On appelle » Légitmistes » ceux qui, aprés 1830, furent partisans de la branche aînée des Bourbons. – Charte de Fontevrault et Royalisme providentialiste
10 thoughts on “On appelle » Légitmistes » ceux qui, aprés 1830, furent partisans de la branche aînée des Bourbons.”
PATRICK PATTIER DE GASSIN DE LA FONCIERE
Aucun des deux prétendants ne sont des Bourbons. Il était évident que si on maintenait en prison un homme dépositaire d’un grand secret obligé de porter un masque c’est parce qu’il ressemblait beaucoup au roi Louis XIV. Dauger le père de Eustache et des deux prétendus Bourbons a supplée l’impuissance de Louis XIII pour donner une suite à la dynastie. Mais je le répète même si les deux bourbons étaient véritables ils se sont disqualifiés à perpétuité, comme le Bonaparte, suite à leur refus d’appeler à la totale résistance lors des émeutes colonio/racistes. Ce sont des lâches et des parasites qu’ils dégagent pour toujours.
L’Ultraroyalisme, dont les membres étaient désignés sous le nom d’Ultraroyalistes ou d’Ultras, est un mouvement politique de la Restauration Le nom d’« Ultraroyalistes » était cependant utilisé par ses adversaires politiques et était récusé par les intéressés. L’Ultraroyalisme ne forme pas un mouvement structuré, mais une mouvance dont le principe commun est la fidélité aux souverains de la dynastie Capétienne. Les Ultraroyalistes défendent la religion Catholique et le caractère Sacré de la Royauté —Louis XVI faisant l’objet d’une vénération semblable à celle d’un Saint— en défendant un système Monarchique de droit Divinqui s’appuie sur l’Eglise et la Noblesse.
L’Ultraroyalisme naît en 1815, au moment de la Seconde Restauration, et forme jusqu’en 1821 et l’avènement du ministère Villèle, un mouvement d’opposition au sein du pouvoir Royal. Soutiens des luttes Contre-Révolutionnaires menées depuis 1789 par les Vendéens et les Chouans sous l’embème du Coeur de l’Amour surmonté de la Croix du sacrIfice, espoir et salut de la France, les Ultraroyalistes reprochent à Louis XVIII sa politique centriste, incarnée par le ministère plutôt libéral de Decazes, et s’opposent aux innovations révolutionaires et impériales.
Après la Révolution de 1830, de nombreux Ultraroyalistes rejoignent le parti Légitimiste.
Le légitimisme est un mouvement politique français favorable au rétablissement de la Royauté Très Chrétienne de droit Divin dans la personne de l’aîné des Capétiens, chef de la maison de Bourbon.
S’opposant à l’orléanisme, et dans une moindre mesure au bonapartisme, le mouvement Légitimiste est né au début du xixe siècle pour soutenir la dynastie bourbonienne détrônée en 1830. Il a influencé la politique Française pendant une grande partie du xixe siècle et constitue un courant important de la droite française à cette époque.
Au décès du comte de Chambord en 1883, dernier représentant de la branche aînée des Bourbons issue du duc de Bourgogne, le mouvement légitimiste s’auto-dissout et disparaît de la vie politique. Une majorité de Royalistes rallie alors le prétendant Orléaniste, tandis qu’une minorité de Légitimistes intransigeants reste fidèle à la deuxième branche aînée des Bourbons issue du duc d’Anjou, qu’elle reconnaît comme seule successible à la couronne selon le droit monarchique traditionnel. D’autre Royalistes, detendance néo-Légitimistes s’enferment dans l’attente du Grand Monarque.
La première réaction des Légitimistes en 1830 est une indignation contre l’imposteur. Bien des légitimistes la manifesteront en donnant leur démission de magistrats, d’officiers, de députés, parfois en participant à une révolte à main armée avec la duchesse de Berry. La plupart continuent la lutte par la presse. S. Rials analyse très bien l’évolution du royalisme au XIXe siècle ; il faut revenir à son ouvrage Révolution et Contre-Rév olution au XIXe siècle.
charte coutumière de notre Pays inpirée par Dieu (Testament de Saint-Remy, Songe d’Hugues Capet, Triple Donation de Sainte-Jeanne d’Arc), désignent l’AINE SALIQUE, CATHOLIQUE ET DE NAISSANCE LEGALE, des Capétiens, DONC L’AINE DES BOURBONS, les autres branches Capétiennes étant éteintes en ligne Légitime. Le Roi est Légitime parce qu’il est choisi par Dieu à travers les Lois Fondamentales qui tempèrent une Monarchie qui n’est absolue mais responsable.
Le Légitimisme est donc :
1. Une attitude politique : reconnaissance de la primauté du droit naturel Divin, pour assurer un ordre naturel qui puisse être le socle de la Royauté Sociale de N.S. Jéus-Christ.
