Un vol aux yeux enténébrés du monde… à moins que, dans une symbolique et une dynamique heureusement propitiatoire, ne se soit emparé de l’épée Durandal – tel le jeune Arthur du mythe de la table ronde(1) – celui qui mérite d’être ce dernier roi de France annoncé par tant de prophéties au cours de notre histoire ; celui qui marche avec le Seigneur et dont le Seigneur prépare et jalonne le prochain avènement, ayant même pour cela récemment dépêché l’un de ses anges pour aveugler « le double inversé »(2) de ce Grand Monarque, actuellement à la tête de l’État (cf. ce que notre Gouverneur a naguère écrit https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/tag/grand-monarque/ au sujet de cette inversion) et provoquer cette dissolution qui occupe l’actualité, préfiguration d’autres dissolutions à venir, à commencer par celle de la république, le paravent institutionnel de cet abominable ordre impie, matérialiste et idolâtre, aussi bien ennemi de l’Homme qu’ennemi de Dieu.
Mais, qui donc est encore capable de voir là l’expression de la sagesse et de l’humour de notre Dieu, à qui Il a donc plu de confier cette épée d’un combattant de l’arrière garde (Roland) à cet héritier de la couronne de France que quasiment plus personne n’attend, pour le porter, au contraire, aux avant-postes, dans une symbolique et une dynamique lui promettant une victoire aussi improbable que celle du jeune David contre le géant Goliath – lui l’héritier de la royauté davidique – grâce à des moyens précisément non conventionnels, dont ce commentaire est aussi une illustration…
Semblablement, qui s’il avait les yeux dessillés serait-il étonné que cet exploit ait été accompli sous la bénédiction de la Vierge noire de Rocamadour, celle là même justement préposée aux enfantements d’une autre nature, en un jour « culminant », celui du solstice d’été… au point d’annoncer l’irrésistible et prochain avènement de ce dernier roi de France…
En effet, le calendrier lui-même témoigne précisément avec éclat de « l’enlèvement mystique de l’épée Durandal » au terme d’une lecture symbolique, puisque du martyr du roi Louis XVI, le 21 janvier 1793 à l’enlèvement mystique de cette épée, le 21 juin 2024 il s’est écoulé très exactement 2777 mois(3), soit une trinité de 7 – marque de perfection de notre Dieu (pour faire simple) – venue faire advenir ce 2, placé en tête – auquel Il offre ainsi Son adossement – pour signifier « jour de mort mis en Nativité », et annoncer la renaissance de cette royauté française, incarnée en la personne de ce dernier roi de France, qui « arrivera comme par miracle »(4).Attention toutefois à ne pas y voir un lien de sang entre Louis XVI et ce dernier roi de France (comme cela fut malencontreusement fait avec l’interprétation de la tache de sang présente sur le suaire de Turin, issu de la 5ème plaie de la Passion du Christ, reçue à Son côté).
Car, ce n’est pas en vain que tant de prophéties ont parlé d’un dernier roi de France issu d’une branche cachée de la royauté française que Dieu révélera le moment venu ! Il s’agit, en effet, d’un roi qui – parce qu’il est digne de clore la lignée de tant de ses pères qui ont régné sur la France (« le plus grand et le dernier de tous les rois »(5) – vient conjointement, en précurseur, introduire à un profond renouvellement aussi bien des temps à l’échelle de l’histoire du Salut que de notre représentation de la réalité, en vue de son ré-enchantement, tel que l’esquissent ces quelques lignes, tellement éloignées du culte effréné de l’idole hasard, ennemi de toute transcendance, défendu par tant de commissaires politiques – aussi bien affidés, qu’improvisés – de cette ripou-blique dont les jours sont désormais comptés.C’est donc une très bonne et très grande nouvelle, survenant au moment exactement opportun, que cet « enlèvement mystique de l’épée Durandal » du roc où elle était fichée à Rocamadour, au regard de la lecture symbolique qu’elle autorise ; une très bonne et très grande nouvelle, a fortiori pour nous autres, royalistes providentialistes ; une très bonne et très grande nouvelle annonciatrice de l’adoubement conférée par le Seigneur à ce dernier roi de France auquel, en tout premier lieu, cette épée est très certainement destinée car un dernier roi de France dont la « Présence au monde » sera bientôt manifestée à la faveur de la lecture symbolique qu’autorise cette propitiatoire terre d’exploits pour le Seigneur que sera prochainement le sol de France avec l’accueil des jeux olympiques…
Car, c’est un athlète de Dieu(6) ce dernier roi de France, porteur de l’esprit de saint Louis, son 23ème descendant en ligne directe par primogéniture mâle, issu de cette branche cachée de la royauté française, ainsi qu’il a également plu à Dieu de le révéler, par avance, au moyen du décompte précité (2+7+7+7=23), ainsi que tout cela sera bientôt mieux connu et compris…Alain Beauregard
Délégué de la Charte à l’interprétation des temps et des lieux(1) « À la mort d’Uther Pendragon, https://fr.wikipedia.org/wiki/Uther_Pendragon les chevaliers de la Table Ronde, furent incapables de désigner un successeur et résolurent de demander conseil à Merlin. Le magicien leur répondit que leur prochain roi serait celui qui parviendrait à tirer l’épée magique enfoncée dans le roc. De nombreux chevaliers s’y essayèrent en vain.
