Les Vingt-Sept se réunissent ce jeudi 1er février à Bruxelles pour un sommet extraordinaire afin de tenter de faire lever le veto hongrois sur une aide financière de 50 milliards d’euros à l’Ukraine.
Viktor Orbán, le Premier ministre hongrois, est monté tellement haut dans le cocotier en posant son veto à l’aide financière de 50 milliards d’euros que l’Union veut verser à l’Ukraine, lors du sommet européen de décembre, qu’il va avoir des difficultés à en redescendre sans se faire mal. En effet, c’est la première fois dans l’histoire européenne qu’un petit pays de 10 millions d’habitants, pesant moins de 1 % du PIB communautaire, bloque une décision d’une importance vitale. Or, on ne voit pas quelle est la marge de manœuvre du dirigeant populiste. Ses 26 partenaires, passablement énervés, n’ont aucune intention de lui faire le moindre cadeau lors du Conseil européen des chefs d’Etat et de gouvernement qui se réunit ce jeudi 1er février à Bruxelles pour essayer de débloquer cette aide. A l’heure actuelle, il n’y a qu’une alternative : soit il capitule en rase campagne – une hypothèse que privilégie Kyiv –, soit il s’expose à des mesures de rétorsion
Tiens ? Vous lisez ce torchon ?
En tout cas, Orban est le seul responsable politique de l’Union européenne qui « EN AIT » ! Et nous ferions bien de suivre son exemple et de claquer enfin la porte de cette association de malfaiteurs avant qu’il ne soit trop tard.
A quel média faites vous référence, cher ami, quand vous parlez de « torchon »?
L’ignoble LIBÉRATION dit « Libé » chez les Bobos.
je ne censure à priori aucune de mes lectures, par principe.
Les lire sont une chose, transmettre leurs infamies en sont une autre.
Nous faisons toute confiance à nos lecteurs pour trier le bon grain de l’ivraie.