2. Une attitude religieuse : reconnaissance du fondement surnaturel de l’autorité et de l’obéissance à Dieu, le PRINCIPE ROYAL étant que LE ROI EST LA SEULE AUTORITE LEGITIME EMANANT DE DIEU.
est un Néo-Légitimisme qui ne croit pas que le Prince Louis-Alphonse de Bourbon soit le véritable Aîné des Capétiens, Louis XVII ayant pu avoir survécu et avoir une descendace Légitime, que ce descendant Légitime est caché comme nous l’a rappelé Marie-Julie Jahenny, qu’on ne connait de lui son son nom, HENRI DE LA CROIX, et qu’il ne sera révélé qu’à l’heure de Dieu, pour sa restauration sur le Trône de France, ce qui rejoint le Providentialisme.
Celà n’empèche pas de porter RESPECT, SYMPATHIE et AFFECTION A TOUS LES DESCENDANTS de nos Roi : aujourd’hui, les BOURBONS. Y compris au Duc d’Anjou…
Mieux ! Si pour les royalistes providentialistes, il n’est d’autre chemin que de s’en remettre à la Providence Divine, en l’occurrence à Jésus par Marie par la prière et par l’action il n’en reste pas moins que pour nos esprits humains faibles et débiles , une incarnation est souvent souhaitable. Conscient de cette nécessité , d’ailleurs plus biologique que véritablement politique, les Royalistes Régentistes https://www.sylmpedia.fr/index.php/Royalisme_r%C3%A9gentiste
proposent de reconnaître le Prince Louis de Bourbon, Duc d’Anjou -et pas sous la titulature de Louis XX, il y a là plus qu’une nuance !- en tant qu’AINE VISBLE des Bourbons, Régence en l’attente de la survenance de l’AINE SALIQUE Henri de La Croix, Duc de Bretagne, dont seul Dieu sait si, et quand, elle se produira. Cette Régence doit être bien comprise. Elle doit d’abord être distinguée des périodes de Régence telles que l’Ancien régime en a connu quelques unes.
Si pour les Royalistes Providentialistes, il n’est d’autre chemin que de s’en remettre à la Providence Divine, en l’occurrence à Jésus par Marie par la prière et par l’action, il n’en reste pas moins que pour nos esprits humains faibles et corruptible, une incarnation est souvent souhaitable. Conscient de cette nécessité, d’ailleurs plus politique que véritablement biologique, les Royalistes Régentistes https://www.sylmpedia.fr/index.php/Royalisme_r%C3%A9gentiste
proposent de reconnaître le Prince Louis de Bourbon, Duc d’Anjou -et pas sous la titulature de Louis XX, il y a là plus qu’une nuance !- en tant qu’AINE VISBLE des Bourbons, Régence en l’attente de la survenance de l’AINE SALIQUE Henri de La Croix, Duc de Bretagne, dont seul Dieu sait si, et quand, elle se produira. Cette Régence doit être bien comprise. Elle doit d’abord être distinguée des périodes de Régence telles que l’Ancien régime en a connu quelques unes.
Elle est le moyen pour les Royalistes Providentialistes, Royalistes qui s’en remettent à Dieu du choix de Son Lieutenant en France, de servir un homme, le Duc d’Anjou, et plus seulement un principe, qui aussi élevé soit-il, risque d’apparaître bien désincarné aux yeux de certains Français désireux d’avoir un Roi.
Mais LES FOUS DU ROIS/The all king’s men savent très bien que le Fantôme du Louvre est assis serainement dans la pénombre sur un siècge avec des accoudoirs, regardant sur son écran les évènements avec le même détachement de quelqu’un qui regarderait un match de foot, fumant un bon havanne dont la fumée s’accumule au plafond, déborde par une fenêtre ouverte pour aller s’ajouter aux nuages menaçant qui s’amoncellent dangereusement au-dessus de la France http://boutique.cinema-passion.com/fr/affiches/1505-les-fous-du-roi-27-x-40-affiche-americaine.html
On appelle” Légitimistes” ceux qui, après 1830, furent partisans de la branche aînée des Bourbons ou « l’arroseur arrosé » !
Sans doute, en effet, cette définition du terme « légitimiste » était-elle nécessaire, 3 jours après la publication sur le site de la charte de la recension de ce livre de M.Roustan Delatour, publiée sous le titre : « Alain Beauregard présente “Louis XIV n’était pas le fils de Louis XIII » qui met en évidence le fait que Louis XIV était le fils, né de l’union adultérine de la reine de France, Anne d’Autriche avec le capitaine des gardes et des mousquetaires du cardinal de Richelieu, François Dauger de Cavoye et que c’est l’un des enfants légitimes de ce dernier, son fils Eustache, le demi frère aîné de Louis XIV donc que ce dernier fit enfermer et mettre au secret, de 1669 jusqu’à sa mort en 1703, y compris en faisant veiller à ce que son visage demeure constamment caché derrière un maque, ce qui lui valu d’être désigné sous le nom d’homme au masque de fer.
Pour ma part, j’observe non sans humour que pour le cas où le but de ce rappel sémantique aurait été de contribuer – même un tant soit peu – à réaffirmer, à rebours de mon article précité, cette pseudo-légitimité de l’actuel prétendant légitimiste à la couronne de France (est jointe sa généalogie ainsi que celle du prétendant orléaniste), la tentative s’avère en réalité pour le moins contre-productive, à plusieurs titres, comme s’il s’était, au contraire, agit d’enfoncer le clou de cette illégitimité Bourbon !
