh-Molto- comme il y en une sur les Orl?ans : affaire Chiappini). Ou bien il émergera du combat antimondialiste, et ce sera le début d’une nouvelle dynastie, ou bien ce sera le descendant du jeune Roi Louis XVII qui, comme on le sait aujourd’hui, a été « exfiltré » de la prison du Temple.
OU… LES DEUX ?!
Cordialement
SUCCESSION DE FRANCE ET REGLES DE NATIONALITE
Les renonciations exigées en 1713, lors du Traité d’Ultrecht, paraissent confirmer l’INEXISTENCE d’un vice de pérégrinité Princier dans la France du XVIII° siècle : sinon pourquoi les anglais se seraient-ils donné tant de peine pour arracher par la force, contre le principe d’inaliénabilité de la Couronne de France, à Philippe d’Anjou, devenu Philippe V d’Espagne, un tel acte ?
Or les faits montrent le contraire : si les plénipotentiaires Français ont accepté le principe de séparation des deux Couronnes de France et d’Espagne, ce qui était la clause du testament de Charles II appelant un Bourbon à lui succéder -ce qui ne fut jamais réellement remis en question par Louis XIV- ils ont cependant toujours protesté CONTRE la perspective d’une abdication ou d’une renonciation d’un petit fils de France en violation des Lois Fondamentales du Royaume de France.
C’est ce que rappelle une Lettre Pattente -lettre de précaution et non de nécessité- de Louis XIV de décembre 1700, concervée aux Archives Nationales (carton J. 931, trésor des chartes II, supplément, Mélanges, Espagne, Philippe V, pièce n°1).
Pour Louis Revelière, dans son livre Les ruines de la Monarchie Française (Lyon et Paris, Lecoffre, 1879, p. 74), le Traité d’Ultrecht pouvait obliger personnellement Philippe V, mais non priver les descendants de Louis XIV du droit d’opter.
-Ce n’est pas à des Français de s’armer d’une clause imposée par l’étranger, et dans son seul intéret (Le Drapeau Blanc du 6 mars 1820).
On observera que les deux arguments sont contradictoires : A QUOI BON DES RENONCIATIONS SI LE FAIT DE REGNER A L’ETRANGER SUFFIT A ECARTER DU TRONE ? Guy Augé montre que le « vice de pérégrinité », qui est la pièce maîtrssse de l’argumentation adverse, est un ANACHRONISME et n’existait pas sous l’Ancien Régime.
Pour ce qui est de la Loi de Nationalité, UN PRINCE CAPETIEN N’EST PAS UN SIMPEL PARTICULIER : il relève d’un statut de droit public, il reste quelque soit sa résidence, membre d’une dynastie Française, et ce qui le singularise précisément, sa filiation dynatique.
Daguesseau le dit nettement :
-La Couronne n’est point déférée par les lois civiles : ainsi, quoi que la jurisprudence du Royaume prive des successions particulières les Français établis en pays étranger, on ne doit pas en conclure que Phlippe V et ses descendants soient eclus du Trône de France comme étrangers.
Celà vaux pour les Bourbons espagnols. Celà vaux pour une éventuelle descendance de Louis XVII ou du Connétable de Bourbon ayant Providentiellement survécu en Italie.
Nous ne saurions terminer avec cet argument qu’en reprenant les termes d’un mémoire de 1741, concervé au Ministère des Affaires Etrangères et rapporté providentiellement par M. Raoul de Warren dans son livre les Prétendants au Trône de France :
-Les Princes Français ne peuvent contracter le vice de pérégrinité.
Autrement dit, pour M. de Warren, Ils ne peuvent être traités en étrangers dans leur pays d’origine et ne peuvent perdre leurs droits éventuels à la Couronne de France du fait qu’ils ont acquis une nationalité étrangère. Et qu’à l’inverse, tout Prince étranger au Sang de France, même si né en France et de religion Catholique, comme les Habsbourg et des Savoie, ne peuvent succéder. COMME SI LA NATIONALITE FRANCAISE DES CAPETIENS ETAIT INAMOVIBLE.
