LES LOIS FONDAMENTALES DU ROYAUME DE FRANCE DESIGNE COMME ROI, L’AINE SALIQUE (mâle) DES CAPETIENS NES DE NAISSANCE LEGALE (parents unis religieusement) DANS LA FOI CATHOLIQUE !
Ces Lois Fondamentales du Royaume de France oblige le Roi et ses sujets, règlent non seulement le mode transmission de la Couronne mais également le mode gouvernement Royal : l’Aîné REDISONS LE Salique (mâles) de naissance Légale (parents mariés religieusment) dans la foi Catholique, seul le titulaire de la Couronne, QUI DOIT GOUVERNER PAR GRAND CONSEIL pour le commun profit de l’Eglise et du Royaume, voulu Très Chrétien.
Pour ce qui est de la Loi de Nationalité, un Prince Capétien n’est pas un simple particulier : il relève d’un statut de droit public, il reste quelque soit sa résidence, membre d’une dynastie Française, et ce qui le singularise précisément, sa filiation dynastique. Le sang Capétien est Français, de France, même si le Prince vit à l’étranger.
Un Capétien Légitime né en Espagne ou en Italie (voire même au Luxembourg) concerve ses droits à la Coutonne De France car le Sang Capétien est LE SANG DE FRANCE.
par conséquant :
1) les renonciations de Philippe V ne sont pas valables car contraires aux Lois Fondamentales du Royaume de France
2) le duc d’Anjou a la nationalité Française et, de toute façon, le Sang capétien est le Sang de France : un Bourbon, même né à l’ìétranger, est Français, comme les Wallon et les Québéquois
3) le Prince Jean d’Orléans est dynaste, mais il vient en ligne de succession Légitme APRES les Bourbons d’Espagne, de Naples et de Parme, dans l’ordre de succession.
4) si une descendance LEGITIME -Salique et de naissance légale dans la foi Catholique- de Louis XVII ayant survécue jusqu’à nos jours devrait être révélèe et PROUVEE, les partisans du Duc d’Anjou auraient le devoir de s’agenouiller.
Carpentier Jean-Philippe @JPCarpentierUE
Avocat, Consul honoraire du Luxembourg avec juridiction sur la Normandie et Président du Corps Consulaire de Normandie
Cela porte un nom : USURPATION. En effet, même s’il est démontré, un jour, que M. Carpentier est bien issu, quelques générations plus tard, d’une union adultère ou en tout cas illégitime d’un Bourbon (le comte d’Artois plus tard Charles X, le duc de Berry ou un de leurs descendants) il ne sera jamais que l’un des nombreux bâtards capétiens. Les règles, sur ce point, sont formelles : le port des pleines armes du géniteur ne sont pas possibles SAUF POURVUES D’UNE BRISURE AD-HOC (et d’ailleurs, en l’occurence, d’une surbrisure puisque la bordure crénelée est déjà une brisure des armes pleines e France). Tout le reste n’est que littérature comme l’ignorent ou veulent l’ignorer les rédacteurs des deux sites ci-dessus et que nous rappelons ici : https://histoiresroyales.fr/revelation-exclusive-nouvelle-branche-ainee-bourbons-famille-royale-france-test-adn/ et aussi https://www.lecontemporain.net/2023/09/genetique-et-genealogie-aux-confins-de_1.html . Quant au réseau X (ex-twitter) que voulez-vous que M. Elon Musk, aussi brillant soit-il, connaisse des règles de l’héraldique et même de la généalogie ?…
Une précision cependant à l’intention de « Jules Sch. » La bordure crénelée de gueules ne peut être qualifiée de « brisure de Berry ». Les armoiries historiques du duché de Berry avaient en effet une bordure engrêlée de gueules jusqu’au règne de Louis XV. A partir de cette date, les fils et petits-fils de France ont d’abord écartelé de France et de leur apanage avant de prendre une bordure de gueules modifiée, dentelée ou crénelée (la bordure de gueules d’Anjou étant utilisée par les Bourbons d’Espagne, de Sicile et de Parme). Ce fut ainsi le cas du comte d’Artois et de son fils cadet François-Ferdinand puis du duc de Bordeaux, futur comte de Chambord. On pourrait donc plutôt la nommer « d’Artois » (c’est d’ailleurs l’objectif de M. Jean-Philippe Carpentier…). Elle n’est redevenue « de Berry » qu’à l’occasion de la naissance du fils cadet du prince Louis Alphonse de Bourbon, titré duc de Berry par son père, aîné des Capétiens. Et l’on se retrouve, avec les prétentions de M. Carpentier, face au port des mêmes armoiries par deux personnes différentes (et d’ailleurs sans lien), l’une légitime et l’autre non ! Ce qui n’est pas possible dans le contexte. Nous connaissons une situation analogue avec l’attribution en 2004 du faux titre de duc d’Anjou au prince Charles-Philippe d’Orléans par son oncle, feu le comte de Paris. Mais l’héraldique, elle, ne peut pas mentir !
À ce sujet, ne vous privez pas de lire ou de relire cette chronique : https://charte-fontevrault-providentialisme.fr/index.php/2024/12/19/jean-yves-pons-approche-de-lheraldique-ou-art-du-blason-8-etude-des-armoiries-des-dynastes-francais-contemporains/
Par instant , je me dis que notre blog est trop riche. du moins nous ne mourrons pas idiots.