Je vous invite à le constater au fil des lignes suivantes.
Et que l’on ne néglige pas non plus de s’interroger sur ces singularités en ce jour de fête des saints archanges, ce vendredi 29 septembre 2023 !
A cette occasion, on ne manquera pas de constater que sur la voie spirituelle, l’attention et l’une des toutes premières qualités à développer…
1) Un bégaiement, inflationniste, procédant par inversion qui, jusqu’alors, aura singulièrement échappé à tout le monde !
A la charte de Fontevrault, l’habitude est de se réfèrer à de bonnes sources et cet article a donc été illustré par un tableau généalogique publié dans l’un des quotidiens nationaux qui a l’un des plus forts tirages puisque Le Parisien tirait à plus de 70 000 exemplaires en 202, sans compter les abonnements internet.
C’est un journal qui a des moyens importants et qui fait donc appel à des correcteurs dont la tâche est de faire en sorte que le journal soit aussi exempt que possible de fautes d’orthographes et de syntaxe et ne publie pas d’ânerie.
Or, une ânerie, on en trouve précisément une dans ce tableau, une ânerie qui – chose surprenante – a donc échappé aux correcteurs, comme si elle avait vocation à être signifiante…!
Et, comme par hasard, parmi les 50 dates (pas moins !) qui sont mentionnées, celle qui est fausse consiste en une répétition, tel un bégaiement de cette date de 1638 qui est précisément celle de la naissance de Louis XIV. Cette fausse date est celle attribuée à la date de naissance de Philippe V, roi d’Espagne, petit fils de Louis XIV en qui se fonde donc cette lignée espagnole des légitimistes au point de lui attribuer une durée de vie inflationniste et bien improbable de 108 ans !
Et lorsqu’on compare cette date erronée avec la vraie date de naissance de l’intéressé, on s’aperçoit en outre que cette erreur procédé d’une inversion ! inversion du 3 et du 8 : au lieu d’avoir écrit 1683, on a écrit 1638 !
Bégaiement, inflation, inversion… ! Décidément, à bas bruit, de manière à peine voilée, n’aurait-on pas là comme un relent de démenti de cette prétendue légitimité légitimiste ?!
Mais évidemment, je vous rassure tout de suite. C’est l’effet du hasard ! Vous savez bien, cette idole, ce faux Dieu si souvent invoqué, plus souvent que le vrai et si commode pour « fourrer sous le tapis » tout ce qui demeure indésirable et que même les plus fervents croyants n’hésitent pas à invoquer sans réserve…
2) Un dernier roi de France dont curieusement les deux prétendants font mine d’oublier qu’il est précisément le « dernier » !
S’interroge t’on en effet jamais parmi les partisans de ces deux prétendants sur le point de savoir pourquoi les prophéties parlent d’un « dernier » roi de France ?
Et ne serait-ce tout simplement pas – c’est la première hypothèse qui vient évidemment à l’esprit – parce qu’il n’a pas d’enfant, a fortiori pas de fils pour lui succéder ?!!
Or, curieusement, ni les légitimistes, ni les orléanistes ne semble s’interroger sur ce point ! Il est vrai que Louis de Bourbon a 3 fils et que Jean d’Orléans en a deux, si je ne m’abuse !
On souhaite évidement longue vie à ces enfants, préférant imaginer que ce n’est pas à cause de leur prédécès que leur père pourrait être réputé être le « dernier roi de France ». J’écarte donc cette hypothèse qui pourrait expliquer que l’un d’eux soit ce « dernier roi de France ». Hélas, le problème demeure dés lors assez insoluble !
Dernière observation : qui pourrait encore croire que l’avènement de ce dernier roi de France pourrait encore être lointainement différé dans le temps et ne concerner que l’un des enfants ou petits enfants de l’un de ces prétendants, en imaginant qu’il soit dés lors quant à lui, sans enfant, pour mériter d’être appelé « dernier roi de France » ?
L’état structurel de dégradation et de débilitation généralisé qui prévaut à l’heure actuelle exclut absolument que l’avènement de ce dernier roi de France puisse être à ce point différé ; vous le constatez vous-même, j’imagine, amplement.
3) Quid, dés lors du réel fondement de ces prétendants Bourbons
La question plus fondamentale à se poser au sujet de ces deux prétendants consiste à se demander sur quoi réellement se fondrait alors leur prétention.
Il est tout de même singulier, voire choquant qu’ils puissent fonder leur prétention à régner en étant totalement déconnectés de ce courant de prophéties constamment réitérés au cours de l’histoire de France qui parle très souvent d’un roi « issu d’une branche cachée de la royauté ».
Or, rien de leur prétention à régner ne se fonde sur leur appartenance à une telle branche cachée, outre le fait, je me répète, qu’aucun d’eux n’est sans enfant !
Dés lors, quelle légitimité à régner leur resterait-il, déconnectés de ce courant prophétique, déconnectés de cette participation au plan de Dieu, transformés en somme, en « administrateurs civils » d’un royaume dont on voit bien mal comment il pourrait dés lors recouvrer cette dimension !
