Je ne sais pas s’il en est de même chez vous, mais la météo de ce début juin est des plus… déconcertante. C’est là une litote !
Figurez-vous, par exemple que ce jeudi 13 juin au matin, à 7 h (heure officielle) le thermomètre affichait ici 2,5° et que l’on apercevait même des traces de gelée blanche sur le toit du poulailler !
Si, lorsqu’il y a du soleil (ce qui est loin d’être le cas de la majorité des jours), les températures sont agréables, dès que le vent se lève ou que les nuages dominent, il fait vraiment frais.
A l’intérieur de notre Mesnil-Marie, dans la grande pièce de vie, je dois maintenir un radiateur électrique pour assurer une température raisonnable qui ne descende point trop la nuit et, lorsque le soleil brille, il n’est point suffisant encore pour réchauffer assez nos gros murs de pierre…
Bref, on ne s’est jamais autant gelé au mois de juin que depuis qu’on nous rebat les oreilles de ce fameux « réchauffement climatique », brandi comme la menace suprême du péril de la planète !!!
Alors que j’en faisais réflexion à quelques personnes proches, une amie m’a expliqué que, dans les médias, ils appellent cela « le paradoxe du réchauffement climatique ».
Je ne suis pas climatologue et si j’ai commencé par vous entretenir de météorologie, c’est parce que cette expression – « paradoxe du réchauffement climatique » – m’a donné à réfléchir.
Je me suis demandé ce que le très sage et très sagace Maître-Chat Lully en aurait pensé et dit…
Mais, à la vérité, je ne me suis pas posé la question très longtemps : on ne vit pas près de douze ans et demi avec un Maître-Chat sans avoir été imprégné de son esprit.
¨¨¨ Suite grâce au lien ci-dessous ¨¨¨¨
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2019/06/14/2019-49-rechauffement-climatique-et-printemps-de-leglise/
va te faire foutre !