EN CONCLUSION, LES LOIS FONDAMENTLES DU ROYAUME DE FRANCE DESIGNE COMME ROI, L’AINE SALIQUE ET CATHOLIQUE DES CAPETIENS NES DE NAISSANCE LEGALE, CE MEM SI SALIGNNE EST PARTIT REGNER A L’ETRANGER !
Les renonciations exigées en 1713, lors du Traité d’Ultrecht, paraissent confirmer l’inexistence d’un vice de pérégrinité Princier dans la France du XVIII° siècle : sinon pourquoi les anglais se seraient-ils donné tant de peine pour arracher par la force, contre le principe d’inaliénabilité de la Couronne de France, à Philippe d’Anjou, devenu Philippe V d’Espagne, un tel acte ?!
On observera que les deux arguments sont contradictoires : à quoi bon des renonciations si le faut de régner à l’étranger suffit à écarter du Trône ? Guy Augé montre que le « vice de pérégrinité », qui est la pièce maîtresse de l’argumentation adverse, est un anachronisme et n’existait pas sous l’Ancien Régime.
Pour ce qui est de la Loi de Nationalité, un Prince Capétien n’est pas un simple particulier : il relève d’un statut de droit public, il reste quelque soit sa résidence, membre d’une dynastie Française, et ce qui le singularise précisément, sa filiation dynastique. LE SANG CAPTIEN EST FRANCAIS, CAR IL EST DE FRANCE, MEME SI UNE BRANCHE DE PRINCES FRANCAIS ESTT PARTIE REGNER A L’ETRANGER, ESPAGNE OU ITALIE !
Avant les Orléans, il y a les Bourbon-Parme. Et Charles de Bourbons-Sicle est Français. Les Bourbon de Naples et les Bourbon-Espagne ne sont plus Français maisl eur samng l’est.
Marie-Julie Jahmnn a dit trois choses au Marquis de La Franqeuerie venu un jour la visiter :
1. Le futur Roi de France appartient à la branche ainée des Capériens (celà conforte les Lois Fondamentales).
2. Il est de la branche coupée des Lys (on pense à Louis XVII) : par son père ou par sa mère ?
3. Il ne faut chercher le Roi ni chez les Naundorffs, ni chez les Orléans, ni chez les Bourbons espagnols (C’est clair, pu… naise !) : c’est un Prince inconnu, ppersone ne sait qui il est et… son identité, jusqu’à l’heure de Dieu, devra rester secrète car, si on saviat où il se trouve, les francs-maçons, des agents de la République ou même certains Prétendant s (!) tenteraient de la faire dispraître…
Je répète : la CHARTE DE FONTEVRAULT est un mouvement Royaliste : Cela signifie que son objectif est de favoriser la restauration de la Royauté. Tout en reconnaissant la validité des Lois Fondamentales du Royaume https://charte-fontevrault-providentialisme.fr/index.php/2013/09/23/les-lois-fondamentales-du-royaume-de-france-constitution-de-lancienne-france/ , elle considère que le futur Roi n’est pas définitivement identifié à ce jour (n’y a-t-il pas présomption de batardise -affaiees Godoy ou Puygh-Molto- comme il y en une sur les Orl?ans : affaire Chiappini). Ou bien il émergera du combat antimondialiste, et ce sera le début d’une nouvelle dynastie, ou bien ce sera le descendant du jeune Roi Louis XVII qui, comme on le sait aujourd’hui, a été “exfiltré” de la prison du Temple.
OU… LES DEUX ?!
Cordiales salutations à toutes et à tous !
Un dernier truc : quand Alain Texier m’a trouvé nud et cru devant l’entrée de l’Abbaye Royale de Fontevrault le 25 aout 1991, j’étais en possétion d’un livre qui m’accompagnait partout : Benard Basse, LA CONSTITUTION DE L’ANCIENNE FRANCE (éditons DMM).
Ce livre explique les Lois Fondamentales du Royaume de France. Je suis hereux qu’Alian m’ai permis d’exposer les Lois Fondamentales du Royaume dans un article sur le blog de la Charte
C’est comme pour la messe tridantine : nous, Tradis, nous ne sommes pas des Catholiques de restaurant, nous ne choisissons pas le menu…
Retrouvez la mise en ligne ordonnée de tous les comnentaires consacrés par Hervé Volto aux réflexions de Catonoéo de Royal artillerie grâce au lien ci-aprés:
Cher monsieur Volto, je ne suis pas à convaincre, mais je suggère de se poser la question de savoir si la Providence a le même plan que celui de la Charte de Fontevrault. Il vaudra mieux en débattre avec votre gouverneur après le 18 avril.