Ainsi, cet article du 26 septembre qui, de prime abord, aurait pu s’apparenter à une réaffirmation de la légitimité Bourbon, soulève bien des questions et contribue, au contraire, à délégitimer davantage cette prétention, qu’elle soit légitimiste ou orléaniste !
Pour demeurer dans la veine humoristique servie ce jour, à sa façon, par notre gouverneur, cela ressemble bien à l’histoire de l’arroseur arrosé !
À Beauregard….
◇
Vous ignorez également complètement la prophétie de Jeanne d’Arc selon laquelle elle est la mère spirituelle des deux rois de la fin des temps… dont le pape français. (Zacharie 6). Votre argumentation montre que vous n’avez pas la vue d’ensemble royale (générale)… pour ainsi dire, pour voir la cohérence des prophéties.
◇
Dans mes réponses précédentes dans divers articles, j’ai déjà fourni quelques informations pour découvrir le lien logique des prophéties en question.
Jo.
Effectivement, je ne connais pas « la prophétie de Jeanne d’Arc selon laquelle elle est la mère spirituelle des deux rois de la fin des temps… dont le pape français. (Zacharie 6) ».
Dites nous en plus, s’il vous plait… Je rejoins l’invitation en ce sens que vous a déjà formulée aujourd’hui notre Gouverneur… N’hésitez pas à prendre le temps de nous faire une présentation de votre approche et de vos sources…
Cela dit, si je comprends bien votre position (également exprimée en commentaire de mon article sur « Louis XIV n’est pas le fils de Louis XIII »), nous ne semblons pas en désaccord puisque vous écrivez : « le futur monarque caché ne semble pas provenir de la lignée des rois Louis XVI et Louis XVII et cela ressort également de diverses prophéties. » Là encore, dites nous en plus…
Quant à conclure que je n’aurais « pas une vue d’ensemble », et dans la mesure où cette prophétie serait documentée, qui vous dit que ce dernier roi de France « d’une branche cachée » que j’ai, pour ma part, de nombreuses raisons de croire Valois, notamment pour les raisons exprimées dans l’article précité, n’aurait pas effectivement Jeanne d’Arc pour « mère spirituelle » (à condition là encore de préciser le sens à donner à cette expression)(1), y compris au regard de théories (non dénuées de fondements) qui feraient d’elle une Valois, elle qui très singulièrement se trouve ainsi appelée « pucelle d’Orléans » dans un document rédigé par l’évêque d’Embrun ANTÉRIEUREMENT au 8 mai 1429 et donc avant la reprise de la ville par la pucelle, laissant donc supposer que l’évêque se réfère, non à ce fait d’arme qui n’était pas encore survenu mais à son ascendance Valois Orléans (cf notamment l’ouvrage de MM.Roger Senzig et Marcel Gay, L’affaire Jeanne d’Arc et plus récemment l’ouvrage de M.Patrick Gilles, Jeanne des lys et des chardons avec une variante quant à cette parenté qui ferait d’elle, non la fille adultérine de la reine Isabeau de Bavière(épouse du roi fou Charles VI) et du duc Louis d’Orléans (frère du roi), assassiné le 23 novembre 1407 par le duc de Bourgogne mais une fille adultérine de sa propre fille : Isabelle de France qui fut reine d’Angleterre et remariée à son cousin Charles, fils du duc Louis d’Orléans en 1406 après son retour en France.
A ce sujet, peut-être notre gouverneur, voudrait-il bien nous rappeler ses propres sources et des précisions supplémentaires au sujet de cette correspondance de l’évêque d’Embrun ainsi que sa date exacte…
Alain Beauregard
(1) Illustration : Cette parenté spirituelle pourrait ainsi avoir conduit à ce que ce dernier roi de France – qui est notre contemporain – soit baptisé un 30 mai, au jour anniversaire du martyr de Jeanne d’Arc ou de sa soustraction au bucher, selon que l’on envisage ou pas qu’elle soit décédée ce jour là ; la thèse de la survivance ayant logiquement les faveurs de ceux qui soutiennent que Jeanne d’Arc était de sang Valois puisque conformément aux codes de l’honneur en usage, il n’aurait pu être question d’infliger un tel châtiment infamant à une princesse de ce rang.
Cher monsieur Beauregard, je suis d’accord avec Jo et vous semblez faire la même erreur que que le facteur de Saint Chamas qui confondait un possible descendand batard du Valois Charles IX et un Bourbon caché, titré Prince de Valois par le Régent osu la minorité de Louis XV.
Pour ce qui est des Valois actuels, s’il en existe encore, ils ne seraient pas dynastes : nous sommes dans la même situation de présomption de batardise que les Bourbon-Busset.
