C’est ce que je me suis dit à lire les lignes qui suivent et en particulier l’éloge de la funeste déclaration des Droits de l’homme sans Dieu présentée sans rire comme inspirée par l’Evangile . A quoi ont servi tous les martyrs de la révolution dite Française ?
Il ne sert à rien de dire , c’est la loi, on n’y peut rien et il ne sert pas à grand chose non plus d’appeler au respect de ceux qui ne sont pas comme nous . Bien entendu qu’il ne faut pas les stigmatiser mais quand défendra t’on les commandements de Dieu – et de la société humaine qu’ il instituât- en terre de France ?
Nos aïeux ont signé de leur sang leur protestation et leur fidélité à Dieu ; Et nous, nous nous contenterions de dire, c’est bien fâcheux tout cela , mais c’est la loi . Et espérons que cela ne va pas continuer avec la PMA. Parce qu’autrement qu’est ce qu’on va devenir ?
Alors face à l’oxymore que constitue l’expression « Parti républicain / Chrétien » rappelons que c’est à la république qu’il faut d’abord faire barrage et qu’il n’y a pas d’autre chemin pour établir les droits de Dieu sur notre société que de promouvoir les droits du roi. Et cela, on le sait depuis le baptême de Clovis ( Noël 496)
Quelques pistes sur les opposants, jusqu’au Martyr, aux bienfaits auto proclamés des droits de l’homme.
Ivan Gobry. Les martyrs de la révolution française
http://nouvl.evangelisation.free.fr/martyrs_revolution.htm
http://www.martyretsaint.com/les-martyrs-de-la-revolution-francaise/
http://www.martyretsaint.com/les-martyrs-de-la-revolution-francaise-claude-richard-2/
http://www.martyretsaint.com/les-martyrs-de-la-revolution-francaise-claude-richard-3/
Le mariage homosexuel, un acte désormais conforme à la constitution
MAI 27, 2013 ADMIN
Le Conseil Constitutionnel a entièrement validé, le 17 mai dernier, la loi sur l’ouverture du mariage aux couples de même sexe précisant que le mariage hétérosexuel n’était pas un principe fondamental reconnu par les lois de la République comme le sont en revanche, la liberté d’association, la liberté de conscience ou la liberté d’enseignement.
Pourtant en 2011, saisi à l’initiative d’un couple de femmes pacsées, il avait estimé que les articles 75 et 144 du Code civil, qui expriment une conception exclusivement hétérosexuelle du mariage, étaient conformes à la Constitution. Il avait cependant renvoyé au parlement la responsabilité de modifier cette définition, ce que ce dernier a fait.
Une loi ouvrant une brêche dans la définition judéo-chrétienne de la famille
Cette loi, promulguée et publiée au Journal Officiel du 18 mai 2013, autorise à présent la célébration d’un mariage entre deux personnes de même sexe résidant en France. Elle ouvre ainsi une brèche dans la définition judéo-chrétienne de la famille. Le nouvel article 143 est ainsi libellé : « Le mariage est contracté par deux personnes de sexe différent ou de même sexe.» En revanche, les articles 161, 162 et 163 du Code civil, qui trouvent leur origine dans la Bible, restent ( NDLRB. Encore) inchangés, à savoir : « En ligne directe, le mariage est prohibé entre tous les ascendants et descendants et les alliés dans la même ligne ». « En ligne collatérale, le mariage est prohibé, entre le frère et la soeur, entre frères et entre sœurs ». « Le mariage est prohibé entre l’oncle et la nièce ou le neveu, et entre la tante et le neveu ou la nièce. »
Point sur une loi devenue définitive
Cette loi étant désormais définitive, nous devons veiller à ne pas basculer vers la tentation de juger les personnes homosexuelles dont l’orientation sexuelle relève du domaine privé, laquelle ne saurait, comme la couleur de peau, la religion ou le sexe devenir une pierre d’achoppement pour condamner l’autre. En revanche, nous sommes libres de défendre la définition traditionnelle de la famille.
Le Parti Républicain Chrétien nous interpelle sur le fait que la science ne saurait servir tous les désirs de l’homme.
Elle doit évoluer dans un cadre. L’Evangile, en tant que recueil le plus achevé des droits et des devoirs de l’homme a inspiré tout notre ordonnancement juridique, notre déclaration des droits de l’homme et du citoyen, et enfin, les lois de bioéthique. Il est capital de les conserver et de ne pas y porter atteinte sous peine d’ouvrir la porte à de nombreuses dérives.