L’élue socialiste, qui ne boude pas son plaisir et sa “fierté” de voir la capitale ainsi mise en avant, a estimé que le “bashing” contre Paris et les Jeux étaient l’œuvre de la “planète réactionnaire et d’extrême droite”. “Fuck aux réacs, fuck à cette extrême droite, fuck à tous ceux qui voudraient nous enfermer dans la guerre de tous contre tous”, a-t-elle lancé.
Fuck est un mot anglais qui, en tant que verbe, signifie « avoir un rapport sexuel », dans un registre généralement considéré comme vulgaire, voire ordurier. « Fuck » peut être traduit en français soit par le verbe « foutre », « baiser » ou « niquer »
Après de tels propos vous comprenez mieux sans doute l’ignominie de la trop fameuse cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques. Ce qui m’amène à vous conseiller la relecture (ou la découverte pour ceux qui ne la connaîtraient pas) de l’oeuvre désormais immortelle de Philippe Muray et, en particulier, de tous les textes qui traitent de l’émergence d’HOMO FESTIVUS et de “La fin de l’Histoire” (https://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Muray).
Par ses mots Anne Hidalgo ne fait que confirmer l’instrumentalisation révolutionnaire majeure de la sexualité pour pervertir de la république pour établir son régime. C’était vrai avec Jules Ferry, franc-maçon qui a voulu soustraire les petites filles à l’influence de l’Eglise. C’était déjà vrai de Marie-Antoinette que l’on a fait accuser d’inceste par son fils. Cela l’a été aussi, même si cela a fait passer le caractère offensif de la mixité au second plan, de la théorie du genre qu’a voulu imposer Najat Vallaud-Belkacem. Rien de nouveau sous le soleil mais pourquoi se priver d’un outil qui a fait ses preuves? Jusqu’où cela peut-il aller?