Ne pouvant pas vous prouver la descendance du Grand Amiral de Valois, qui est la théorie de l’Abbé Félix de Valois, je ne me permetrrais donc que de rappeller à toutes et à tous que pour être Roi de France, il faut être L’AINE SALIQUE DES CAPETIENS NES DE NAISSANCE LEGALE (les deux parents mariés à l’Eglise)
Aucun des deux prétendants ne sont des Bourbons. Il était évident que si on maintenait en prison un homme dépositaire d’un grand secret obligé de porter un masque c’est parce qu’il ressemblait beaucoup au roi Louis XIV. Dauger le père de Eustache et des deux prétendus Bourbons a supplée l’impuissance de Louis XIII pour donner une suite à la dynastie. Mais je le répète même si les deux bourbons étaient véritables ils se sont disqualifiés à perpétuité, comme le Bonaparte, suite à leur refus d’appeler à la totale résistance lors des émeutes colonio/racistes. Ce sont des lâches et des parasites qu’ils dégagent pour toujours.
L’Ultraroyalisme, dont les membres étaient désignés sous le nom d’Ultraroyalistes ou d’Ultras, est un mouvement politique de la Restauration Le nom d’« Ultraroyalistes » était cependant utilisé par ses adversaires politiques et était récusé par les intéressés. L’Ultraroyalisme ne forme pas un mouvement structuré, mais une mouvance dont le principe commun est la fidélité aux souverains de la dynastie Capétienne. Les Ultraroyalistes défendent la religion Catholique et le caractère Sacré de la Royauté —Louis XVI faisant l’objet d’une vénération semblable à celle d’un Saint— en défendant un système Monarchique de droit Divinqui s’appuie sur l’Eglise et la Noblesse.
L’Ultraroyalisme naît en 1815, au moment de la Seconde Restauration, et forme jusqu’en 1821 et l’avènement du ministère Villèle, un mouvement d’opposition au sein du pouvoir Royal. Soutiens des luttes Contre-Révolutionnaires menées depuis 1789 par les Vendéens et les Chouans sous l’embème du Coeur de l’Amour surmonté de la Croix du sacrIfice, espoir et salut de la France, les Ultraroyalistes reprochent à Louis XVIII sa politique centriste, incarnée par le ministère plutôt libéral de Decazes, et s’opposent aux innovations révolutionaires et impériales.
Après la Révolution de 1830, de nombreux Ultraroyalistes rejoignent le parti Légitimiste.
Le légitimisme est un mouvement politique français favorable au rétablissement de la Royauté Très Chrétienne de droit Divin dans la personne de l’aîné des Capétiens, chef de la maison de Bourbon.
S’opposant à l’orléanisme, et dans une moindre mesure au bonapartisme, le mouvement Légitimiste est né au début du xixe siècle pour soutenir la dynastie bourbonienne détrônée en 1830. Il a influencé la politique Française pendant une grande partie du xixe siècle et constitue un courant important de la droite française à cette époque.
Au décès du comte de Chambord en 1883, dernier représentant de la branche aînée des Bourbons issue du duc de Bourgogne, le mouvement légitimiste s’auto-dissout et disparaît de la vie politique. Une majorité de Royalistes rallie alors le prétendant Orléaniste, tandis qu’une minorité de Légitimistes intransigeants reste fidèle à la deuxième branche aînée des Bourbons issue du duc d’Anjou, qu’elle reconnaît comme seule successible à la couronne selon le droit monarchique traditionnel. D’autre Royalistes, detendance néo-Légitimistes s’enferment dans l’attente du Grand Monarque.
La première réaction des Légitimistes en 1830 est une indignation contre l’imposteur. Bien des légitimistes la manifesteront en donnant leur démission de magistrats, d’officiers, de députés, parfois en participant à une révolte à main armée avec la duchesse de Berry. La plupart continuent la lutte par la presse. S. Rials analyse très bien l’évolution du royalisme au XIXe siècle ; il faut revenir à son ouvrage Révolution et Contre-Rév olution au XIXe siècle.
LES LOIS FONDAMENTALES DU ROYAUME DE FRANCE
charte coutumière de notre Pays inpirée par Dieu (Testament de Saint-Remy, Songe d’Hugues Capet, Triple Donation de Sainte-Jeanne d’Arc), désignent l’AINE SALIQUE, CATHOLIQUE ET DE NAISSANCE LEGALE, des Capétiens, DONC L’AINE DES BOURBONS, les autres branches Capétiennes étant éteintes en ligne Légitime. Le Roi est Légitime parce qu’il est choisi par Dieu à travers les Lois Fondamentales qui tempèrent une Monarchie qui n’est absolue mais responsable.
Le Légitimisme est donc :
1. Une attitude politique : reconnaissance de la primauté du droit naturel Divin, pour assurer un ordre naturel qui puisse être le socle de la Royauté Sociale de N.S. Jéus-Christ.
2. Une attitude religieuse : reconnaissance du fondement surnaturel de l’autorité et de l’obéissance à Dieu, le PRINCIPE ROYAL étant que LE ROI EST LA SEULE AUTORITE LEGITIME EMANANT DE DIEU.
L’Ultra-Légitimisme
est un Néo-Légitimisme qui ne croit pas que le Prince Louis-Alphonse de Bourbon soit le véritable Aîné des Capétiens, Louis XVII ayant pu avoir survécu et avoir une descendace Légitime, que ce descendant Légitime est caché comme nous l’a rappelé Marie-Julie Jahenny, qu’on ne connait de lui son son nom, HENRI DE LA CROIX, et qu’il ne sera révélé qu’à l’heure de Dieu, pour sa restauration sur le Trône de France, ce qui rejoint le Providentialisme.
