La « noblesse » d’Empire aujourd’hui. L’erreur du professeur Tulard.

Extrait du site du Bottin Mondain.

Par les décrets de 1808, Napoléon a créé une nouvelle noblesse, dite noblesse d’Empire. Elle ressuscitait les anciens titres, à l’exception de celui de marquis.


 
Les titres étaient attribués à des personnes et non à des familles. Pour qu’ils deviennent héréditaires, il était indispensable que le premier nommé en fasse la demande et constitue un majorat formé d’immeubles et de rentes sur l’État inaliénables. 
Il y eut 3 263 anoblissements, soit un chef de famille noble pour 10 000 citoyens en 1814. Grâce aux lettres patentes qui ont été conservées, j’ai pu donner la liste des noms dans Napoléon et la Noblesse d’Empire (Tallandier, 2001). Furent créés environ 72 princes et ducs, 500 comtes, 1 550 barons et 1 500 chevaliers à l’origine, car il y eut des ascensions. 680 appartenaient à l’ancienne noblesse. 
Louis XVIII rétablit celle-ci lors de la restauration de la monarchie en 1814 et conserva la nouvelle. Restait à opérer la fusion. Ce fut l’affaire du temps. 
Certains titres se sont éteints, notamment le titre de prince soit par retour des principautés au pays d’origine (Neufchâtel, Bénévent attribués respectivement à Berthier et Talleyrand), soit par extinction de la famille. Seul subsiste le prince d’Essling porté aujourd’hui par Victor Masséna, président de la Fondation Napoléon. 
Parmi les ducs, sur 31 titres, sept ont subsisté : Rivoli (Masséna), Montebello (Lannes), Auerstaedt (Davout), Otrante (Fouché), Feltre (Clarke), Albufera (Suchet). Certains avaient été réérigés par Napoléon : Plaisance (éteint en 1926), Abrantès (disparu à une date inconnue), Auerstaedt et Feltre. 
Les frères de Napoléon et son beau-frère Murat devenus souverains à Madrid, Naples, en Hollande et en Westphalie reçurent l’autorisation de conférer des titres (duc, comte, baron, mais non prince, droit inhérent à la Couronne impériale). Ces titres ne furent pas reconnus par les nouveaux souverains après la chute de l’Empire. N’ayant pas été conférés par Napoléon, ils n’appartiennent pas à la noblesse d’Empire. 
 
Jean Tulard« 


Parler de  » Noblesse d’Empire » comme le fait ici le professeur Jean Tulard – https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Tulard -n’est pas minoritaire n’est certes pas minoritaire mais il se trouve que ce n’est pas exact.

Alain Texier l’a dit trés clairement et à deux reprises dans ses ouvrages parus respectivement en 1988 et 2021:
 » Le vocabulaire doit être précisé avec soin .
Le titre nobiliaire n’est pas un titre de Noblesse« ; « ‘Qu »est ce que la Noblesse »; Tallandier 1988 p. 101.
Les titres nobiliaires (Empire) n’honorent qu’une personne par générationle titulaire . alors que les titres denoblesse attestaient que toute la famille( Hommes et femmes) possédait la qualité nobiliaire. Noblesse, Titres et Armories. LGM 2021 p.39.

Comment un esprit aussi affuté que le Professeur Tulard a t’il pu se tromper . La réponse tient dans l’article 71 de la Charte constitutionnelle du 4 juin 1814.
Article 71. La noblesse ancienne reprend ses titres. La nouvelle conserve les siens. Le roi fait des nobles à volonté ; mais il ne leur accorde que des rangs et des honneurs, sans aucune exemption des charges et des devoirs de la société.

Le désir de la symétrie et de l’euphonie entre la situation née de l’Empire et celle héritée de l’Ancien Régime a conduit au libellé de l’article 71 de la Charte qui a pu induire ses lecteurs en erreur . Pour autant , il convient de ne pas se tromper : Nobles (Ancien Régime) et titrés ( Empire ) mettent en oeuvre des concepts radicalement différents . Le professeur Tulard le dit d’ailleurs trés justement au début de son raisonnement :

Les titres étaient attribués à des personnes et non à des familles. Il ne saurait alors être question de noblesse d’Empire à l’imitation de celle pratiquée par l’Anien Régime puisque celle-ci honore les garcons et les filles nés et à naître.
https://webmail1e.orange.fr/webmail/fr_FR/read.html?FOLDER=SF_INBOX&IDMSG=654585&check=&SORTBY=2

9 thoughts on “La « noblesse » d’Empire aujourd’hui. L’erreur du professeur Tulard.

