La foule en délire criat KISS ! KISS ! comme si ce fut le mnriage de Charles et Diana pour nous ou de William et Kate pour nos enfants !!!
Le 31 décembre 2023, la Reine de Danemark a surpris la population entière en terminant son discours de Nouvel An par l’annonce de son abdication prochaine. À 83 ans, la reine Margrethe II a choisi d’abdiquer ce 14 janvier 2024, le jour exact de ses 52 ans de règne. Son fils deviendra à 55 ans le Roi Frederik X :
-Le 14 janvier 2024, 52 ans après avoir succédé à mon père bien-aimé, je quitterai mes fonctions de reine du Danemark. Je laisserai le trône à mon fils, le prince héritier Frederik, a-t-elle déclaré lors de ses vœux télévisés.
Sur le Trône depuis la mort de son père en 1972, Margrethe II est considérée comme un élément fédérateur, elle incarna sa nation, comme l’a souligné le Premier Ministre Mette Frederiksen dans un communiqué :
-Beaucoup d’entre nous n’ont jamais connu d’autre Monarque. La Reine Margrethe est l’incarnation même du Danemark et, au fil des ans, elle a mis des mots et des sentiments sur ce que nous sommes en tant que peuple et en tant que nation.
La Reine a un lien particulier avec la France, puisqu’elle avait épousé un gentilhomme Français, le Comte Henri Laborde de Montpeza -De gueules au lion d’or accompagné en chef de trois étoiles du même- alors jeune diplômate.
Leur romance avait inspiré un téléfilm, La demoiselle d’Avignon
(dont Papa ne manquait pas un épisode !) et il n’était pas rare de voir la Reine et son époux Français l’été à Cahors.
Le mariage fut célébré en 1967. Un mariage « inégal », comme on disait autrefois, mais la Princesse Héritière avait su à l’époque l’imposer à son père, le Roi Frederik IX, et à sa mère, Ingrid de Suède (une Bernadotte et, donc, descendante d’un Français, lui aussi béarnais !). Henri de Montpezat renonça à la religion Catholique, se fit Luthérien pour épouser sa Princesse et dut se contenter toute sa vie, une fois son épouse devenue Reine, du titre de Prince Consort, car si les épouses de Rois deviennent Reines Consorts, les époux de Reines ne deviennent jamais Rois Consorts mais seulement Prince Consorts. C’est comme ça, et puis c’est tout.
Pardonnez-moi, cher ami, mais il est de notoriété publique que la noblesse des Laborde de Monpezat est très largement sujette à caution. En tout cas en France et, en particulier, en Béarn. Seule la noblesse octroyée par la reine Margrethe et la qualification de « comte » au sein de la noblesse danoise, en 2008, s’avèrent licites. Des armoiries existent effectivement de longue date mais, comme vous le savez, nulle armoirie n’affirme la noblesse de celui qui les porte ! Voici un bref résumé de l’affaire : https://fr.wikipedia.org/wiki/Famille_de_Laborde_de_Monpezat
La Reine Margrethe II a choisi le 14 janvier pour abdiquer, date à laquelle elle fêtera ses 52 ans de règne. Elle a succédé à son père en ce jour de l’année 1972. Depuis l’annonce surprise, à laquelle la première ministre danoise n’était même pas au courant, la Cour Royale distille au fur et à mesure des informations concernant la façon dont aura lieu l’abdication.
La journée se déroulera en trois temps, à partir de 14 heures :
1. Le Conseil d’État d’abdication commencera à 14 heures au château de Christiansborg.
Lors de ce Conseil d’État, qui réunira la reine, la première ministre et des membres du Gouvernement, le Roi Frederik X et la reine Mary devraient être accompagnés par leur fils aîné, qui deviendra lui aussi automatiquement le prince héritier Christian. Le Conseil d’État devrait être relativement court, le temps pour la Reine de signer son abdication et pour le Prince Héritier de signer le document qui fait de lui le nouveau Roi.
2. À 15 heures, le Roi Frederik X fera une apparition au balcon du château de Christiansborg où il sera officiellement proclamé Roi par la première ministre, Mette Frederiksen.
