NDLRB . Et dire que l’on nous avait vendu le développement des moyens contraceptifs comme devant limiter et quasi éliminer la mise en oeuvre des avortements.
Soumis par Cécile le sam, 17/01/2015 – 16:07
17 janvier 1975 : il y a 40 ans, la loi Veil dépénalisant l’avortement était promulguée.
40 ans plus tard, cette loi dite » d’exception » a fait plus de 8 millions de victimes, enfants à naître et femmes dont le traumatisme post-avortement , bien que volontairement nié par les partisans de l’avortement, est une douloureuse réalité.
Un rapport de l’INED publié le jeudi 15 janvier démontre que 210.000 avortements ont lieu chaque année en France et que les avortements répétés sont en forte augmentation
Alors que Simone Veil, selon ses propres mots, reconnaissait que « l’avortement est et restera toujours un drame », ces 40 années n’ont cessé de voir banaliser ce drame jusqu’à voir ériger, le 26 novembre dernier, le droit à l’avortement en droit fondamental.
Véritable « boîte de Pandorre », cette loi a initié toutes les dérives éthiques et morales actuelles en autorisant qu’il puisse être porté atteinte à la vie du plus faible, du plus innocent : l’enfant à naître dans le sein de sa mère.
La guerre contre l’enfant à naître ne connaît pas de trêve puisque le Ministre de la Santé, Marisol Touraine, a annoncé son souhait de voir garanti toujours davantage l’accès des femmes à l’IVG et prévoit d’autoriser les sages-femmes à réaliser des IVG par voie médicamenteuse et d’étendre la pratique des IVG chirurgicales aux médecins des centres de santé.
Fustigeant les médecins qui refusent encore de pratiquer des IVG en invoquant l’objection de conscience, Marisol Touraine étudie la possibilité de supprimer purement et simplement l’objection de conscience des professionnels de santé en matière d’IVG.
Jamais le mot « liberté » n’aura été autant dévoyé lorsque l’on fait primer la liberté de la femme à disposer de son corps sur la première des libertés : celle de l’enfant à vivre !
Choisir la Vie rappelle donc l’urgence à se mobiliser et à rejoindre les rangs de la Marche pour la Vie le 25 janvier pour demander l’abrogation de la loi sur l’avortement, une véritable politique d’accueil de la vie et d’aide aux femmes enceintes en difficulté et refuser les nouvelles atteintes à la vie que sont les menaces euthanasiques.
http://choisirlavie.fr/40-ans-la-loi-veil-8-millions-victimes
Face à la violence sournoise qui s’exrce partout, contre l’âme de nos enfants, contre les Catholiques, contre les traditons de notre Pays, contre son Histoire, contre la sécurité et l’honneur de la France, les Royalistes doivent opposer sans relache leurs valeurs Chrétiennes, familiales et patriotiques!
Que faire concrètement?
Nous, Royalistes, nous devons viser un double objectif:
-Faire connaître les nombreuses activités Royalistes en province et à Paris et en rendre compte: Universités d’été, Marche pour la Vie, Veillée pour la Famille, Sessions de jeunes, Pèlerinages de Chartres, de Pontmain et de paray-le-Monial, conférences, fêtes du livres, Messes pour Louis XVI et Marie-Antoinette, etc…
-Traiter de l’actualité et livrer des informations à la lumière de notre foi Catholique et dans la fidélité à notre tradition nationale.
Hervé
Vous êtes des trolls
Pourriez- vous argumenter d’avantage votre propos ? Ceci si vous en êtes capable parce que , pour le moment, c’est un peu court jeune homme.
Vous voudrez bien noter en plus que nous avions des raisons de nous inquiéter ainsi qu’en témoigne le post qui suit.
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1er juillet : la contraception devient totalement gratuite et anonyme pour les mineures
Pilule contraceptive
A compter de ce 1er juillet 2016, en plus des contraceptifs proprement dits, les consultations médicales de prescription et les examens biologiques liés à la prescription d’une contraception (pilule, implant, stérilet) deviennent gratuits et anonymes pour les 15-18 ans.
Le décret n° 2016-865 relatif à la participation de l’assuré pour les frais liés à la contraception des mineures d’au moins quinze ans a été publié le 29 juin 2016 au Journal Officiel. Entrant en vigueur ce 1er juillet, il définit les conditions selon lesquelles est supprimée la participation financière de l’assuré pour les frais liés à la contraception des mineures d’au moins quinze ans. Il précise que cette suppression couvre certains frais d’examen de biologie, les frais d’une consultation médicale annuelle, les frais d’une consultation de suivi ainsi que les frais de pose et de retrait d’un dispositif intra-utérin. Ces frais sont ainsi pris en charge par l’assurance maladie.
La « contraception d’urgence » est déjà en accès illimité pour les jeunes depuis le 26 mai 2016.