  1. Hervé J. VOLTO

    LES TITRES NOBILIAIRES n’honorent EN FRANCE qu’une personne par génération, le titulaire, on appelle celà un titre viagger et celà n’est pas transimissible : Louis XIV honora la nurse de ses enfants titre Nobiliare de Marquise de Maintenon. Alors que les TITRES DE NOBLESSE attestaient que toute la famille possédait la qualité nobiliaire, TRANSMISSIBLE EN FRANCE PAR LOI DE PRIMOGENITURE MALE, DE FOI CATHOLIQUE ET DE NAISSANCE LEGALE (un fils batard, même Catholique, ou un frère/cousin protestants, même nés de Naissance Légale, ne pouvaient et ne peuvent toujours pas hériter du titre de Noblesse en France).

    Article 71 de la Charte constitutionnelle du 4 juin 1814 :

    -La noblesse ancienne reprend ses titres. La nouvelle conserve les siens. Le Roi fait des nobles à volonté ; mais il ne leur accorde que des rangs et des honneurs, sans aucune exemption des charges et des devoirs de la société.

    En Italie, le titre de Noblesse couvre toute la famille, sans décrescendo : si je prend humblement mon cas, c’est Hervé Joseph VOLTO, des Comtes VOLTOLINI DE VALTELINA et des Princes DE VOLTOLINA (de Trente).

    Celà signifie que votre serviteur, Hervé Joseph VOLTO, appartient à la descendance et à famile des Comtes VOLTOLINI DE VALTELINA, Noblesse du Saint-Empire

    Souvenir de Valtoline.

    Depuis 2018, j’ai découvert de pouvoir m’appeller Hervé Joseph VOLTO, des Comtes VOLTOLINI DE VALTELINA : c’est le cas si je suis reçut en Espagne, au Luxembourg ou au Vatican. En France, étant encore en république et mon vieux papa de 85 étant républicain convaincu, même si très à droite, je signe tous mes éditos comme Hervé J. VOLTO, à l’anglo-saxone, le Québec étant encore province canadienne, donc une Monarchie. Sur ma carte d’didentité, il est écrit Hervé Jospeh VOLTO.

    Depuis 2018, j’ai découvert de pouvoir m’appeller Hervé Joseph VOLTO, des Comtes VOLTOLINI DE VALTELINA des Princes DE VOLTOLINA, et d’être hériter moral (et peut-être politique) des Princes-evêques de Trente.

    La politique des Princes-Evêque de Trente, qui gouvernèrent une terre du Nord de l’Italie pour le compte du Saint-Empire Romain Germanique à la lumière du Concile de Trente et de la Contre-Réforme Catholique, sous la conduite de la Madonne de Tyrrano, Sainte Patrone de la Valteline, et de Saint Wanceslas, Saint Patron de la Bohème et de la Principauté de Trente, fut une politique Catholique.

    À partir de 1511, les principautés épiscopales de Trente et de Brixen (Bressanone) forment une confédération perpétuelle avec le Comté princier de Tyrol sous le règne de la maison autrichien de Habsbourg, tout en conservant leur autonomie, et à partir de 1535, les Comtes VOLTOLINI DE VALTELINA agisent de pères en fils comme Vidames des Princes-Evèques de Trente. Les ancêtres de votre serviteur, par exemple, se sont battus pour chasser les Grisons de la Valteline et protéger la Lombardie de l’invasion protestante. La Sainte Patronne de la Valteline et des VOLTOLINI DE VALTELINA est LA MADONNE DE TYRANO.

    La Principauté de Trente est sécularisée par le traité de Lunéville en 1801, qui la donne HEREDITAIREMENT à un VALTELINA, avec prédicat d’Altesse Sérénissime, qui… refuse de servir l’Empereur des Français ! ET S’ENFUIT EN SICILES, ALORS SOUS LA COURONNE ESPAGNOLE, héritière du titre impérial du Saint Empire au contraire de l’Autriche : là les VOLTOLINI DE VALTELINA deviendront de modestes pècheurs de thon : les VOLTO, dont un descendant, l’arrière-grand-père de mon père ira faire fortune en Algérie en 1831, devenant les VOLTO de Guyotville, des expolitants agricoles connus pour leur dévotiosn et leur sens du devoir! La Principauté de Trente sera finalement rattachée au Comté de Tryol par le Recès d’Empire en 1803, SANS RETIRER LE TITRE PRINCIER aux Comte de la Valteline mes ancêtres. En 1805, le territoire est attribué au nouveau Royaume de Bavière, puis, en 1810, au Royaume d’Italie créé par Napoléon Ier. Lors du Congrès de Vienne en 1814, il revient à l’Empire d’Autriche. Parmi la ribambelle de titres dont se parait l’Empereur Charles I° d’Autriche, figurait celui de Prince de Trente.