On ne sait pas encore s’il sera seul sur le balcon. Il est probable qu’après la proclamation, la Reine Mary et peut-être le Prince Héritier Christian le rejoignent sur le balcon pour saluer la foule amassée au pied du château. La proclamation du nouveau souverain est une tradition qui a débuté en 1863, lors de l’accession au trône du Roi Christian X. Habituellement, cette apparition est plutôt maussade car un nouveau règne se produit après le décès du souverain. Il s’agira de la première fois qu’un nouveau roi apparaîtra au balcon en dehors d’un contexte de deuil.
3. Le troisième temps fort de la journée aura lieu à 17 heures. Symboliquement, les bannières Royales quitteront la résidence de la Reine Margrethe II pour rejoindre le palais occupé par Frederik et Mary.
Il n’est pas précisé la façon dont aura lieu ce transfert de drapeaux. Il est normalement de coutume que le premier acte du Souverain danois soit d’embrasser les drapeaux de sa résidence.
La Famille Royale vit à Amalienborg, le Versailles de Copenhague, un complexe de quatre palais situés en bordure d’une cour octogonale, dans le centre de la capitale danoise. La Reine Margrethe II occupe le palais Christian IX et l’actuelle Famille Héritière occupe le palais Frédéric VIII. Le transfert des drapeaux signifie que chacun gardera sa résidence. Le palais Frédéric VIII deviendra le palais où réside le Souverain. Le palais Christian VIII abrite un musée et le palais Christian VII est utilisé pour y organiser les événements Royaux comme les banquets ou la réception protocolaire des dignitaires étrangers. Une réception devrait y être donnée en présence des ministres, des parlementaires, quelques diplômates et des personnes choisies.
Ce 14 janvier 2024, Frederik de Danemark a donc succédé à sa mère, la Reine Margrethe II, sur le Trône danois et deviend le Roi Frederik X. Margrethe II est la dernière souveraine danoise issue en ligne masculine des Comtes d’Oldenbourg, par la branche des ducs de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg. En ligne masculine, son fils Frederik est un Monpezat, d’origine Française, donc.
À la différence des Windsor, qui renièrent leurs origines allemandes en abandonnant leur nom de Saxe-Cobourg-Gotha, pour cause de Première Guerre mondiale, la famille Royale de Danemark n’a aucune raison de tourner le dos à ses origines Françaises. Certes, c’est au Danemark qu’Emmanuel Macron qualifia ses compatriotes de Gaulois réfractaires (ce qui n’aurait sans doute pas déplu au prince Henrik), mais le Danemark doit être un des rares pays d’Europe avec qui la France n’a jamais été en guerre.
L’attachement à la France de la famille royale de Danemark est d’autant plus grand que la reine Margrethe passe depuis bientôt cinquante ans ses vacances dans son câteau de Cayx, dans le Lot, qu’elle avait acquis avec son mari en 1974 : un domaine de 24 hectares où l’on produit un vin de Cahors. Dont la cuvée Majesté : bon vin ne saurait mentir !
-C’est d’ailleurs un exercice d’humilité que de se souvenir de tout ce que nous devons à nos devanciers et de prendre conscience de notre rôle de chaînon, explique encore le biographe de l’Impératice Eugénie https://www.editionsducerf.fr/librairie/livre/18925/l-imperatrice-eugenie-une-vie-politique
L’héritage que nous avons reçu nous impose des devoirs, nous ne pouvons pas nous comporter comme des enfants ingrats quand tant de Français se sont battus pour nous léguer la France dans laquelle nous vivons.
LES FAITS : La famille de Laborde de Monpezat – De gueules au lion d’or accompagné en chef de trois étoiles du même. – est une famille d’origine béarnaise. Elle posséda de 1655, date de sonanoblissment par le Roi de France, à 1789… cent cinquante journaux de terres nobles dans les communes de Moncaup et Monpezat, en Béarn.
L’un de ses membres, Henri de Laborde de Monpezat, a épousé en 1967 la princesse héritière de Danemark, la future reine Margrethe II, devenant le prince Henrik de Danemark, puis prince consort de Danemark en 1972. De ce couple descend la famille régnante du Danemark « per virilem sexum ».
LA CONTREVERSE : Le patronyme Laborde de Monpezat est porté depuis le mariage, le 16 août 1648, de noble Jean de Laborde, baptisé en 1620, docteur en droit civil et canon et gentilhomme ordinaire de la chambre du roy (selon Joseph Valynseele (Les Laborde de Monpezat et leurs alliances – Joseph Valynseele [archive] » ) et Arnaud Chaffanjon), avec Catherine d’Arricau, dame de Monpezat — nom d’une actuelle commune des Pyrénées-Atlantiques (« L’Intermédiaire des chercheurs et curieux 1967 p 81 [archive] »
). Joseph Valynseele indique que la qualification de noble ne présume pas de la véritable noblesse de son porteur, mais signifie qu’il vivait noblement (Les Laborde de Monpezat et leurs alliances – Joseph Valynseele [archive] » ).
