Depuis qu’il a évoqué quelques sympathies à l’égard du Front national, Jean Roucas est l’objet d’un lynchage politico-médiatique qui vise à l’éliminer professionnellement et donc socialement. Compte tenu du fait qu’il a besoin de travailler pour vivre, on pouvait craindre que, comme beaucoup d’autres dans cette situation, il n’arrise la voile. Il n’en est rien. Et tout au contraire :
— Si j’ai envie d’aller à d’autres meetings FN, j’irai, et sans honte. De quoi devrait-on rougir ? Les vrais censeurs, ils ne sont pas au FN. Je suis confronté à eux. Quand on est artiste, on est obligé d’être de gauche. Il y a des artistes qui fréquentent la fête de L’Huma depuis trente ans. On ne leur fait pas de procès. Je suis une victime. Ce n’est pas le délit de sale gueule, mais le délit de « sale pensée ». Je suis victime de discrimination professionnelle. Si je ne réagis pas, il y aura peut-être d’autres spectacles annulés.
Dans la foulée, Jean Roucas tacle le très haineux Guy Bedos (pardon pour la redondance) qui, jamais en retard pour poser une petite fiente, l’a traité de has been :
— Qui me traite de has been ? Guy Bedos ! Je croyais qu’il était mort, moi, je croyais qu’il était muet car on ne l’entend plus depuis l’élection de François Hollande…
Autre petit marquis à s’en être pris à Jean Roucas, Antoine de Caunes, actuel – et pitoyable – animateur du « Grand Journal » sur©Anal Plus. Roucas ne le rate pas :
— Quant à Antoine de Caunes, il faisait un million de téléspectateurs, j’en faisais 11 millions…
Quand on connaît, de surcroît, les opinions politiques – il fut notamment très Algérie française – que professait Georges de Caunes, son père, ça fait peine et honte de le voir se vautrer dans le prêt à penser.
Mais, à la différence de ces deux histrions, de vrais has been pour le coup, rhabillés pour l’hiver par Roucas, on voudrait saluer le chanteur Michel Fugain. Qui, en 2012, avait fait campagne – et c’était son droit et son choix – pour François Hollande. Interrogé sur les propos de Roucas, il a déclaré que ce dernier a « parfaitement raison » quand il dénonce le boycott dont il est l’objet depuis son coming out
: — On n’a aucune raison de lui interdire quoi que ce soit. Il a des idées. Il les défend. Que les gens considèrent qu’elles sont bonnes ou pas bonnes, c’est le problème des gens.
Ce qui fait la différence entre Fugain et Bedos ? Un Fugain qui ne voit pas pourquoi on ferait payer à Roucas ses opinions politiques et un Bedos confit dans la haine ? Une certaine dimension humaine pour l’un, un vrai nanisme intellectuel pour l’autre. D’un côté, Fugain qui respecte ses adversaires. De l’autre, Bedos enfermé dans l’anathème, l’exclusion, l’injure. Le premier rassure quant à l’humanité. Le second fait peur. Comme faisaient peur les Fouquier-Tinville, Marat, Saint-Just, Robespierre, Hébert et autres fourriers de guillotine…
http://www.delitdimages.org/mon-heros-semaine-roucas-mouche-bedos/
Robespierre, Hébert, Fouquier-Thinville, etc… = tous zigouillés par la guillotine qu’ils avaient 1000 fois méritée (« hodie mihi, cras tibi » = excellent adage latin !), sauf Marat crevé dans sa baignoire, grâce à la si courageuse et noble Charlotte Corday ! (descendante de la famille de notre grand Corneille : « Bon chien chasse de race » !).
Comment vont finir nos actuels persécuteurs ? Comme on n’est pas comme eux, méchants comme des teignes, on ne leur souhaite pas de finir aussi lamentablement, mais on attend avec impatience le moment où sera débarrassés de ces ordures. Amitiés à tous.
Robespierre, Hébert, Fouquier-Thinville, etc… = tous zigouillés par la guillotine qu’ils avaient 1000 fois méritée (« hodie mihi, cras tibi » = excellent adage latin !), sauf Marat crevé dans sa baignoire, grâce à la si courageuse et noble Charlotte Corday ! (descendante de la famille de notre grand Corneille : « Bon chien chasse de race » !).
Comment vont finir nos actuels persécuteurs ? Comme on n’est pas comme eux, méchants comme des teignes, on ne leur souhaite pas de finir aussi lamentablement, mais on attend avec impatience le moment où sera débarrassés de ces ordures. Amitiés à tous.
Robespierre, Hébert, Fouquier-Thinville, etc… = tous zigouillés par la guillotine qu’ils avaient 1000 fois méritée (« hodie mihi, cras tibi » = excellent adage latin !), sauf Marat crevé dans sa baignoire, grâce à la si courageuse et noble Charlotte Corday ! (descendante de la famille de notre grand Corneille : « Bon chien chasse de race » !).
Comment vont finir nos actuels persécuteurs ? Comme on n’est pas comme eux, méchants comme des teignes, on ne leur souhaite pas de finir aussi lamentablement, mais on attend avec impatience le moment où sera débarrassés de ces ordures. Amitiés à tous.
Robespierre, Hébert, Fouquier-Thinville, etc… = tous zigouillés par la guillotine qu’ils avaient 1000 fois méritée (« hodie mihi, cras tibi » = excellent adage latin !), sauf Marat crevé dans sa baignoire, grâce à la si courageuse et noble Charlotte Corday ! (descendante de la famille de notre grand Corneille : « Bon chien chasse de race » !).
Comment vont finir nos actuels persécuteurs ? Comme on n’est pas comme eux, méchants comme des teignes, on ne leur souhaite pas de finir aussi lamentablement, mais on attend avec impatience le moment où sera débarrassés de ces ordures. Amitiés à tous.