    Ces titres ne furent pas reconnus par les nouveaux souverains après la chute de l’Empire, sauf en France garce à l’article 71 de la Charte de 1814 : le bémol est que la France est encore en République. Pour ce qui est de la Couronne Impériale du Saint-Empire, ma famille doit donner sa fidélité à la Couronne espagnole qui est est l’héritière, et donc en Légitimité aux Carlistes, et donc… aux Bourbon-Parme ! J’en profite pour saluer ici le Prince Sixte-Henri de Bourbon-Parme et son neveu le Prince Charles-Xavier.

    Aujourd’hui mes oncles sont tous morts : le dernier VOLTO de naissance légale est… mon père, né en 1936 : il a épousé ma mère religieusement en 1959 et je suis né en 1962. Les cousins de mon père ont tous fait des mariages civiles, leurs enfants sont considérés comme descendants illégaux. J’ai bien un cousin germain, fils d’un frère de mon père, mais c’est un républicain convaincu, et plutôt de gauche : il pourrait cepandant utiliser les même titres que votre serviteurs…

    Quoi de plus naturel qu’un descendant et héritier des Comtes de la Valteline qui agirent comme Vidames des Princes-Evêques de Trente et repoussèrent les grisons protestants en Suisse en leur nom avant d’hériter de leur principauté, soit aujourd’hui… Royaliste ?

    Reply
    1. Jean DEWEER

      Chacun à sa place pour le service de Dieu qui, mieux que quiconque peut en juger. S’il plaît à Dieu de repêcher la descendance de Louis XVII après deux bâtardises qui l’ont fait basculer à gauche, Il doit savoir ce qu’Il fait.

      Centurie X-57
      Le sublevé ne cognoistra son sceptre,
      Les enfans ieunes des plus grands honnira:
      Oncques ne fut un plus ord cruel estre,
      Pour leurs espouses à mort noir bannira.

      Non seulement, Il leur conserve le sceptre mais aussi le rang princier.

      Centurie V-71
      Par la fureur d’un qui attendra l’eau,
      Par la grand’rage tout l’exercice esmeu:
      Chargé des nobles à dix sept barreaux,
      Au long du Rosne tard messager venu.

      En définitive, les titres ne tiennent pas seulement à ce que les hommes veulent et tiennent pour légal mais à la volonté de Dieu qui sait tout et rend justice….

      Reply
  2. Hervé J. VOLTO

    Si comme Comte Voltolini de Valtelina, ma fidélité va à la Ducele et Royale Maison de Bourbon-Parme… comme Prince de Voltolina, l’Article 71 de la Charte de 1814 m’oblige à servir la Couronne de France et le Grand Monarque à venir, Bourbon inconnu, qui qu’il sera, d’où mon orientation de Royaliste Régentiste
    https://www.sylmpedia.fr/index.php/Royalisme_r%C3%A9gentiste

    Merci à Alain Texier de m’avoir fait découvrir, à moi humble Providentialiste https://www.sylmpedia.fr/index.php/Royalisme_providentialiste , le Royalisme Régentiste
    https://www.sylmpedia.fr/index.php/Royalisme_r%C3%A9gentiste

    Reply
  3. Hervé J. VOLTO

    Tout à fait d’accord M. DEWER ! Je suis en total accord avec vos paroles.

    Ne sachant pas encore qui est le descendant de Louis XVII, pour ma part, comme Comte de la Valteline, ma fidélité doit aller à la Ducale et Royale Maison de Bourbon-Parme… et comme Prince de Voltolina, l’article 71 de la Charte de 1814 m’oblige à SERVIR la Couronne de France et donc le Bourbon inconnu, qui qu’il sera, à travers le Royalisme Régentiste
    https://www.sylmpedia.fr/index.php/Royalisme_r%C3%A9gentiste

    Merci à Alain TEXIER de m0’avoir fait connaître à son humble serviteur Providentialiste
    https://www.sylmpedia.fr/index.php/Royalisme_providentialiste
    le Royalisme Régentiste
    https://www.sylmpedia.fr/index.php/Royalisme_r%C3%A9gentiste

    Un titre de Noblesse n’est qu’une armure que Dieu vous donne : celà vous permet de mieux briller, voire d’être mieux écouté par les Princes. Mais sous l’armure, il n’y a qu’un homme comme les autres, qui a des ancêtre comme EXEMPLE d’action Chrétienne et dont il est appellé à au moins faire aussi bien.

    C’est pour quoi les vrais Royalistes savent de devoir rester CHACUN A SON POSTE, Dieu ayant prévu de tout faire ce qu’il doit pour le plus grand bonheur de son peuple, plaçant chacun à sa place pour le service du Roi Son Lieutenant.

    Reply
  4. Hervé J. VOLTO

    M. DEWER a écrit :

    -La descendance de Louis XVII après deux bâtardises qui l’ont fait basculer à gauche…

    Pourrais-je savoir si vous parlez de Naundorff ou de Richemond ?