À cet égard, dans la Revue historique (année 1976), Pierre Grillon se penche sur les réserves de Joseph Valynseele quant à la noblesse de cette famille, mais il développe pour sa part un argumentaire selon lequel l’absence d’admission ne saurait remettre en cause la validité de l’anoblissement6, alors que pour J. Valynseele ladite admission avait « valeur de reconnaissance ou de maintenue de noblesse »,18. (Compte-rendu de Pierre Grillon sur l’ouvrage de Joseph Valynseele consacré à la famille de Laborde de Monpezat, Revue historique, 1976, pages 485 à 486 [archive]; Vicomte Jacques de Marsay, De l’âge des privilèges au temps des vanités. Essai sur l’origine et la valeur des prétentions nobiliaires (préface par M. le Duc de Lévis-Mirepoix), Éditions Contrepoint (réédition), 1977. Jacques de Marsay écrit en 1932 (rééd. 1977, pp. 68-69) : « La condition à laquelle la grande recherche assujettit la reconnaissance de la noblesse d’extraction (aucune trace de roture avant 1560) établit évidemment une sélection dans les familles françaises. S’il est vrai, en effet, qu’un certain nombre parvinrent sans doute à se faire comprendre indûment dans cette catégorie, en revanche, toutes celles qui furent alors éliminées comme ne satisfaisant pas à cette exigence doivent manifestement en être aujourd’hui écartées. Les faits qui militaient alors contre leurs prétentions s’élèvent toujours contre celles de leur descendance. »).
L’abbé Jean Francez écrit, quant à lui : « Par lettres patentes en date de mai 1655, le roi de France anoblit cent cinquante journaux de terre, au titre de Beaufranc, situés sur les communes de Moncaup et Monpezat, en Béarn, appartenant à Jean de Laborde à la charge d’en rendre hommage à sa majesté et à ses successeurs, sous le devoir d’un fer de cheval, à chaque mutation de seigneur. Cet anoblissement donnait droit d’entrée aux États de Béarn ». D’après la même source, « Les Laborde de Monpezat sont nobles depuis l’acte royal de mai 1655 qui anoblissait les 150 journaux de terre situés à Moncaup et à Monpezat » (Bulletin de la Société académique des Hautes-Pyrénées, 1966, pages 14 à 16, article de J. Francez Attaches bigourdanes d’Henri de Monpezat [archive].). Et, dans son ouvrage La Noblesse du Périgord, l’historienne Joëlle Chevé dit que la famille a été anoblie par lettres en 1655 (« La Noblesse du Périgord: Au pays des 1.000 châteaux De Joëlle Chevé [archive] »).
C’est Louis XIV qui, par Lettre pattente de 1655, fit de de Laborde dit de Montpezat le Comte Jeande La borde de Montpezat. LES ACTES ROYAUX SONT SUPERIEURS A CEUX DES ETATS DU BEARN, QUE LE ROI PEUT CASSER. Leurs descendants possèdent encore aujourd’hui un chateau où ils produisent du vin de cahors. La reine et son mari y passaient leur vacances dans leur jeunesse, avc leurs enfants, dont l’ainè est monté sur le trône du danemark, un pays allié à la France.
SUR LE PLAN LEGITIME, SEULE LE ROI DE FRANCE, RESTAURE ET SACRE A REIMS, POURRAIT DECIDER QUOI QUE CE SOIT SUR LE SORT D’UNE FAMILLE ANOBLIE PAR SON ANCETRE ET MONTE AUJOURD’HUI SUR UN TRONE TRANGER, DANS UN PAYS ALLIE A LA FRANCE.
Il y a eu même un baiser médiatisé !
https://histoiresroyales.fr/roi-frederik-x-reine-mary-apparaissent-balcon-premiere-fois-monarques-enfants/
La foule en délire criat KISS ! KISS ! comme si ce fut le mnriage de Charles et Diana pour nous ou de William et Kate pour nos enfants !!!
