Un crime organisé, une Shoah avant l’heure, ne touchant que des catholiques ou des personnes refusant les « bienfaits » de la révolution, une organisation volontaire de la destruction de personnes telle qu’elle ne s’était jamais vue dans l’Histoire de la France !
La dénonciation de ce crime organisé ne mobilise que dix personnes ! C’est navrant !
Il est bien de dénoncer les crimes commis contre les Chrétiens de Syrie, d’Egypte, du Viêt-Nam, de Chine, etc… Mais quel système politique a donné l’exemple ? Baptisé, le lendemain de sa naissance dans sa ville de Yolet (proche d’Aurillac) Jean-Baptiste Carrier va inaugurer dans la nuit du samedi 16 au dimanche 17 novembre 1793 un mode d’extermination moderne: Les Noyades. Il n’en est pas l’inventeur car des expériences ont déjà eu lieu aux Ponts de Cé dans le Maine et Loire. Les premières victimes, dans la nuit du samedi 16 au dimanche 17 novembre 1793, sont des prêtres dont l’âge va de 29 à 81 ans. D’autres Noyades vont suivre et se poursuivre après le départ de Carrier en février 1794. Elles toucheront des personnes différentes, hommes, femmes, enfants et s’accélèreront après la débâcle de Savenay (23 décembre 1793). Jamais un procédé aussi ignoble n’avait été inventé pour se « débarrasser » en masse d’opposants. On parle des Noyades comme d’un crime réel mais de façon intemporelle. A-t-on imaginé l’angoisse et la souffrance de ceux qui en ont été les victimes ? L’obscurité, l’eau qui monte dans les embarcations, la révolte, l’angoisse, l’eau qui envahit les bouches, les corps, les poumons ? La mort enfin avec toute ses souffrances ?
Et l’ultime question : Mais qu’est-ce que j’ai fait pour être ainsi traité ?
- Le Souvenir Chouan de Bretagne rendra hommage à ces innocentes victimes Dimanche 17 novembre 2013.
- – 9 H 30 messe traditionnelle en l’église Saint Clément de Nantes,
- – 11 H 30, messe ordinaire en l’église Sainte Croix. Place Sainte Croix
- – 12 H 30 Eglise Sainte Croix, exposé devant la chaire de laquelle Carrier annonça la première noyade.
- – Vers 13H 15 Jeté de gerbe en Loire depuis le pont Anne de Bretagne.
- – Déjeuner au restaurant
- puis conférence par le Professeur Thierry Piel de l’Université de Nantes (si nombre de participants suffisant).
- Visite du site de l’ancien Entrepôt des Cafés, le Dachau nantais.
Merci de répondre par retour . Noël Stassinet Contact par le biais du site : http://souvenirchouandebretagne.over-blog.com/
Pour ce GÉNOCIDE là, les documents, les ordres existent. Westermann, le bourreau de Savenay n’a-t-il pas écrit lui-même : »SELON LES ORDRES QUE VOUS M’AVEZ DONNÉS, j’ai tout exterminé… ».Lors de la construction du pont de Cheviré, dans les années 80, les restes des gabarres utilisées pour ce crime d’État ont été retrouvés et signalés en haut lieu ! le résultat fut un total SILENCE RADIO !!! GÉNOCIDE + MÉMORICIDE !!! Nul n’a le droit de faire remarquer que les génocides du XXème siècle sont les héritiers directs de celui perpétré par les révolutionnaires français qui en ont montré le triste exemple : Lénine est venu en Vendée vers 1910, Pol-Pot est un fruit de notre université, etc… etc…
Amitiés à tous.