Vous vous souvenez sans doute de l’impérissable roman de Stevenson, « Le cas étrange du Dr Jekyll et de Mr Hyde » et de son intérêt pour le syndrome de double personnalité. Mais vous vous souvenez aussi, à n’en pas douter, des leçons de morale et de politique que nous assénait feu l’Abbé Pierre pour lequel nous n’étions que d’ignobles fascistes sinon d’authentiques nazis…
Manque de bol, voici le bon Abbé rattrapé par les dures réalités de la vie au travers de ses propres turpitudes.
C’est bien fait pour tous les demeurés qui l’ont soutenus dans ses oeuvres.
Ce qu’il faut à l’Abbé Pierre en ce moment ce sont nos prières. Et si nous cherchions une occasion de faire le bien pour le salut de nos âmes; hé bien nous l’avons.
L’arbre qui cache la forêt? Il faut penser à tous ces saints qui n’ont jamais fait le moindre mal ou si peu par rapport à ce qui est annoncé et sont restés inconnus…
Glané sur le site du Salon Beige :
» Rappelons qu’en 2005, l’abbé Pierre, dans un livre intitulé Mon Dieu ….pourquoi ?, co-écrit avec Frédéric Lenoir, se disait favorable au concubinage pour les prêtres, à l’ordination des femmes ainsi qu’aux unions homosexuelles et à l’homoparentalité. Il parlait également de sa vie intime (“j’ai donc connu l’expérience du désir sexuel et de sa très rare satisfaction“).
Dans son Catalogue des nuisibles, paru en 2007, Serge de Beketch consacrait son premier chapitre à l’abbé Pierre surnommé “Le cochon ensoutané”. Outre les propos rappelés ci-dessus (et d’autres), l’ancien co-fondateur de Radio courtoisie dénonçait le mythe de l’hiver 54 :
[…] un ancien déptué repenti m’avait raconté comment, en 1954, l’abbé opportunément “starisé” par une émission de radio, s’était prêté à une abjecte manipulation de l’opinion publique concoctée par le lobby des entrepreneurs du bâtiment pour contraindre l’Etat à consacrer au financement immédiat de logements précaires une partie des fonds destinés à une rénovation complète et intelligente (donc plus lente) du parc immobilier français. […] une campagne fut lancée pour la construction immédiate de cités d’urgence.
Le résultat fut la remise aux calendes grecques de la réalisation du programme initial de construction de vrais logements sociaux et la multiplication de zones d’habita provisoire, véritables ghettos de la misère et de la violence dont certains perdurent après un demi-siècle avec les effets que l’on éprouve encore aujourd’hui. »
Un mythe s’effondre. Il était temps. Comme il est temps de cesser de subventionner la soi-disant « Fondation Abbé Pierre ». Un lupanar des temps modernes ?
Ne désespérons pas car les mythes ne durent qu’un temps et ne sont des modèles que pour les naïfs. La preuve : https://www.francetvinfo.fr/societe/harcelement-sexuel/l-abbe-pierre-est-accuse-de-violences-sexuelles-par-plusieurs-femmes-annoncent-emmaus-et-la-fondation-abbe-pierre_6671463.html
Avec Macron, cela aura été encore plus court !
Hélas.
Vous vous souvenez sans doute de l’impérissable roman de Stevenson, « Le cas étrange du Dr Jekyll et de Mr Hyde » et de son intérêt pour le syndrome de double personnalité. Mais vous vous souvenez aussi, à n’en pas douter, des leçons de morale et de politique que nous assénait feu l’Abbé Pierre pour lequel nous n’étions que d’ignobles fascistes sinon d’authentiques nazis…
Manque de bol, voici le bon Abbé rattrapé par les dures réalités de la vie au travers de ses propres turpitudes.
C’est bien fait pour tous les demeurés qui l’ont soutenus dans ses oeuvres.
Hélas ! Hélas ! Hélas!
Ce qu’il faut à l’Abbé Pierre en ce moment ce sont nos prières. Et si nous cherchions une occasion de faire le bien pour le salut de nos âmes; hé bien nous l’avons.
L’arbre qui cache la forêt? Il faut penser à tous ces saints qui n’ont jamais fait le moindre mal ou si peu par rapport à ce qui est annoncé et sont restés inconnus…
Glané sur le site du Salon Beige :
» Rappelons qu’en 2005, l’abbé Pierre, dans un livre intitulé Mon Dieu ….pourquoi ?, co-écrit avec Frédéric Lenoir, se disait favorable au concubinage pour les prêtres, à l’ordination des femmes ainsi qu’aux unions homosexuelles et à l’homoparentalité. Il parlait également de sa vie intime (“j’ai donc connu l’expérience du désir sexuel et de sa très rare satisfaction“).
Dans son Catalogue des nuisibles, paru en 2007, Serge de Beketch consacrait son premier chapitre à l’abbé Pierre surnommé “Le cochon ensoutané”. Outre les propos rappelés ci-dessus (et d’autres), l’ancien co-fondateur de Radio courtoisie dénonçait le mythe de l’hiver 54 :
[…] un ancien déptué repenti m’avait raconté comment, en 1954, l’abbé opportunément “starisé” par une émission de radio, s’était prêté à une abjecte manipulation de l’opinion publique concoctée par le lobby des entrepreneurs du bâtiment pour contraindre l’Etat à consacrer au financement immédiat de logements précaires une partie des fonds destinés à une rénovation complète et intelligente (donc plus lente) du parc immobilier français. […] une campagne fut lancée pour la construction immédiate de cités d’urgence.
Le résultat fut la remise aux calendes grecques de la réalisation du programme initial de construction de vrais logements sociaux et la multiplication de zones d’habita provisoire, véritables ghettos de la misère et de la violence dont certains perdurent après un demi-siècle avec les effets que l’on éprouve encore aujourd’hui. »
Un mythe s’effondre. Il était temps. Comme il est temps de cesser de subventionner la soi-disant « Fondation Abbé Pierre ». Un lupanar des temps modernes ?
L’Abbé Pierre a plus besoin de prières que de sarcasmes
https://fr.aleteia.org/2024/07/19/reflexions-intempestives-sur-le-cas-henri-groues.