Bonne journée.
Les plans de la Providence, nous avons la chance de les connaitre à travers les Messages du Ciel.
Le Marquis de la Franqeueirie, qui a réunit tous les messages dans un livre, LE GRAND MONARQUE ET LE SAINT PONTIFE SELON LES PROPHETIES, a écrit beaucousp de choses sur le caractère Sacré et Divin de la Royauté en France et le retour de la Royauté Française.
-Je suis pret, demendez au Français ! a dit le Duc d’Anjou par exemple.
Ce sont les Français qui bloquent.
Dans la haute société français on est Royaliste (généralement Orléaniste), dans la France profonde, on l’est aussi (en général, Légitimistes ou Providsentialistes) . C’est cette classe moyenne, parvenue et mécréante, parfois diplomée même, qui est républicaine.
La France semble vouloir encore repousser le Roi parce qu’il est trop cher aux yeux du Sacré-Coeur. Mais la Régence républicaine craque de toute part. Et, à l’heure où la France est assiégèe, l’Etat est bardé, nos élgises vidèes, nos villes souillées, notre jeunesse gachée, abandonnée, livrée, il n’est plus étonnant de voir de plus en plus de Français venir réclamer de plus en plus fort qu’une haute et Sainte Légitimité ne vienne couronner l’autorité de l’Eta Français.
A nous, Royalistes, d’expoliquer aux Français les bienfaits qu’apporterait la Royauté. Quand la Providence le décidera, Dieu appelera le descendant Royal qui viendra rétablir le bon droit et sauver la Chrétienté.
A Catoneo : votre réponse du 11/04 de 20:58
Pour répondre au passage suivant de votre commentaire à Hervé Volto :
« mais je suggère de se poser la question de savoir si la Providence a le même plan que celui de la Charte de Fontevrault. », je crois qu’il serait préférable de se poser la question inverse, et plutôt de se demander « si la Charte de Fontevrault a le même plan que celui de la Providence. »
Et en cela, ne connaissant pas les plans exacts et détaillés de la Providence car elle ne procède jamais de cette façon, la règle de base de la Charte expressément formulée dans les trois demandes du Notre-Père manifeste sa pleine et entière soumission à la volonté divine quelle qu’elle soit.
Mais en réalité, votre demande est tout autre et correspond à la liste des questions que vous posez plus haut, savoir :
1. Crois-je vraiment en la Providence ?
> oui (ça c’est ma réponse pour ce point et la suite)
2. Crois-je en sa sollicitude particulière à l’égard de la nation française ?
> oui.
3. Crois-je en son projet de rétablir un roi sur le trône français ?
> oui.
4. Crois-je en son “obéissance” aux lois fondamentales du royaume de France ?
> Ici vous mettez le mot entre guillemets, donc vous ne l’entendez pas comme l’obéissance du sens commun.
C’est ce point particulier qui demande une explication précise, que je donnerai comme je vous l’ai dit après le 18 avril.
Vous avez mille fois raison d’évoquer ce point important à la fois surnaturellement, spirituellement, politiquement. La réponse est vitale pour la Charte comme pour TOUS les mouvements royalistes et les Français en général.
5. Accepterai-je un roi ou une reine qui n’en soit pas issu ?
> issu de quoi ? de France ? d’une des familles royales françaises ? autre origine ?
Merci de dire exactement de quoi il s’agit.
6. Etc…
Sans trop m’avancer, je crois que ces oui sont les réponses que feraient bien des fontevristes.
Bien sûr, ils nécessitent tous une explication, que je donnerai après mon retour, puisque je suis pris à Limoges les 15 et 16 avril, et prépare la Supplique du 17.
Chouandecoeur
@CDC
re 5 : issu du modèle imposé par les Lois fondamentales du royaume de France.
A plus tard.