Celà n’empèche pas de porter RESPECT, SYMPATHIE et AFFECTION A TOUS LES DESCENDANTS de nos Roi : aujourd’hui, les BOURBONS. Y compris au Duc d’Anjou…
Mieux ! Si pour les royalistes providentialistes, il n’est d’autre chemin que de s’en remettre à la Providence Divine, en l’occurrence à Jésus par Marie par la prière et par l’action il n’en reste pas moins que pour nos esprits humains faibles et débiles , une incarnation est souvent souhaitable. Conscient de cette nécessité , d’ailleurs plus biologique que véritablement politique, les Royalistes Régentistes
https://www.sylmpedia.fr/index.php/Royalisme_r%C3%A9gentiste
proposent de reconnaître le Prince Louis de Bourbon, Duc d’Anjou -et pas sous la titulature de Louis XX, il y a là plus qu’une nuance !- en tant qu’AINE VISBLE des Bourbons, Régence en l’attente de la survenance de l’AINE SALIQUE Henri de La Croix, Duc de Bretagne, dont seul Dieu sait si, et quand, elle se produira. Cette Régence doit être bien comprise. Elle doit d’abord être distinguée des périodes de Régence telles que l’Ancien régime en a connu quelques unes.
Si pour les Royalistes Providentialistes, il n’est d’autre chemin que de s’en remettre à la Providence Divine, en l’occurrence à Jésus par Marie par la prière et par l’action, il n’en reste pas moins que pour nos esprits humains faibles et corruptible, une incarnation est souvent souhaitable. Conscient de cette nécessité, d’ailleurs plus politique que véritablement biologique, les Royalistes Régentistes
https://www.sylmpedia.fr/index.php/Royalisme_r%C3%A9gentiste
proposent de reconnaître le Prince Louis de Bourbon, Duc d’Anjou -et pas sous la titulature de Louis XX, il y a là plus qu’une nuance !- en tant qu’AINE VISBLE des Bourbons, Régence en l’attente de la survenance de l’AINE SALIQUE Henri de La Croix, Duc de Bretagne, dont seul Dieu sait si, et quand, elle se produira. Cette Régence doit être bien comprise. Elle doit d’abord être distinguée des périodes de Régence telles que l’Ancien régime en a connu quelques unes.
Elle est le moyen pour les Royalistes Providentialistes, Royalistes qui s’en remettent à Dieu du choix de Son Lieutenant en France, de servir un homme, le Duc d’Anjou, et plus seulement un principe, qui aussi élevé soit-il, risque d’apparaître bien désincarné aux yeux de certains Français désireux d’avoir un Roi.
Mais LES FOUS DU ROIS/The all king’s men savent très bien que le Fantôme du Louvre est assis serainement dans la pénombre sur un siècge avec des accoudoirs, regardant sur son écran les évènements avec le même détachement de quelqu’un qui regarderait un match de foot, fumant un bon havanne dont la fumée s’accumule au plafond, déborde par une fenêtre ouverte pour aller s’ajouter aux nuages menaçant qui s’amoncellent dangereusement au-dessus de la France
http://boutique.cinema-passion.com/fr/affiches/1505-les-fous-du-roi-27-x-40-affiche-americaine.html
Et qu’il n’a plus qu’à attendre. Un étincelle…
-Dieu saul fait les Rois, Il prépare les races Royales : là se trouve la plus grande des Légitimités (Jospeh de Maîstre) !
On appelle” Légitimistes” ceux qui, après 1830, furent partisans de la branche aînée des Bourbons ou « l’arroseur arrosé » !
Sans doute, en effet, cette définition du terme « légitimiste » était-elle nécessaire, 3 jours après la publication sur le site de la charte de la recension de ce livre de M.Roustan Delatour, publiée sous le titre : « Alain Beauregard présente “Louis XIV n’était pas le fils de Louis XIII » qui met en évidence le fait que Louis XIV était le fils, né de l’union adultérine de la reine de France, Anne d’Autriche avec le capitaine des gardes et des mousquetaires du cardinal de Richelieu, François Dauger de Cavoye et que c’est l’un des enfants légitimes de ce dernier, son fils Eustache, le demi frère aîné de Louis XIV donc que ce dernier fit enfermer et mettre au secret, de 1669 jusqu’à sa mort en 1703, y compris en faisant veiller à ce que son visage demeure constamment caché derrière un maque, ce qui lui valu d’être désigné sous le nom d’homme au masque de fer.
Pour ma part, j’observe non sans humour que pour le cas où le but de ce rappel sémantique aurait été de contribuer – même un tant soit peu – à réaffirmer, à rebours de mon article précité, cette pseudo-légitimité de l’actuel prétendant légitimiste à la couronne de France (est jointe sa généalogie ainsi que celle du prétendant orléaniste), la tentative s’avère en réalité pour le moins contre-productive, à plusieurs titres, comme s’il s’était, au contraire, agit d’enfoncer le clou de cette illégitimité Bourbon !
