Les problèmes des boulangers sont croissants…
Alors que les bouchers veulent défendre leur beefsteak,
Les éleveurs de volailles se font plumer,
Les éleveurs de chiens sont aux abois,
Les pêcheurs haussent le ton !
Et bien sûr, les éleveurs de porcs sont dans la merde,
Tandis que les céréaliers sont sur la paille.
Par ailleurs, alors que les brasseurs sont sous pression,
Les viticulteurs trinquent.
Heureusement les électriciens résistent.
Mais pour les couvreurs, c’est la tuile et l’ardoise est lourde. Certains plombiers prennent carrément la fuite.
Les vendeurs de fringues se retrouvent à poil avec leur rideau de fer baissé.
Dans l’industrie automobile, les salariés débrayent dans l’espoir que la direction fasse marche arrière.
Chez EDF, les syndicats sont sous tension mais la direction fait mine de ne pas être au courant.
Les cheminots voudraient garder leur train de vie, mais la crise est arrivée sans crier gare.
Alors… les veilleurs de nuits, eux, vivent au jour le jour.
Pendant que les pédicures travaillent d’arrache-pied.
Les croupiers jouent le tout pour le tout,
Les dessinateurs font grise mine,
Les militaires bâtent en retraite,
Les imprimeurs dépriment
Et les météorologistes sont en dépression.
Les prostituées se retrouvent à la rue, c’est vraiment une mauvaise passe pour elle aussi.
Même les banquiers y perdent au change…
Et vous?
Les Chrétiens ornent leurs piliers et leurs portails de Rameaux de lauriers , de buis ou d’oliviers et Jésus abaissant les yeux sur la terre les effleure de Sa main Bénissante …
………….. Ô vous tous qui passez sur les chemins de la vie , considérez et voyez s’il fut jamais douleur semblable à la mienne !
On pourrait même ajouter que « Les routiers font du sur-place – Que les téléphonistes ont « pété un câble » – ou que les Pompes funèbres ont la mort dans l’âme » etc…!!!
Certes, l’heure n’est guère à la plaisanterie, mais, bon, ça aide à ne pas déprimer.
Amitiés.
Le Corona, j’aime pas
La crise, ça me les brise
Le chômage, c’est dommage
Les bougnouls, çà me saoule
La planète, je m’en bas les steaks
UN ROI, POURQUOI PAS ?