Le 31 décembre 2023, la Reine de Danemark a surpris la population entière en terminant son discours de Nouvel An par l’annonce de son abdication prochaine. À 83 ans, la reine Margrethe II a choisi d’abdiquer ce 14 janvier 2024, le jour exact de ses 52 ans de règne. Son fils deviendra à 55 ans le Roi Frederik X :
-Le 14 janvier 2024, 52 ans après avoir succédé à mon père bien-aimé, je quitterai mes fonctions de reine du Danemark. Je laisserai le trône à mon fils, le prince héritier Frederik, a-t-elle déclaré lors de ses vœux télévisés.
Sur le Trône depuis la mort de son père en 1972, Margrethe II est considérée comme un élément fédérateur, elle incarna sa nation, comme l’a souligné le Premier Ministre Mette Frederiksen dans un communiqué :
-Beaucoup d’entre nous n’ont jamais connu d’autre Monarque. La Reine Margrethe est l’incarnation même du Danemark et, au fil des ans, elle a mis des mots et des sentiments sur ce que nous sommes en tant que peuple et en tant que nation.
La Reine a un lien particulier avec la France, puisqu’elle avait épousé un gentilhomme Français, le Comte Henri Laborde de Montpeza -De gueules au lion d’or accompagné en chef de trois étoiles du même- alors jeune diplômate.
Leur romance avait inspiré un téléfilm, La demoiselle d’Avignon
(dont Papa ne manquait pas un épisode !) et il n’était pas rare de voir la Reine et son époux Français l’été à Cahors.
Le mariage fut célébré en 1967. Un mariage « inégal », comme on disait autrefois, mais la Princesse Héritière avait su à l’époque l’imposer à son père, le Roi Frederik IX, et à sa mère, Ingrid de Suède (une Bernadotte et, donc, descendante d’un Français, lui aussi béarnais !). Henri de Montpezat renonça à la religion Catholique, se fit Luthérien pour épouser sa Princesse et dut se contenter toute sa vie, une fois son épouse devenue Reine, du titre de Prince Consort, car si les épouses de Rois deviennent Reines Consorts, les époux de Reines ne deviennent jamais Rois Consorts mais seulement Prince Consorts. C’est comme ça, et puis c’est tout.
Henri de Monpezat est décédé en 2018
Pardonnez-moi, cher ami, mais il est de notoriété publique que la noblesse des Laborde de Monpezat est très largement sujette à caution. En tout cas en France et, en particulier, en Béarn. Seule la noblesse octroyée par la reine Margrethe et la qualification de « comte » au sein de la noblesse danoise, en 2008, s’avèrent licites. Des armoiries existent effectivement de longue date mais, comme vous le savez, nulle armoirie n’affirme la noblesse de celui qui les porte ! Voici un bref résumé de l’affaire : https://fr.wikipedia.org/wiki/Famille_de_Laborde_de_Monpezat
La Reine Margrethe II a choisi le 14 janvier pour abdiquer, date à laquelle elle fêtera ses 52 ans de règne. Elle a succédé à son père en ce jour de l’année 1972. Depuis l’annonce surprise, à laquelle la première ministre danoise n’était même pas au courant, la Cour Royale distille au fur et à mesure des informations concernant la façon dont aura lieu l’abdication.
La journée se déroulera en trois temps, à partir de 14 heures :
1. Le Conseil d’État d’abdication commencera à 14 heures au château de Christiansborg.
Lors de ce Conseil d’État, qui réunira la reine, la première ministre et des membres du Gouvernement, le Roi Frederik X et la reine Mary devraient être accompagnés par leur fils aîné, qui deviendra lui aussi automatiquement le prince héritier Christian. Le Conseil d’État devrait être relativement court, le temps pour la Reine de signer son abdication et pour le Prince Héritier de signer le document qui fait de lui le nouveau Roi.
2. À 15 heures, le Roi Frederik X fera une apparition au balcon du château de Christiansborg où il sera officiellement proclamé Roi par la première ministre, Mette Frederiksen.
On ne sait pas encore s’il sera seul sur le balcon. Il est probable qu’après la proclamation, la Reine Mary et peut-être le Prince Héritier Christian le rejoignent sur le balcon pour saluer la foule amassée au pied du château. La proclamation du nouveau souverain est une tradition qui a débuté en 1863, lors de l’accession au trône du Roi Christian X. Habituellement, cette apparition est plutôt maussade car un nouveau règne se produit après le décès du souverain. Il s’agira de la première fois qu’un nouveau roi apparaîtra au balcon en dehors d’un contexte de deuil.
