Indispensable pour faire taire les républicains qui restent dans leur pêché : TELECHARGER l’oeuvre de René SEDILLOT. LE COÛT DE LA REVOLUTION FRANçAISE – Charte de Fontevrault et Royalisme providentialiste
Indispensable pour faire taire les républicains qui restent dans leur pêché : TELECHARGER l’oeuvre de René SEDILLOT. LE COÛT DE LA REVOLUTION FRANçAISE
3 thoughts on “Indispensable pour faire taire les républicains qui restent dans leur pêché : TELECHARGER l’oeuvre de René SEDILLOT. LE COÛT DE LA REVOLUTION FRANçAISE”
Bertrand
Louis XV1;; trahi par ses amis;;; les Rockfeuille ; La marine se tourna pour la révolution… les Banquiers aussi.. alors le trésor disparu ??
Entre 1754 et 1758, Roquefeuil remplit les fonctions de second chef d’escadre, dans les Antilles, sous le commandemment de La Galissonnière, de Périer puis de Bompart.
Promu au grade de chef d’escadre des Armées navales, le 1er janvier 1761, à moins de 47 ans, il reçut le commandement de la Marine et du port de Brest auquel le Roi unira, le 25 mars 1762, celui de la ville et du château de Brest et de l’île d’Ouessant qu’avait déjà eu son père.
de Brest. Sous son commandement, les budgets sont obtenus du Roi et de ses ministres et de nombreux navires puissants et bien équipés sont conçus, lancés et amarinés. Ils constitueront la remarquable « Flotte de Louis XVI », probablement la plus cohérente que la France ait jamais possédé.
Louis XVI, qui permit à la France et aux insurgés américains de vaincre la Grande-Bretagne, au cours de la guerre d’Indépendance américaine.
Sous la Révolution, Brest prend une nouvelle importance. Ce grand port militaire doit à tout prix rester acquis à la France. En 1789, la ville s’engage majoritairement pour la Révolution
Parmi ses Ministres beaucoup le trahirent;;
Voici le procès-verbal de la réunion :
« L’an mil sept cent quatre vingt neuf, et le vingt-quatrième jour du mois de Juillet, dans la ville de Rodez et dans la Salle du Conseil de la Sénéchaussée de la dite ville, ont été présents les Membres de l’Ordre de la Noblesse de ladite Sénéchaussée, et du Baillage de Millhau Soussignés, assemblés sur une lettre de M. de Cussac, Lieutenant Principal en la dite Sénéchaussée, à eux adressée par forme d’invitation le quinze du Courant, en exécution du Règlement fait par le Roi, concernant les mandats des Députés aux Etats Généraux, le vingt-sept Juin dernier : lesquels sous la Présidence de Messire d’Ysarn, Chevalier, Marquis de Frayssinet, Commissaire de la Noblesse, et nous Pierre-Firmin de Barrau de Caplongue membre dudit Ordre, et par les Soussignés nommé Secrétaire écrivant : on dit, qu’ils avaient bien moins consulté dans la rédaction de leur Cahier leurs propres intérêts que ceux du Trône et de l’Etat ; et que s’ils se rendent aujourd’hui à l’invitation du Roi ; c’est pour donner à Sa Majesté de nouvelles preuves des sentiments d’amour, de respect et de fidélité, dont ils sont pénétrés. Qu’animés par ce motif, et par leur zèle pour la conservation de la Monarchie, ils adhèrent par cette Délibération aux Arrêtés des Représentants de la Noblesse des vingt cinq juin et trois juillet derniers : et donnent à Messire d’Adhémar, Vicomte de Panat, Chevalier, Maréchal des Camps et Armées du Roi, leur Député aux Etats-Généraux, qui mérite toute leur confiance, tous les pouvoirs relatifs aux dits Arrêtés. En foi de quoi ils ont signé avec moi dit Secrétaire. D’Yzarn-Freyssinet ; de Grégoire ; comte de Gardies ; de Montvallat de Bonne ; d’Alichoux ; Curlande ; Gualy de Saint-Rome ; Viguier de Grun ; Méjanès de Veillac ; La Goudalie ; Salgues ; Vigroux ; Balsac ; Rességuier ; Gaston de Polliez ; Grandsaigne ; Cougousse ; d’Albois de Montrozier, chevalier de Roquefeuil ; Barrau-Espinassette ; Faramond ; Roquefeuil-d’Ambert ; de Girols ; Sambucy de Sorgues ; le chevalier de Tullier ; de Saunhac ; Cassan de Cassagnoles ; d’Auriac de Gualy ; Mazars de Limayrac ; Balsac-Vialatelle ; Saint-Amans ; de Corneillan ; marquis de Saunhac-Villelongue ; le comte d’Adhémar-Panat ; Vigroux-d’Arvieux ; Saint-Côme ; de Puel vicomte de Parlan ; de Méjanès ; Barrau-Caplongue, Secrétaire de l’Ordre. » Cité pages 230 et 231 dans l’ouvrage d’Eugène de Barrau « 1789 en Rouergue, étude historique et critique des institutions électorales de l’ancien et du nouveau Régime – 1er volume, sénéchaussée de Rodez » [7].