Des années plus tard, Arthur vint assister à son premier tournoi. Un chevalier désigné par Merlin pour veiller sur le jeune garçon y participait mais s’apercevant qu’il n’avait pas son épée, il chargea Arthur de lui en trouver une. Sans connaître la signification de l’épée dans le roc, Arthur s’en saisit et la remit au chevalier ébahi. C’est ainsi que fut désigné l’héritier d’Uther Pendragon ». Arthur Cotterell
(2) Qu’il prenne garde à ce que, semblablement à cette épée, retirée pour le mieux, du roc du sanctuaire marial de Rocamadour (Lot, département 46), au jour de solstice d’été, il ne soit pas – quant à lui, qui est né au jour du solstice d’hiver – retiré sans atteindre sa 47ème année, soit dans 6 mois, « si moi… » (3) Sur tableur : 231 ans et 5 mois = (231×12)+5 = 2777 mois
(4) Extrait de la prophétie dite de saint Rémi, rapportée au IXe siècle par Raban Maur(780-856), archevêque de Mayence : « Vers la fin des temps, un descendant des Rois de France régnera sur tout l’antique Empire romain. Il sera le plus grand des Rois de France et le dernier de sa Race. Il arrivera comme par miracle. Il sera de la vieille cape. Après un règne des plus glorieux, il ira à Jérusalem, sur le mont des Oliviers, déposer sa couronne et son sceptre, et c’est ainsi que finira le saint empire romain et chrétien. ».
(5) Rapporté au IVème siècle par saint Augustin (354-430) : « Quelques uns de nos docteurs disent qu’un roi franc possédera un jour l’empire romain dans toute son étendue. Ce roi viendra dans les derniers temps du monde ; il sera le plus grand et le dernier de tous les rois. Il rendra l’âme à Jérusalem, sur le mont des oliviers et immédiatement après l’Antechrist viendra. »
(6) Expression couramment utilisée, servant à désigner un saint dans l’Église chrétienne orthodoxe
Aidons-nous d’Henry Montaigu (1936-1992), fondateur de la revue La Place Royale, pour comprendre qu’il n’y a nulle affabulation dans cet article lorsque j’affirme que c’est ce dernier roi de France annoncé par tant de prophéties au cours de notre histoire qui s’est symboliquement emparé de cette épée, lui qui sans doute détenait déjà l’Écu qui lui correspond…
Dans son ouvrage : La Couronne de Feu, introduction à la lecture symbolique de l’Histoire de France, Henry Montaigu nous rappelle ainsi que : « saint Louis est la vraie figure de la royauté Arthurienne » p 125 et qu’« agir dans l’ordre traditionnel, c’est agir « en mémoire de … »» p 114
Ainsi, comprenons qu’est véridique le sens que j’ai donné à : « l’enlèvement mystique de cette épée » car : « c’est en mode symbolique que s’exprime la plénitude du réel » p 113…
Que nous conterez-vous lorsque l’on découvrira les véritables auteurs de ce vol ?
Je vous remercie, Monsieur, d’avoir illustré par votre commentaire à quel point ce ré-enchantement du monde – dont participe le prochain avènement ce dernier roi de France – est d’une telle nécessité puisque même dans nos rangs, il existe donc des personnes, dont vous êtes, dont les yeux sont malheureusement si enténébrés par la logique horizontalisante de ce monde précisément dénoncée dans cet article, si enténébrés par ce paradigme matérialiste et idolâtre sur lequel est fondée cette anti-société mondialisée, si enténébrés par ce « règne de la quantité » que le simple entrebâillement sur une réalité d’un tout autre ordre – participant de ce « règne de la qualité » que vient justement réintroduire ce dernier roi de France et Grand Monarque – suscite l’ironie de votre part.