3. Le troisième temps fort de la journée aura lieu à 17 heures. Symboliquement, les bannières Royales quitteront la résidence de la Reine Margrethe II pour rejoindre le palais occupé par Frederik et Mary.
Il n’est pas précisé la façon dont aura lieu ce transfert de drapeaux. Il est normalement de coutume que le premier acte du Souverain danois soit d’embrasser les drapeaux de sa résidence.
La Famille Royale vit à Amalienborg, le Versailles de Copenhague, un complexe de quatre palais situés en bordure d’une cour octogonale, dans le centre de la capitale danoise. La Reine Margrethe II occupe le palais Christian IX et l’actuelle Famille Héritière occupe le palais Frédéric VIII. Le transfert des drapeaux signifie que chacun gardera sa résidence. Le palais Frédéric VIII deviendra le palais où réside le Souverain. Le palais Christian VIII abrite un musée et le palais Christian VII est utilisé pour y organiser les événements Royaux comme les banquets ou la réception protocolaire des dignitaires étrangers. Une réception devrait y être donnée en présence des ministres, des parlementaires, quelques diplômates et des personnes choisies.
Ce 14 janvier 2024, Frederik de Danemark a donc succédé à sa mère, la Reine Margrethe II, sur le Trône danois et deviend le Roi Frederik X. Margrethe II est la dernière souveraine danoise issue en ligne masculine des Comtes d’Oldenbourg, par la branche des ducs de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg. En ligne masculine, son fils Frederik est un Monpezat, d’origine Française, donc.
À la différence des Windsor, qui renièrent leurs origines allemandes en abandonnant leur nom de Saxe-Cobourg-Gotha, pour cause de Première Guerre mondiale, la famille Royale de Danemark n’a aucune raison de tourner le dos à ses origines Françaises. Certes, c’est au Danemark qu’Emmanuel Macron qualifia ses compatriotes de Gaulois réfractaires (ce qui n’aurait sans doute pas déplu au prince Henrik), mais le Danemark doit être un des rares pays d’Europe avec qui la France n’a jamais été en guerre.
L’attachement à la France de la famille royale de Danemark est d’autant plus grand que la reine Margrethe passe depuis bientôt cinquante ans ses vacances dans son câteau de Cayx, dans le Lot, qu’elle avait acquis avec son mari en 1974 : un domaine de 24 hectares où l’on produit un vin de Cahors. Dont la cuvée Majesté : bon vin ne saurait mentir !
-C’est d’ailleurs un exercice d’humilité que de se souvenir de tout ce que nous devons à nos devanciers et de prendre conscience de notre rôle de chaînon, explique encore le biographe de l’Impératice Eugénie
https://www.editionsducerf.fr/librairie/livre/18925/l-imperatrice-eugenie-une-vie-politique
L’héritage que nous avons reçu nous impose des devoirs, nous ne pouvons pas nous comporter comme des enfants ingrats quand tant de Français se sont battus pour nous léguer la France dans laquelle nous vivons.
Des milliers de Danois ont bravé le froid pour le Roi !
https://histoiresroyales.fr/proclamation-roi-frederik-x-de-danemark-balcon-de-christiansborg/
Par contre, pour notre Régent Républicain…
https://www.natdem.fr/post/crise-democratique-desormais-le-pouvoir-est-nu
UN DERNIER!
Pour ceux à qui celà intéresserait
https://www.facebook.com/detdanskekongehus/videos/366629862634769
UN DERNIER POUR LA ROUTE !
LES FAITS : La famille de Laborde de Monpezat – De gueules au lion d’or accompagné en chef de trois étoiles du même. – est une famille d’origine béarnaise. Elle posséda de 1655, date de sonanoblissment par le Roi de France, à 1789… cent cinquante journaux de terres nobles dans les communes de Moncaup et Monpezat, en Béarn.
L’un de ses membres, Henri de Laborde de Monpezat, a épousé en 1967 la princesse héritière de Danemark, la future reine Margrethe II, devenant le prince Henrik de Danemark, puis prince consort de Danemark en 1972. De ce couple descend la famille régnante du Danemark « per virilem sexum ».
