Brefs rappels de santé publique.
Non seulement les cancers constituent désormais la première cause de mortalité en France mais le nombre de ces cancers… a doublé depuis 1990 ! C’est ce qu’il ressort d’une étude très fouillée publiée le 4 juillet par Santé publique France (https://www.europe1.fr/sante/cancer-le-nombre-de-nouveaux-cas-a-double-entre-1990-et-2023-4192444#:~:text=%22Entre%201990%20et%202023%2C%20le,bulletin%20épidémiologique%20hebdomadaire%20de%20SpF.).
Pas de quoi nous rassurer bien sûr mais nous voudrions insister, en particulier, sur l’une des principales observations de cette étude car elle est non seulement terriblement alarmante à une époque où les femmes veulent absolument « être des hommes comme les autres » (vous allez comprendre pourquoi) mais aussi parce que le CER a dénoncé le problème chaque année ou presque depuis 2013… L’étude en question ne fait donc qu’entériner nos affirmations d’il y a dix ans : CHEZ LA FEMME, LE TAUX DE MORTALITÉ PAR CANCER BRONCHO-PULMONAIRE EST DEVENU PLUS ELEVE QUE CHEZ L’HOMME ET VA MÊME DEPASSER CELUI DU CANCER DU SEIN.
Et pourtant, il s’agit de l’un des cancers les plus facilement évitables à la seule condition… de cesser immédiatement de fumer (et quelques autres précautions).
Vous en aurez la démonstration en lisant ou en relisant les quelques articles ci-dessous, précédemment publiés dans les pages de notre blogue.
Sachez, Messieurs, que grâce aux bienfaits du féminisme et de ses dérivés il y aura bientôt davantage de veufs que de veuves dans notre malheureux pays ! Or nous savons, depuis que Bossuet nous l’a rappelé, que « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. «
La preuve aussi que, dans ce domaine comme dans tous les autres, le CER, désormais absent des réseaux d’information, avait tout, absolument tout prévu pour aider les Français à éviter le pire. Ces abrutis, adeptes de la soporifique expression latine « Panem et circenses« , n’ont rien vu, rien entendu et évidemment rien compris à ce que nous annoncions.
MAIS QUI S’EN SOUVIENT ?
Pour le CER et la Charte de Fontevrault, Jean-Yves Pons, CJA.
Au cas où il serait nécessaire d’insister, sachez qu’il ne s’agit pas là de prophéties mais de faits scientifiques indiscutables dont nous avons montré non seulement la réalité mais le caractère déterminant pour l’avenir de nos compatriotes. L’entendront-ils ? Le passé récent nous laisse hélas dubitatifs.
Quant à l’ « approvisionnement » en femmes disponibles et encore valides vous n’avez aucun souci à vous faire. Les officines immigrationnistes à l’oeuvre en mer et à nos frontières y pourvoient ! Il suffira d’accepter l’idée que le veuvage des hommes doit être assimilé à UN METIER EN TENSION (comme ils disent)… Et en plus, messieurs, vous oeuvrerez pour le GRAND REMPLACEMENT. Que du bonheur.
Permettez-nous d’ajouter un postscriptum à la rubrique « Tout va très bien Madame la marquise » de notre situation sanitaire et qui résulte de la mondialisation tout autant que du métissage défendus bec et ongles par Emmanuel Macron et ses complices de l’Union européenne : L’EXPLOSION DE MALADIES INFECTIEUSES ET PARASITAIRES VENUES D’AILLEURS ET AUX CONSEQUENCES SEVERES.
Que ce soit la dengue, le chikungunya et le virus Zika transmis par le moustique tigre ou la toute dernière des infections exotiques, la fièvre hémorragique de Crimée-Congo, une maladie qui peut être mortelle pour les humains, transmise par la tique Hyalomma et le virus qu’elle transporte avec elle, comme la fièvre hémorragique Ebola…
Toutes ces calamités infectieuses procèdent de deux causes principales : d’une part la mondialisation et ses corollaires, le tourisme de masse et bien sûr le transport tous azimuts des marchandises, d’autre part le métissage des populations de nos pays européens par des porteurs de virus ou de parasites dangereux.
A cela que répondent nos dirigeants politiques ? ENCORE PLUS DE COMMERCE MONDIALISÉ ET ENCORE PLUS DE MÉTISSAGE. Merci à tous ceux qui ont cru intelligent d’élire puis même de réélire Emmanuel Macron !
S’ajoute la grande crainte des experts que ces virus passent la barrière des espèces, via divers animaux et finissent par affecter plus sévèrement encore l’homme. Ce phénomène, appelé zoonose, est favorisé par la proximité entre les humains, les animaux d’élevage et les animaux sauvages, et serait moins prononcé si les activités humaines n’exerçaient pas une pression aussi forte sur les écosystèmes. Dans ce tableau, une famille de virus inquiète plus que d’autres. Les virus de la grippe sont particulièrement équipés pour être des virus émergents. Leur capacité à adapter leur génome pour infecter des hôtes est sans commune mesure. Dans tous les plans de prévention des émergences graves, il y a l’hypothèse qu’un virus aviaire s’hybride avec un virus grippal humain. Le problème, c’est que le virus aviaire est très mortel et que le virus humain est très transmissible. Si vous avez la combinaison des deux, cela démultiplie les problèmes que l’on a eus lors de la pandémie de Covid-19.
Plus nous y réfléchissons et plus nous pensons que nos contemporains sont devenus fous. Serait-ce parce que le Ciel ne veut plus de nous ? Face à cela, les prophéties des siècles passés paraissent bien décalées…
J’en profite pour rappeler un facteur peu souvent cité dans les causes de cancers et pathologies en progression de nos jours : personnellement, il me paraît que cette habitude de nos contemporains de se gaver de médicaments, voire de « s’automédicamenter » pour un oui ou pour un non pourrait avoir une influence néfaste sur notre organisme, créé si parfaitement harmonieux et aux interactions physiologiques si subtiles.
Ainsi, par exemple, quand on voit la finesse de nos réseaux neuronaux, se gaver de calmants, antidépresseurs ou somnifères à la mode, n’est-ce pas comme faire entrer un éléphant dans le magasin de porcelaines qu’est notre cerveau ? Comment s’étonner alors de la fréquence accrue des diverses démences qui se développent à l’âge adulte ou à l’entrée de la vieillesse ?
Mais vous me direz, il faut bien faire travailler les usines pharmaceutiques…
Bien d’accord avec vous chère Antonia. Sachant en outre qu’il n’y a pas que notre cerveau qui soit un magasin de porcelaine.