Excusez moi de briser le silence du Samedi Saint mais EN CE MOMENT EN ITALIE se passe des choses GRAVISSIMES qui pourraient avoir des réprecussions sur la France et sur beaucoups de pays européens.
Les Italiens découvrent, ces jours-ci, une publicité toute neuve pour la marque de pâtes, italienne entre toutes : Barilla. Une entreprise familiale basée à Parme, en Italie, qui en est à la quatrième génération depuis le fondateur, voilà 140 ans. Un parent d’Antonella en fut le chef du personnel durant 23 ans avant de partir en retraite il y a deux ans. Cette institution, premier fabricant mondial de pâtes, doit tout à l’Italie : son produit, ses origines, son image. Mais depuis le début du mois, Barilla ne vend pas seulement ses pâtes, l’entreprise fait aussi la nouille, avec un long film publicitaire scénarisé qui singe les belles histoires du cinéma. Un film, déniché par le lanceur d’alerte DAMIEN, QU’IL FAUDRA REMERCIER, bien dans le sens du vent pour agrémenter le célèbre paquet de pâtes d’un paquet de mondialisation à la sauce démolition culturelle. On vous raconte..
Passons sur le cousin d’Antonella qui vote habituellement Berlusconi et a voté ce coup ci Melloni et qui, découvrant ce cette infamie publicitaire à la télé a eu un coup de sang, a fait des bonds sur son divan et s’est mis à blasphémer -« Porco qui, porco là (je ne peux répéter les blasphème, même dans la langue de Dante) ! meno male che me sono andato (de la Barilla) ! »- l’effacement de la culture italienne pour se sentir membre d’une communauté, mais laquelle ?
Une autre chose, hélas bien Française celle là, me pousse également à briser le silence du Samedi Saint
Vous avez rompu la consigne pour ça ?
Il m’étonnerait que Jésus de Nazareth que l’on fête aujourd’hui ait mangé du porc interdit par la cacherout.
Pour votre information, l’odeur du porc cuisiné est désagréable à l’homme sémitique depuis qu’on lui a appris qu’il était « impur ». Mais il est d’autres peuples qui ne mangent pas ou presque pas de porc, une viande qui verdit en s’irisant, comme les Cévenols. Mes grands-parents comme leurs enfants n’ont jamais mis du porc sur la table, une viande de franciman.
Excusez moi de briser le silence du Samedi Saint mais EN CE MOMENT EN ITALIE se passe des choses GRAVISSIMES qui pourraient avoir des réprecussions sur la France et sur beaucoups de pays européens.
Les Italiens découvrent, ces jours-ci, une publicité toute neuve pour la marque de pâtes, italienne entre toutes : Barilla. Une entreprise familiale basée à Parme, en Italie, qui en est à la quatrième génération depuis le fondateur, voilà 140 ans. Un parent d’Antonella en fut le chef du personnel durant 23 ans avant de partir en retraite il y a deux ans. Cette institution, premier fabricant mondial de pâtes, doit tout à l’Italie : son produit, ses origines, son image. Mais depuis le début du mois, Barilla ne vend pas seulement ses pâtes, l’entreprise fait aussi la nouille, avec un long film publicitaire scénarisé qui singe les belles histoires du cinéma. Un film, déniché par le lanceur d’alerte DAMIEN, QU’IL FAUDRA REMERCIER, bien dans le sens du vent pour agrémenter le célèbre paquet de pâtes d’un paquet de mondialisation à la sauce démolition culturelle. On vous raconte..
Passons sur le cousin d’Antonella qui vote habituellement Berlusconi et a voté ce coup ci Melloni et qui, découvrant ce cette infamie publicitaire à la télé a eu un coup de sang, a fait des bonds sur son divan et s’est mis à blasphémer -« Porco qui, porco là (je ne peux répéter les blasphème, même dans la langue de Dante) ! meno male che me sono andato (de la Barilla) ! »- l’effacement de la culture italienne pour se sentir membre d’une communauté, mais laquelle ?
Une autre chose, hélas bien Française celle là, me pousse également à briser le silence du Samedi Saint
Ne rions pas : C’EST AVEC L’ARGENT DES CONS-TRIBUBALES QUE NOUS SOMMES !!!
Vous avez rompu la consigne pour ça ?
Il m’étonnerait que Jésus de Nazareth que l’on fête aujourd’hui ait mangé du porc interdit par la cacherout.
Pour votre information, l’odeur du porc cuisiné est désagréable à l’homme sémitique depuis qu’on lui a appris qu’il était « impur ». Mais il est d’autres peuples qui ne mangent pas ou presque pas de porc, une viande qui verdit en s’irisant, comme les Cévenols. Mes grands-parents comme leurs enfants n’ont jamais mis du porc sur la table, une viande de franciman.