Les républicains de toutes tendances s’obstinent à détruire la France catholique et royale. Et ce, pour quoi ? pour qui ?

Avez-vous remarqué que tous les systèmes politiques et économiques en échec ont une caractéristique commune : ceux qui les prônent, non seulement ne reconnaissent jamais leur échec, mais affirment, péremptoirement, que l’échec n’est pas dû à ce que le système est mauvais ou même imparfait, mais à ce que l’on ne l’a pas suffisamment poussé à ses limites, qu’on n’en a pas fait assez en ce sens.
Ainsi, la gauche qui devant l’échec abyssal du gouvernement que la gauche nous impose depuis deux ans et demi, ne cesse de hurler que c’est parce qu’il n’a pas fait une politique qui soit suffisamment « de gauche » et que tout irait à merveille si l’on avait appliqué strictement les principes qui ont conduit à l’effondrement économique et moral : on aurait dû ruiner toutes les entreprises, afin qu’aucune d’elles ne puisse distribuer de cette manne immorale qu’on appelle « dividendes » (et qui rémunère le risque pris par ceux qui investissent leur argent, souvent durement gagné, dans l’équipement des entreprises afin de leur permettre de produire et donc d’embaucher et sans lequel il n’y aurait pas d’entreprises du tout) ; on aurait dû obliger ceux qui, par leurs talents et leur activité, ont obtenu une rémunération convenable, non seulement à en abandonner les neuf-dixièmes, voire plus, à l’impôt, mais encore à payer plus cher toutes les nécessités de l’existence, afin qu’ils n’aient pas un niveau de vie supérieur à celui de ceux qui n’ont pas fait les mêmes efforts. L’argent ainsi pris aux entreprises et aux actifs aurait alors été, le plus moralement du monde, réparti entre les inactifs qui ne gagnent pas eux-mêmes leur vie, avec une préférence pour ceux qui viennent d’ailleurs dans le seul but de recevoir leur part de cette distribution et pour ceux qui ont pris la ferme résolution de ne jamais faire le moindre effort pour subvenir à leurs besoins et à ceux de leur famille.
N’oublions pas le « petit reste » du Parti communiste qui refuse de reconnaître que le bilan des décennies de communisme dans l’Est de l’Europe, en Chine, en Corée du Nord, à Cuba, au Cambodge, au Vietnam, etc., n’est pas « globalement positif » et continue à affirmer que si le communisme, pendant si longtemps, a échoué, c’est parce que les dirigeants n’ont pas été suffisamment communistes…
Tout comme la droite « européiste » qui, devant l’échec évident de la politique économique de l’Union européenne, qui ne cesse d’imposer aux États dont les gouvernements ont eu l’imprudence (sans consulter les populations ou même contre leur avis clairement exprimé dans les formes légales) de lui abandonner des parts importantes de leur souveraineté, des mesures à la fois absurdes et ruineuses (citons, pour l’anecdote, leur volonté d’obliger tous les Européens à changer la capacité de leurs chasses d’eau…). Ils nous obligent à conserver sur notre sol les déboutés du droit d’asile et autres arrivants clandestins, à les loger prioritairement, au détriment des deux millions de mal logés qui attendent une amélioration de leur sort, à les soigner gratuitement en leur assurant des soins que des millions de travailleurs n’ont pas les moyens de payer tout en créant un gouffre financier dans nos hôpitaux. Ils nous obligent une année à transformer nos bateaux de pêche en bateaux-usines d’un coût faramineux pour nous obliger, une autre année, à les désarmer… 

Tout le monde, eux compris, est d’accord pour constater que l’Union européenne et l’euro, cela ne fonctionne pas bien. Mais pour les européistes, comme M. Giscard d’Estaing, c’est parce qu’il n’y a pas encore « assez d’Europe » et parce qu’il faudrait que les États abandonnent à l’UE presque tout ce qui leur reste de souveraineté.
Quand les responsables des erreurs catastrophiques qui font que l’Europe et la France, jadis prospères, sont aujourd’hui à la traîne du monde développé, en attendant d’intégrer celui qu’on appelle pudiquement « en voie de développement », consentiront-ils, sinon à reconnaître ces erreurs et à s’en repentir, mais au moins à ne pas continuer à nous asséner leur autosatisfaction ?

Anne-Lys. CJA.

3 thoughts on “Les républicains de toutes tendances s’obstinent à détruire la France catholique et royale. Et ce, pour quoi ? pour qui ?

  1. Richard

    C’est toujours le même pouvoir occulte qui tient les rênes du pouvoir dans le monde et ce, depuis plus de 200 ans. La division est son arme favorite. L’Eglise Catholique et la Monarchie de Droit Divin est son pire ennemi. Balayer de la surface de la terre ces institutions définitivement, ou les corrompre, est leur but afin d’asseoir leur N.O.M. Le Mensonge contre la VERITE ou la DIVISION contre l’UNITE. Qui sera vainqueur en fin de compte ? Le CHRIST ou SATAN ? Pour ma part, j’ai déjà répondu a cette question. La LUMIERE triomphera à son heure. Patience !

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  2. Hervé J. VOLTO

    Alors que notre Etat est bradé, que nos villes sont souillées, que les églises sont vidées et que notre jeunesse est gachée, abandonnée, livrée, il n’est pas impossible de sentir le peuple gronder et réclamer BIENTOT qu’une haute et Sainte Légitimité vienne consacrer l’autorité de l’Etat Français, voué à être la lumière des nations.

    Encore faut-il le demander, ce Roi: TOUS KERIZINEN, A POMMAIN ET A PARAY-LEMONAIL! TOUS A GENOUX !!!

    Amitiés Fontevristes à tous!

    Hervé J. VOLTO

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