Mais, en réalité, votre plus piquante ironie, c’est contre vous-même que vous la tournez mais de cela, non plus, vous ne vous rendez pas compte, vous qui me répondez sous un pseudonyme qui s’intitule « conseil dans l’espérance du roi ».
Car, de quoi donc peut bien être faite votre espérance en le roi si c’est pour qu’il singe la logique du monde qui a fait table rase de toute transcendance, de toute irruption du merveilleux dans nos vies, où tout est inféodé à une logique matérialiste et idolâtre fallacieusement basée sur une représentation du monde profondément erronée, basée sur des postulats scientifiques déterministes, causalistes dont les plus récentes avancées de la physique montrent qu’ils sont tout simplement faux ! Cela aussi, il vous faut l’apprendre tant il est important de nos jours d’en avoir conscience ! Je n’en cite qu’une illustration, ainsi qu’aime à le rappeler ce brillant physicien du CNRS Philippe Guillemant(1) au sujet de l’espace qui n’est pas de l’espace, puisque : courbé (par la gravitation), troué (par les trous noirs), pixellisé/granulaire (indistinct en deçà de la constante de Planck à 10 puissance -35 mètres), non local (phénomène d’intrication quantique) et en vibration (avec la mise en évidence des ondes gravitationnelles en 2016) !!!
Mais évidemment les mots sont vains pour rendre compte de telles irruptions du merveilleux dans nos vies ; seule compte alors l’expérience, le vécu intime qu’on en a personnellement sans lesquels les mots restent creux pour celui qui les reçois d’autrui. Ceux qui ont cette expérience, quant à eux, ne s’y trompent pas ; ils savent reconnaître la valeur non pas de ce que j’ai écrit(2) mais, en réalité de ce que j’ai reçu du Ciel ce jour là et j’oserais dire presque, par provocation à votre encontre, de ce qu’un ange m’a glissé à l’oreille au moment où je rédigeais cet article samedi dernier et peut être bien a fortiori parce qu’il savait que des gens dramatiquement formatés et conditionnés par cet abominable paradigme matérialiste dépourvu de toute verticalisation ne manqueraient pas – comme vous le faites – de vouloir salir et ridiculiser ce qu’ils ne comprennent pas, parce qu’incommodés, insécurisés par cette pénétration dans un espace menant au sacré dont ils se sont pas familiers.
Pour ma part, j’ai été véritablement bouleversé par la merveilleuse synchronicité(3) qui est alors survenue au moment même ou je rédigeais cet article samedi dernier ; j’ai rendu grâce à Dieu pour Sa présence si tenue mais si juste, ainsi précisément manifestée à ce moment là ! Car c’est alors un papillon qui est délicatement venu se poser sur le livre d’Henry Montaigu, La Couronne de Feu, introduction à la lecture symbolique de l’Histoire de France, ouvert devant moi, à la page 326, figurant la généalogie des « maisons de Valois et Bourbon » pour, à l’appui de cet article, venir justement signaler où prend naissance cette lignée cachée de la royauté française (annoncée par tant de prophéties au cours de l’histoire de France), évidemment là où quasiment personne ne l’attend : à partir de cette lignée Valois, à la dernière génération de celle qui fournit à la France ses derniers rois, ainsi qu’il en existe d’autres confirmations. Et le papillon s’est maintenu longuement à cet endroit précis sans bouger, de sorte que j’ai pu le prendre en photo, celle que j’envoie à Alain Texier en lui demandant de bien vouloir la joindre en illustration à cette réponse(4).
Or, parce que le seigneur est miséricordieux et qu’il ne manque pas une occasion de faire sens et de nous instruire, c’est – sans nul hasard – un papillon vulcain qu’Il avait si justement dépêché sur place en parfaite résonance avec cet article traitant de cette épée disparue… En effet, Vulcain dans la mythologie Grecque, c’est le dieu forgeron, créateur d’armes de toutes sortes et d’objets merveilleux et indestructibles(5) et un dieu très habile à maints égards mais c’est aussi le Dieu boiteux qui ne peut manquer d’évoquer pour nous la figure de Jacob, devenu Israël, à l’issue de son combat avec l’ange, et préfiguration à plusieurs titres de ce dernier roi de France…
Bien évidemment, je vous remercie pour votre commentaire car il est aussi l’illustration de cette » marque de fabrique » du Seigneur, notre Dieu, consistant à « faire d’un mal un bien », à condition certes, qu’il se trouve au moins un de ses serviteurs pour renoncer à faire sa petite volonté et consentir à faire la Sienne ; ce qui, d’expérience, n’est souvent pas chose facile !