L’été 1789 est profondément marqué par les événements : après la prise symbolique de la Bastille, à Paris, le 14 juillet, les privilèges de la noblesse sont abolis dans la nuit du 4 août.
La Révolution française qui s’accomplit ainsi depuis 1789 est dure avec les anciens privilégiés … l’ancienne France sombre pour laisser la place à un nouveau Régime.
Louis XV1;; trahi par ses amis;;; les Rockfeuille ; La marine se tourna pour la révolution… les Banquiers aussi.. alors le trésor disparu ??
Entre 1754 et 1758, Roquefeuil remplit les fonctions de second chef d’escadre, dans les Antilles, sous le commandemment de La Galissonnière, de Périer puis de Bompart.
Promu au grade de chef d’escadre des Armées navales, le 1er janvier 1761, à moins de 47 ans, il reçut le commandement de la Marine et du port de Brest auquel le Roi unira, le 25 mars 1762, celui de la ville et du château de Brest et de l’île d’Ouessant qu’avait déjà eu son père.
de Brest. Sous son commandement, les budgets sont obtenus du Roi et de ses ministres et de nombreux navires puissants et bien équipés sont conçus, lancés et amarinés. Ils constitueront la remarquable « Flotte de Louis XVI », probablement la plus cohérente que la France ait jamais possédé.
Louis XVI, qui permit à la France et aux insurgés américains de vaincre la Grande-Bretagne, au cours de la guerre d’Indépendance américaine.
Sous la Révolution, Brest prend une nouvelle importance. Ce grand port militaire doit à tout prix rester acquis à la France. En 1789, la ville s’engage majoritairement pour la Révolution
Parmi ses Ministres beaucoup le trahirent;;
Voici le procès-verbal de la réunion :
« L’an mil sept cent quatre vingt neuf, et le vingt-quatrième jour du mois de Juillet, dans la ville de Rodez et dans la Salle du Conseil de la Sénéchaussée de la dite ville, ont été présents les Membres de l’Ordre de la Noblesse de ladite Sénéchaussée, et du Baillage de Millhau Soussignés, assemblés sur une lettre de M. de Cussac, Lieutenant Principal en la dite Sénéchaussée, à eux adressée par forme d’invitation le quinze du Courant, en exécution du Règlement fait par le Roi, concernant les mandats des Députés aux Etats Généraux, le vingt-sept Juin dernier : lesquels sous la Présidence de Messire d’Ysarn, Chevalier, Marquis de Frayssinet, Commissaire de la Noblesse, et nous Pierre-Firmin de Barrau de Caplongue membre dudit Ordre, et par les Soussignés nommé Secrétaire écrivant : on dit, qu’ils avaient bien moins consulté dans la rédaction de leur Cahier leurs propres intérêts que ceux du Trône et de l’Etat ; et que s’ils se rendent aujourd’hui à l’invitation du Roi ; c’est pour donner à Sa Majesté de nouvelles preuves des sentiments d’amour, de respect et de fidélité, dont ils sont pénétrés. Qu’animés par ce motif, et par leur zèle pour la conservation de la Monarchie, ils adhèrent par cette Délibération aux Arrêtés des Représentants de la Noblesse des vingt cinq juin et trois juillet derniers : et donnent à Messire d’Adhémar, Vicomte de Panat, Chevalier, Maréchal des Camps et Armées du Roi, leur Député aux Etats-Généraux, qui mérite toute leur confiance, tous les pouvoirs relatifs aux dits Arrêtés. En foi de quoi ils ont signé avec moi dit Secrétaire. D’Yzarn-Freyssinet ; de Grégoire ; comte de Gardies ; de Montvallat de Bonne ; d’Alichoux ; Curlande ; Gualy de Saint-Rome ; Viguier de Grun ; Méjanès de Veillac ; La Goudalie ; Salgues ; Vigroux ; Balsac ; Rességuier ; Gaston de Polliez ; Grandsaigne ; Cougousse ; d’Albois de Montrozier, chevalier de Roquefeuil ; Barrau-Espinassette ; Faramond ; Roquefeuil-d’Ambert ; de Girols ; Sambucy de Sorgues ; le chevalier de Tullier ; de Saunhac ; Cassan de Cassagnoles ; d’Auriac de Gualy ; Mazars de Limayrac ; Balsac-Vialatelle ; Saint-Amans ; de Corneillan ; marquis de Saunhac-Villelongue ; le comte d’Adhémar-Panat ; Vigroux-d’Arvieux ; Saint-Côme ; de Puel vicomte de Parlan ; de Méjanès ; Barrau-Caplongue, Secrétaire de l’Ordre. » Cité pages 230 et 231 dans l’ouvrage d’Eugène de Barrau « 1789 en Rouergue, étude historique et critique des institutions électorales de l’ancien et du nouveau Régime – 1er volume, sénéchaussée de Rodez » [7].
L’été 1789 est profondément marqué par les événements : après la prise symbolique de la Bastille, à Paris, le 14 juillet, les privilèges de la noblesse sont abolis dans la nuit du 4 août.
La Révolution française qui s’accomplit ainsi depuis 1789 est dure avec les anciens privilégiés … l’ancienne France sombre pour laisser la place à un nouveau Régime.