LA CONTREVERSE : Le patronyme Laborde de Monpezat est porté depuis le mariage, le 16 août 1648, de noble Jean de Laborde, baptisé en 1620, docteur en droit civil et canon et gentilhomme ordinaire de la chambre du roy (selon Joseph Valynseele (Les Laborde de Monpezat et leurs alliances – Joseph Valynseele [archive] » ) et Arnaud Chaffanjon), avec Catherine d’Arricau, dame de Monpezat — nom d’une actuelle commune des Pyrénées-Atlantiques (« L’Intermédiaire des chercheurs et curieux 1967 p 81 [archive] »
). Joseph Valynseele indique que la qualification de noble ne présume pas de la véritable noblesse de son porteur, mais signifie qu’il vivait noblement (Les Laborde de Monpezat et leurs alliances – Joseph Valynseele [archive] » ).
À cet égard, dans la Revue historique (année 1976), Pierre Grillon se penche sur les réserves de Joseph Valynseele quant à la noblesse de cette famille, mais il développe pour sa part un argumentaire selon lequel l’absence d’admission ne saurait remettre en cause la validité de l’anoblissement6, alors que pour J. Valynseele ladite admission avait « valeur de reconnaissance ou de maintenue de noblesse »,18. (Compte-rendu de Pierre Grillon sur l’ouvrage de Joseph Valynseele consacré à la famille de Laborde de Monpezat, Revue historique, 1976, pages 485 à 486 [archive]; Vicomte Jacques de Marsay, De l’âge des privilèges au temps des vanités. Essai sur l’origine et la valeur des prétentions nobiliaires (préface par M. le Duc de Lévis-Mirepoix), Éditions Contrepoint (réédition), 1977. Jacques de Marsay écrit en 1932 (rééd. 1977, pp. 68-69) : « La condition à laquelle la grande recherche assujettit la reconnaissance de la noblesse d’extraction (aucune trace de roture avant 1560) établit évidemment une sélection dans les familles françaises. S’il est vrai, en effet, qu’un certain nombre parvinrent sans doute à se faire comprendre indûment dans cette catégorie, en revanche, toutes celles qui furent alors éliminées comme ne satisfaisant pas à cette exigence doivent manifestement en être aujourd’hui écartées. Les faits qui militaient alors contre leurs prétentions s’élèvent toujours contre celles de leur descendance. »).
L’abbé Jean Francez écrit, quant à lui : « Par lettres patentes en date de mai 1655, le roi de France anoblit cent cinquante journaux de terre, au titre de Beaufranc, situés sur les communes de Moncaup et Monpezat, en Béarn, appartenant à Jean de Laborde à la charge d’en rendre hommage à sa majesté et à ses successeurs, sous le devoir d’un fer de cheval, à chaque mutation de seigneur. Cet anoblissement donnait droit d’entrée aux États de Béarn ». D’après la même source, « Les Laborde de Monpezat sont nobles depuis l’acte royal de mai 1655 qui anoblissait les 150 journaux de terre situés à Moncaup et à Monpezat » (Bulletin de la Société académique des Hautes-Pyrénées, 1966, pages 14 à 16, article de J. Francez Attaches bigourdanes d’Henri de Monpezat [archive].). Et, dans son ouvrage La Noblesse du Périgord, l’historienne Joëlle Chevé dit que la famille a été anoblie par lettres en 1655 (« La Noblesse du Périgord: Au pays des 1.000 châteaux De Joëlle Chevé [archive] »).
C’est Louis XIV qui, par Lettre pattente de 1655, fit de de Laborde dit de Montpezat le Comte Jeande La borde de Montpezat. LES ACTES ROYAUX SONT SUPERIEURS A CEUX DES ETATS DU BEARN, QUE LE ROI PEUT CASSER. Leurs descendants possèdent encore aujourd’hui un chateau où ils produisent du vin de cahors. La reine et son mari y passaient leur vacances dans leur jeunesse, avc leurs enfants, dont l’ainè est monté sur le trône du danemark, un pays allié à la France.
SUR LE PLAN LEGITIME, SEULE LE ROI DE FRANCE, RESTAURE ET SACRE A REIMS, POURRAIT DECIDER QUOI QUE CE SOIT SUR LE SORT D’UNE FAMILLE ANOBLIE PAR SON ANCETRE ET MONTE AUJOURD’HUI SUR UN TRONE TRANGER, DANS UN PAYS ALLIE A LA FRANCE.