Ainsi, est-ce « en creux », à rebours de votre commentaire et à votre insu que le Seigneur vous a employé pour, en l’occurrence au travers moi, manifester Sa Vérité, à défaut pour vous d’y avoir consciemment accès. Et ce n’est pas vous jeter la pierre tellement ce conditionnement pénètre tellement plus les esprits que naguère l’idéologie nazie sous le IIIème Reich ou l’idéologie communiste dans les pays de l’Est, au point que des armées entières les combattaient alors, tandis qu’il n’est plus, de nos jours, aucune armée pour combattre ce rouleau compresseur horizontalisant, débilitant, esclavagisant, ennemi de l’homme et ennemi de Dieu.
C’est pourquoi, ce qu’il faut enfin comprendre c’est que « l’espérance du roi » dont vous vous réclamez est fondamentalement une espérance verticalisante ! Or, c’est manifestement ce que vous n’avez pas compris, ainsi qu’en atteste votre commentaire ; et vous êtes malheureusement sans doute nombreux, y compris au sein du mouvement royaliste, à être dans ce cas là !
En ce sens, votre commentaire est précieux car très représentatif de ce courant de pensée qui, dans nos rangs, n’a pas du tout compris ce qu’était « l’espérance du roi » dont vous vous réclamez, dés lors semblable à un très déceptif « Canada Dry » dont je me rapporte à la définition : « expression utilisée comme adjectif pour qualifier « une chose ou une personne qui a l’apparence de ce qu’elle prétend être sans en avoir les qualités ».
Quant à devenir pour ce qui vous concerne « conseil dans l’espérance du roi », c’est se fourrer le doigt dans l’œil et même dans les deux yeux tant que ces deux là n’auront pas été ouverts à cette réalité d’un autre ordre, à cette verticalisation, à cette part de transcendance, à ce « règne de la qualité » dont participe l’avènement prochain de ce dernier roi de France.
C’est une question de « reliance » intérieure, à partir de laquelle vient l’expérience de la rencontre avec cette réalité ineffable, parfois si délicatement matérialisée, comme ce fut le cas samedi dernier lors de cette magnifique synchronicité avec ce papillon vulcain venu se poser à quelques centimètres de moi tandis que je rédigeais cet article.
Avec cet humour et cette justesse qui caractérise aussi le Seigneur, c’est aussi sans doute pourquoi, il Lui a plu de me donner, quant à moi, pour patronyme celui de « Beauregard » dont j’ai signé cet article, outre les grandes profondeurs de sens qu’Il m’a fait y mettre, samedi dernier 6 juillet 2024, pour signifier à quel point la disparition de cette épée Durandal, fichée dans le roc annonce, très subtilement, au monde que celui qui s’en est symboliquement saisi est légitimement devenu ce dernier roi de France – choisi par Lui – un dernier roi de France qui fut jadis tant espéré et à très juste titre car, tel un insignifiant grain de sable – mais véritable pointe de diamant – c’est bien lui qui va gripper le rouage de cette barbarie matérialiste contemporaine, répandue sur le monde comme une lèpre ; lui qui est cet archétypal hériter de la royauté de David parce que, comme lui, appelé à terrasser le géant Goliath – que figure si bien cet abominable anti-société contemporaine matérialiste et idolâtre – par des moyens résolument non conventionnels dont cet article donne un aperçu, ainsi que cela devrait vous réjouir…
Vive le roi !
(1) Philippe Guillemant, médaille d’or du CNRS, a publié les résultats de ses travaux dans de dans de grandes revues scientifiques internationales à comité de lecture et il est l’auteur d’une théorie de « l’espace-temps flexible », alliant causalité et rétro-causalité (influence du futur sur le présent et le passé – conformément à la logique téléologique de l’histoire du Salut – au sein d’une nouvelle « physique de l’information » où la conscience prend un rôle déterminant, permettant d’expliquer nombre phénomènes aujourd’hui « mis sous le tapis » parce que constituant autant «d’anomalies inassimilables par l’approche matérialiste dont les phénomènes de synchronicité (dont je parle dans la suite de cette réponse) permettant un véritable « pont » entre Science et la Spiritualité
cf la dénonciation scientifique par Philippe Guillemant des 10 commandements erronés du matérialisme sur lesquels repose à tort notre rapport à la réalité
cf. : http://www.doublecause.net/
http://guillemant.net/
https://www.facebook.com/pages/La-Route-du-Temps/133743580006937 et ses nombreuses vidéos de vulgarisation scientifique sur you tube dont, par exemple https://www.youtube.com/watch?v=rVNASLLbyD8
Osez au moins l’écouter !