Je vous invite à le constater au fil des lignes suivantes.
Et que l’on ne néglige pas non plus de s’interroger sur ces singularités en ce jour de fête des saints archanges, ce vendredi 29 septembre 2023 !
A cette occasion, on ne manquera pas de constater que sur la voie spirituelle, l’attention et l’une des toutes premières qualités à développer…
1) Un bégaiement, inflationniste, procédant par inversion qui, jusqu’alors, aura singulièrement échappé à tout le monde !
A la charte de Fontevrault, l’habitude est de se réfèrer à de bonnes sources et cet article a donc été illustré par un tableau généalogique publié dans l’un des quotidiens nationaux qui a l’un des plus forts tirages puisque Le Parisien tirait à plus de 70 000 exemplaires en 202, sans compter les abonnements internet.
C’est un journal qui a des moyens importants et qui fait donc appel à des correcteurs dont la tâche est de faire en sorte que le journal soit aussi exempt que possible de fautes d’orthographes et de syntaxe et ne publie pas d’ânerie.
Or, une ânerie, on en trouve précisément une dans ce tableau, une ânerie qui – chose surprenante – a donc échappé aux correcteurs, comme si elle avait vocation à être signifiante…!
Et, comme par hasard, parmi les 50 dates (pas moins !) qui sont mentionnées, celle qui est fausse consiste en une répétition, tel un bégaiement de cette date de 1638 qui est précisément celle de la naissance de Louis XIV. Cette fausse date est celle attribuée à la date de naissance de Philippe V, roi d’Espagne, petit fils de Louis XIV en qui se fonde donc cette lignée espagnole des légitimistes au point de lui attribuer une durée de vie inflationniste et bien improbable de 108 ans !
Et lorsqu’on compare cette date erronée avec la vraie date de naissance de l’intéressé, on s’aperçoit en outre que cette erreur procédé d’une inversion ! inversion du 3 et du 8 : au lieu d’avoir écrit 1683, on a écrit 1638 !
Bégaiement, inflation, inversion… ! Décidément, à bas bruit, de manière à peine voilée, n’aurait-on pas là comme un relent de démenti de cette prétendue légitimité légitimiste ?!
Mais évidemment, je vous rassure tout de suite. C’est l’effet du hasard ! Vous savez bien, cette idole, ce faux Dieu si souvent invoqué, plus souvent que le vrai et si commode pour « fourrer sous le tapis » tout ce qui demeure indésirable et que même les plus fervents croyants n’hésitent pas à invoquer sans réserve…
2) Un dernier roi de France dont curieusement les deux prétendants font mine d’oublier qu’il est précisément le « dernier » !
S’interroge t’on en effet jamais parmi les partisans de ces deux prétendants sur le point de savoir pourquoi les prophéties parlent d’un « dernier » roi de France ?
Et ne serait-ce tout simplement pas – c’est la première hypothèse qui vient évidemment à l’esprit – parce qu’il n’a pas d’enfant, a fortiori pas de fils pour lui succéder ?!!
Or, curieusement, ni les légitimistes, ni les orléanistes ne semble s’interroger sur ce point ! Il est vrai que Louis de Bourbon a 3 fils et que Jean d’Orléans en a deux, si je ne m’abuse !
On souhaite évidement longue vie à ces enfants, préférant imaginer que ce n’est pas à cause de leur prédécès que leur père pourrait être réputé être le « dernier roi de France ». J’écarte donc cette hypothèse qui pourrait expliquer que l’un d’eux soit ce « dernier roi de France ». Hélas, le problème demeure dés lors assez insoluble !
Dernière observation : qui pourrait encore croire que l’avènement de ce dernier roi de France pourrait encore être lointainement différé dans le temps et ne concerner que l’un des enfants ou petits enfants de l’un de ces prétendants, en imaginant qu’il soit dés lors quant à lui, sans enfant, pour mériter d’être appelé « dernier roi de France » ?
L’état structurel de dégradation et de débilitation généralisé qui prévaut à l’heure actuelle exclut absolument que l’avènement de ce dernier roi de France puisse être à ce point différé ; vous le constatez vous-même, j’imagine, amplement.
3) Quid, dés lors du réel fondement de ces prétendants Bourbons
La question plus fondamentale à se poser au sujet de ces deux prétendants consiste à se demander sur quoi réellement se fondrait alors leur prétention.
Il est tout de même singulier, voire choquant qu’ils puissent fonder leur prétention à régner en étant totalement déconnectés de ce courant de prophéties constamment réitérés au cours de l’histoire de France qui parle très souvent d’un roi « issu d’une branche cachée de la royauté ».
Or, rien de leur prétention à régner ne se fonde sur leur appartenance à une telle branche cachée, outre le fait, je me répète, qu’aucun d’eux n’est sans enfant !
Dés lors, quelle légitimité à régner leur resterait-il, déconnectés de ce courant prophétique, déconnectés de cette participation au plan de Dieu, transformés en somme, en « administrateurs civils » d’un royaume dont on voit bien mal comment il pourrait dés lors recouvrer cette dimension !
