« Tous les voyants sont au vert pour autoriser la procréation médicalement assistée (PMA) pour toutes les femmes« , a assuré sur France Inter ce mercredi 24 juillet Agnès Buzyn, * la ministre des Solidarités et de la Santé.
« Agnès Buzyn naît le , à Paris au sein d’une famille juive. Sa famille paternelle est originaire de Łódź, en Pologne, où son oncle a été fusillé par les nazis en octobre 1940. Ses grands-parents et son père, Élie Buzyn, alors âgé de quinze ans, ont été déportés à Auschwitz. Seul son père en revient. Au sortir de la guerre, il s’installe en Palestine mandataire, puis à Oran, en Algérie française, et finalement en 1956 en métropole, où il exerce comme chirurgien orthopédiste à la clinique Saint-Marcel de Paris4. Sa mère, Etty Buzyn, enfant caché dans l’Ain durant la Seconde Guerre mondiale5, est psychologue, psychanalyste et écrivaine. » https://fr.wikipedia.org/wiki/Agnès_Buzyn
* https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien-24-juillet-2019
Origine de l’allégorie tentée par celle qui porte le prénom d’une martyre de la pureté « Agnés », Agnés Buzyn. Hé bie,, il ne faut pas avoir peur.
https://www.franceinter.fr/societe/filiation-remboursement-anonymat-tout-ce-qu-il-faut-savoir-sur-le-projet-de-loi-sur-la-pma?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR3a-HXmyKqbR01gpGzRFRBi-QUuL-TAVyX5zmBc3SmXgPpxgnQIkQkI6MI#Echobox=1563966430
Et pourtant :
Pierre Bugeon Par égoïsme, fabriquer des enfants sans père. Quand on connaît, les souffrances de ceux qui cherchent désespérément, leurs racines, pour connaître leurs parents, et oublier les orphelins, qui ne demandent, que l’amour d’une famille. Le monde d’aujourd’hui va très mal.
Danielle Silland Je suis étonnée qu’on dé-rembourse des médicaments …
(homéopathie,
médicaments dits »de confort » mais qui sont pourtant indispensables (crèmes, compresses, savons spéciaux, matériel médical etc etc
sans parler des dépassements d’honoraires de plus en plus fréquents et non remboursés) …
en raison du déficit de la sécu…
et qu’on prenne en charge des techniques qui ne concernent pas des maladies …
mais des désirs personnels,
(aussi impérieux soient-ils… ce sont des désirs et non des urgences médicales)
et dont la mise en oeuvre est coûteuse.
je serais plutôt solidaire avec une meilleure prise en charge des malades, lorsque ce budget santé est restreint.
Donc, je me pose la question de cette prise en charge par la société tant que les deux femmes ne sont pas stériles et qu’elles peuvent concevoir.
Sans parler de la difficile recherche des origines de ces enfants qui devront – dans le meilleur des cas – attendre leur majorité pour connaître le nom de leur donneur
et pouvoir le contacter éventuellement
sans qu’il y ait de lien juridique possible entre eux,
et sans l’assurance qu’ils auront un retour positif.
En revanche, la congélation des ovocytes me paraît aller dans le bon sens, si elle n’est pas dangereuse, évidemment.
Car elle libèrera les jeunes femmes de l’obligation d’avoir un enfant trop tôt et leur donnera plus de chances dans leur carrière et le choix d’un ou d’une partenaire.
Mais quel coût également pour la société ?
Lucy Muir Faut arrêter de faire des gosses ! Il faut adopter ceux qui sont déjà là et qui on besoin qu’on les aime !
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