(2) Un lecteur que vous connaissez m’écrit : « heureux de recevoir des analyses que l’on trouve pas partout et qui t’en remercie »
(3) La synchronicité se défini comme la simultanéité pour une personne entre une pensée et /ou état psychologique intérieur et un ou plusieurs événements extérieurs, sans aucun lien causal mais qui résonnent fortement en elle au point de faire sens pour cette personne. Le génial psychiatre et psychanalyste C.G. Jung (1875-1961) qui est l’inventeur de cette réalité en donne dans ses mémoires une illustration restée célèbre : celle du scarabée. Alors qu’il est en consultation avec une patiente qui lui raconte un rêve dans lequel elle reçoit un scarabée, un léger bruit se fait entendre à la fenêtre. Jung l’ouvre et saisit l’insecte qui venait de s’y cogner à plusieurs reprises ; il le présente alors à sa patiente en disant : “Eh bien le voilà votre scarabée !”. Sa patiente fut tellement touchée émotionnellement que son travail thérapeutique s’en trouva considérablement amélioré et accéléré, marquant bien la différence entre la synchronicité et une banale coïncidence.
(4) À qui sait se montrer attentif, cette photo est, à maints égards, richement porteuse de sens…
(5) La ceinture d’Aphrodite, le bouclier d’Athéna, l’armure d’Achille…
Pour interessantes que soient vos analyses Cher ami, les attaques ad hominem ne sauraient y avoir leur place.
C’est pourquoi, ce qu’il faut enfin comprendre c’est que « l’espérance du roi » dont vous vous réclamez est fondamentalement une espérance verticalisante ! Or, c’est manifestement ce que vous n’avez pas compris, ainsi qu’en atteste votre commentaire ; et vous êtes malheureusement sans doute nombreux, y compris au sein du mouvement royaliste, à être dans ce cas là !
En ce sens, votre commentaire est précieux car très représentatif de ce courant de pensée qui, dans nos rangs, n’a pas du tout compris ce qu’était « l’espérance du roi » dont vous vous réclamez, dés lors semblable à un très déceptif « Canada Dry » dont je me rapporte à la définition : « expression utilisée comme adjectif pour qualifier « une chose ou une personne qui a l’apparence de ce qu’elle prétend être sans en avoir les qualités ».
Quant à devenir pour ce qui vous concerne « conseil dans l’espérance du roi », c’est se fourrer le doigt dans l’œil et même dans les deux yeux tant que ces deux là n’auront pas été ouverts à cette réalité d’un autre ordre, à cette verticalisation, à cette part de transcendance, à ce « règne de la qualité » dont participe l’avènement prochain de ce dernier roi de France.
Qui pourra donc comprendre que, s’étant symboliquement emparé de cette épée qui le désigne aux yeux du monde comme étant ce dernier roi de France annoncé par tant de prophéties au cours de notre histoire, celui qui est également couramment identifié au Grand Monarque – en précurseur du rôle qu’il a à jouer en faveur de toute l’humanité pour ré-enchanter ce monde et mettre à bas cet abominable paradigme matérialiste et idolâtre qui est au fondement de cette anti-société mondialisée – a donc commencé par « tirer l’oreille » de ce satané Trump…!
Et, ainsi l’a t’il fait aux yeux du monde en cette veille de fête nationale française pour préparer les peuples à la prépondérance que va bientôt retrouver la France sous son impulsion…
Et qu’on ne soit pas étonné si le résultat semble dans un premier temps « contre-productif »
« Car la folie de Dieu est plus sage que les hommes ». 1 Corinthiens 1.25
Enfin, s’agissant d’un dernier roi de France, héritier de la royauté davidique, il est pertinent d’avoir recours à des clefs de lecture juives, telle que la guématrie ; aussi, n’est-il pas inintéressant de savoir que 195 (correspondant au rang de ce jour en cette année bissextile) a notamment pour équivalent : bétail, vengeance, fin de l’exil et « sur le trône de Dieu », cf dictionnaire de Guimatria, Georges Lahy, 2020
Je vous invite à reconstituer vous-même d’une phrase ce qui est à comprendre et que je trouve pour ma part remarquablement signifiant dans ce contexte…