Ainsi, cet article du 26 septembre qui, de prime abord, aurait pu s’apparenter à une réaffirmation de la légitimité Bourbon, soulève bien des questions et contribue, au contraire, à délégitimer davantage cette prétention, qu’elle soit légitimiste ou orléaniste !
Pour demeurer dans la veine humoristique servie ce jour, à sa façon, par notre gouverneur, cela ressemble bien à l’histoire de l’arroseur arrosé !
À Beauregard….
◇
Vous ignorez également complètement la prophétie de Jeanne d’Arc selon laquelle elle est la mère spirituelle des deux rois de la fin des temps… dont le pape français. (Zacharie 6). Votre argumentation montre que vous n’avez pas la vue d’ensemble royale (générale)… pour ainsi dire, pour voir la cohérence des prophéties.
◇
Dans mes réponses précédentes dans divers articles, j’ai déjà fourni quelques informations pour découvrir le lien logique des prophéties en question.
Jo.
Bonsoir Jo,
Effectivement, je ne connais pas « la prophétie de Jeanne d’Arc selon laquelle elle est la mère spirituelle des deux rois de la fin des temps… dont le pape français. (Zacharie 6) ».
Dites nous en plus, s’il vous plait… Je rejoins l’invitation en ce sens que vous a déjà formulée aujourd’hui notre Gouverneur… N’hésitez pas à prendre le temps de nous faire une présentation de votre approche et de vos sources…
Cela dit, si je comprends bien votre position (également exprimée en commentaire de mon article sur « Louis XIV n’est pas le fils de Louis XIII »), nous ne semblons pas en désaccord puisque vous écrivez : « le futur monarque caché ne semble pas provenir de la lignée des rois Louis XVI et Louis XVII et cela ressort également de diverses prophéties. » Là encore, dites nous en plus…
Quant à conclure que je n’aurais « pas une vue d’ensemble », et dans la mesure où cette prophétie serait documentée, qui vous dit que ce dernier roi de France « d’une branche cachée » que j’ai, pour ma part, de nombreuses raisons de croire Valois, notamment pour les raisons exprimées dans l’article précité, n’aurait pas effectivement Jeanne d’Arc pour « mère spirituelle » (à condition là encore de préciser le sens à donner à cette expression)(1), y compris au regard de théories (non dénuées de fondements) qui feraient d’elle une Valois, elle qui très singulièrement se trouve ainsi appelée « pucelle d’Orléans » dans un document rédigé par l’évêque d’Embrun ANTÉRIEUREMENT au 8 mai 1429 et donc avant la reprise de la ville par la pucelle, laissant donc supposer que l’évêque se réfère, non à ce fait d’arme qui n’était pas encore survenu mais à son ascendance Valois Orléans (cf notamment l’ouvrage de MM.Roger Senzig et Marcel Gay, L’affaire Jeanne d’Arc et plus récemment l’ouvrage de M.Patrick Gilles, Jeanne des lys et des chardons avec une variante quant à cette parenté qui ferait d’elle, non la fille adultérine de la reine Isabeau de Bavière(épouse du roi fou Charles VI) et du duc Louis d’Orléans (frère du roi), assassiné le 23 novembre 1407 par le duc de Bourgogne mais une fille adultérine de sa propre fille : Isabelle de France qui fut reine d’Angleterre et remariée à son cousin Charles, fils du duc Louis d’Orléans en 1406 après son retour en France.
A ce sujet, peut-être notre gouverneur, voudrait-il bien nous rappeler ses propres sources et des précisions supplémentaires au sujet de cette correspondance de l’évêque d’Embrun ainsi que sa date exacte…
Alain Beauregard
(1) Illustration : Cette parenté spirituelle pourrait ainsi avoir conduit à ce que ce dernier roi de France – qui est notre contemporain – soit baptisé un 30 mai, au jour anniversaire du martyr de Jeanne d’Arc ou de sa soustraction au bucher, selon que l’on envisage ou pas qu’elle soit décédée ce jour là ; la thèse de la survivance ayant logiquement les faveurs de ceux qui soutiennent que Jeanne d’Arc était de sang Valois puisque conformément aux codes de l’honneur en usage, il n’aurait pu être question d’infliger un tel châtiment infamant à une princesse de ce rang.
Cher monsieur Beauregard, je suis d’accord avec Jo et vous semblez faire la même erreur que que le facteur de Saint Chamas qui confondait un possible descendand batard du Valois Charles IX et un Bourbon caché, titré Prince de Valois par le Régent osu la minorité de Louis XV.
Pour ce qui est des Valois actuels, s’il en existe encore, ils ne seraient pas dynastes : nous sommes dans la même situation de présomption de batardise que les Bourbon-Busset.
Ne pouvant pas vous prouver la descendance du Grand Amiral de Valois, qui est la théorie de l’Abbé Félix de Valois, je ne me permetrrais donc que de rappeller à toutes et à tous que pour être Roi de France, il faut être L’AINE SALIQUE DES CAPETIENS NES DE NAISSANCE LEGALE (les deux parents mariés à l’Eglise)
et