    Reply
    1. Jean DEWEER

      Monsieur VOLTO, ni de Naundorff, ni de Richemond qui n’ont pas dû manquer de se revendiquer de la bonne vieille droite royaliste et qui n’ont pas, que je sache, prétendu descendre de bâtards. Non! Cela résulte d’une lecture approfondie de Nostradamus.

      Centurie VI-59
      Dame en fureur par rage d’adultere,
      Viendra à son Prince coniurer non de dire:
      Mais bref cogneu sera la vitupere,
      Que seront mis dixsept à martyre.

      Voilà pour une enfant naturelle par Louis XVII qui a juré le secret mais la réalité, à la fin , sera connue..

      Centurie V-45
      Le grand Empire sera tost desolé
      Et translaté pres d’arduenne silve:
      Les deux bastards par l’aisné decollé,
      Et regnera AEnobarb, nez de milve.

      L’enfant naturelle de Louis XVII, « plus piteuse » (X-55), tombant dans la misère, ne sachant pas le secret de son père a eu elle-même un enfant naturel, le tout sombrant dans la révolution industrielle, terreau de la gauche. Ils ne pouvaient pas savoir d’où ils venaient,. Ils étaient perdus.
      Il y a les hypothèses, il y a les vérifications, il y a la réalité historique. Il y a une logique et une cause à ce que Nostradamus raconte. Et l’auteur ultime ou les auteurs ultimes, c’est soit Dieu, soit les anges, les « dieux » dont Nostradamus se recommandait, ou les deux ensemble et qui pouvaient avoir connaissance et prescience de ce qui allait se passer.

      Reply
  5. Hervé J. VOLTO

    Pour revenir à nos moutons :

    1. LES TITRES NOBILIAIRES n’honorent EN FRANCE qu’une personne par génération, le titulaire, on appelle celà un titre « viagger » et celà n’est pas transimissible : Louis XIV honora la nurse de ses enfants du Titre Nobiliaire de « Marquise de Maintenon ».

    2. Alors que les TITRES DE NOBLESSE attestent que toute la famille possèdent la qualité de Noble, TRANSMISSIBLE EN FRANCE PAR LOI DE PRIMOGENITURE MALE, DE FOI CATHOLIQUE ET DE NAISSANCE LEGALE sur l’imitation du Roi (un fils batard, même Catholique, ou un frère/cousin protestants, même nés de Naissance Légale, ne pouvaient et ne peuvent toujours pas hériter du Titre de Noblesse en France d’un gentilohomme).

    3. Article 71 de la Charte constitutionnelle du 4 juin 1814 :

    -La noblesse ancienne reprend ses titres. La nouvelle conserve les siens. Le Roi fait des nobles à volonté ; mais il ne leur accorde que des rangs et des honneurs, sans aucune exemption des charges et des devoirs de la société.

    Celà signifie que la Noblesse napoléonnienne a été englobée par le Roi dans la Noblesse Française et que le Roi de demain pourra anoblir des roturier méritants, reconsituant les Ordre de Chavalerie du Roi (Saint-Esprit et Saint-Michel, dissous en 1830) et les Ordres Réunits (Notre Dame du Mont Carmel et Saint-Lazarre) aux côté de l’Ordre de la Légion d’Honneur.

    L’admission dans un Ordre de Chevalerie anoblit, elle aliemnte le sentiement d’honneur du vrai citoyen et participe du génie Français en matière de récompense et de décoration.

    Les vrais Royalistes comprendront ici que l’une des fonctions Royales soit non seulement rayonner dans le Royaume, mais encore de faire rayonner aussi les sujets qui l’entourent : de même que le Soleil, en projetant ses rayons bienfaisants sur les astres qui l’environnent, les fait briller à leur tour. Cette métaphore louis-quatorzienne nous fait comprendre de quelle façon la Royauté, vécue comme l’ascension de chacun vers un idéal moral et politique, voire spirituel, est une réalité à nouveau envisageable.

    Reply
    1. Charte de Fontevrault Post author

      Hérvé ,

      j’ai lu avec intérêt tes analyses fort interessantes et je suis globalement d’accord avec toi sauf quant tu écris :  » Cela signifie que la Noblesse napoléonienne » parce que justement mes ouvrages tendent à démontrer que ce concept n’existe pas.
      Il convient de parler , s’agissant de l’Empire de  » titres nobiliaires » qui n’ honorent qu’un personne mâle et qui ne doivent pas être confondus avec les titres de Noblesse de la Monarchie qui honorent tous les enfants garçons et filles nés à naître.

      Reply

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

The maximum upload file size: 2 Mo. You can upload: image, audio, document, spreadsheet, interactive, text. Links to YouTube, Facebook, Twitter and other services inserted in the comment text will be automatically embedded. Drop file here

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.