LES LOIS FONDAMENTALES DU ROYAUME DE FRANCE DESIGNE COMME ROI, L’AINE SALIQUE (mâle) DES CAPETIENS NES DE NAISSANCE LEGALE (parents unis religieusement) DANS LA FOI CATHOLIQUE !
Ces Lois Fondamentales du Royaume de France oblige le Roi et ses sujets, règlent non seulement le mode transmission de la Couronne mais également le mode gouvernement Royal : l’Aîné REDISONS LE Salique (mâles) de naissance Légale (parents mariés religieusment) dans la foi Catholique, seul le titulaire de la Couronne, QUI DOIT GOUVERNER PAR GRAND CONSEIL pour le commun profit de l’Eglise et du Royaume, voulu Très Chrétien.
Pour ce qui est de la Loi de Nationalité, un Prince Capétien n’est pas un simple particulier : il relève d’un statut de droit public, il reste quelque soit sa résidence, membre d’une dynastie Française, et ce qui le singularise précisément, sa filiation dynastique. Le sang Capétien est Français, de France, même si le Prince vit à l’étranger.
Un Capétien Légitime né en Espagne ou en Italie (voire même au Luxembourg) concerve ses droits à la Coutonne De France car le Sang Capétien est LE SANG DE FRANCE.
par conséquant :
1) les renonciations de Philippe V ne sont pas valables car contraires aux Lois Fondamentales du Royaume de France
2) le duc d’Anjou a la nationalité Française et, de toute façon, le Sang capétien est le Sang de France : un Bourbon, même né à l’ìétranger, est Français, comme les Wallon et les Québéquois
3) le Prince Jean d’Orléans est dynaste, mais il vient en ligne de succession Légitme APRES les Bourbons d’Espagne, de Naples et de Parme, dans l’ordre de succession.
4) si une descendance LEGITIME -Salique et de naissance légale dans la foi Catholique- de Louis XVII ayant survécue jusqu’à nos jours devrait être révélèe et PROUVEE, les partisans du Duc d’Anjou auraient le devoir de s’agenouiller.
N’en doutons pas, ils ne manqueraient pas de le faire. Mais, pour l’instant… (et ne parlons évidemment pas d’une descendance illégitime comme certains nous l’offrent en spectacle depuis quelques mois ! – https://histoiresroyales.fr/revelation-exclusive-nouvelle-branche-ainee-bourbons-famille-royale-france-test-adn/ et aussi https://www.lecontemporain.net/2023/09/genetique-et-genealogie-aux-confins-de_1.html – !).
https://x.com/jpcarpentierue avec la brisure de Berry.
Carpentier Jean-Philippe @JPCarpentierUE
Avocat, Consul honoraire du Luxembourg avec juridiction sur la Normandie et Président du Corps Consulaire de Normandie
Cela porte un nom : USURPATION. En effet, même s’il est démontré, un jour, que M. Carpentier est bien issu, quelques générations plus tard, d’une union adultère ou en tout cas illégitime d’un Bourbon (le comte d’Artois plus tard Charles X, le duc de Berry ou un de leurs descendants) il ne sera jamais que l’un des nombreux bâtards capétiens. Les règles, sur ce point, sont formelles : le port des pleines armes du géniteur ne sont pas possibles SAUF POURVUES D’UNE BRISURE AD-HOC (et d’ailleurs, en l’occurence, d’une surbrisure puisque la bordure crénelée est déjà une brisure des armes pleines e France). Tout le reste n’est que littérature comme l’ignorent ou veulent l’ignorer les rédacteurs des deux sites ci-dessus et que nous rappelons ici : https://histoiresroyales.fr/revelation-exclusive-nouvelle-branche-ainee-bourbons-famille-royale-france-test-adn/ et aussi https://www.lecontemporain.net/2023/09/genetique-et-genealogie-aux-confins-de_1.html . Quant au réseau X (ex-twitter) que voulez-vous que M. Elon Musk, aussi brillant soit-il, connaisse des règles de l’héraldique et même de la généalogie ?…
Une précision cependant à l’intention de « Jules Sch. » La bordure crénelée de gueules ne peut être qualifiée de « brisure de Berry ». Les armoiries historiques du duché de Berry avaient en effet une bordure engrêlée de gueules jusqu’au règne de Louis XV. A partir de cette date, les fils et petits-fils de France ont d’abord écartelé de France et de leur apanage avant de prendre une bordure de gueules modifiée, dentelée ou crénelée (la bordure de gueules d’Anjou étant utilisée par les Bourbons d’Espagne, de Sicile et de Parme). Ce fut ainsi le cas du comte d’Artois et de son fils cadet François-Ferdinand puis du duc de Bordeaux, futur comte de Chambord. On pourrait donc plutôt la nommer « d’Artois » (c’est d’ailleurs l’objectif de M. Jean-Philippe Carpentier…). Elle n’est redevenue « de Berry » qu’à l’occasion de la naissance du fils cadet du prince Louis Alphonse de Bourbon, titré duc de Berry par son père, aîné des Capétiens. Et l’on se retrouve, avec les prétentions de M. Carpentier, face au port des mêmes armoiries par deux personnes différentes (et d’ailleurs sans lien), l’une légitime et l’autre non ! Ce qui n’est pas possible dans le contexte. Nous connaissons une situation analogue avec l’attribution en 2004 du faux titre de duc d’Anjou au prince Charles-Philippe d’Orléans par son oncle, feu le comte de Paris. Mais l’héraldique, elle, ne peut pas mentir !