9 janvier 2016
Voilà dans quelle France nous vivons. A force d’éduquer nos populations à détester notre propre pays, sa culture, ses racines, son culte on vient à pousser nombre de gens à profaner, piller et voler les tombes de nos morts.
La haine de notre représentation nationale a fait ériger en sport national le vandalisme de tous nos symboles, de ce qui nous représente au fond de nous-mêmes, de ce que nous sommes, un pays de culture chrétienne. Il faut toujours l’écrire, le rabâcher, se répéter constamment s’il le faut, mais ce n’est ni la République, ni les immigrés, ni la gauche qui ont créé la France. C’est le baptême de Clovis Roi des Francs qui a donné vie à notre nation.
Avant la Révolution, la Vème République et ses lois scélérates, avant la succession de ces présidents fantoches, existait un pays, la France dominant l’Europe par sa démographie, sa puissance, sa renommée, sa connaissance, son érudition. Nous étions la nation forte, la locomotive du continent, toutes les élites européennes parlaient Français, on se déclarait la guerre dans notre langue, puisque langue de la diplomatie mondiale. Nous étions craints, respectés, adulés et jalousés. C’était ça la France.
Seulement cette partie doit être oubliée, pire nos gouvernants l’effacent des mémoires de nos contemporains. Nos élites mondialisées utilisent la culpabilisation et l’accusation afin que tout un chacun éprouve dégoût et répulsion pour ce qu’il est.
Holocauste, esclavage, colonisation les plus grands maux de l’histoire pour un homme du XXIème siècle seraient de notre fait. La France serait coupable de ces crimes, et aujourd’hui en 2016 nous sommes visiblement tous d’accord de sa culpabilité. Nous en venons donc à haïr notre sol, ainsi que nos aînés puisque tous représentent à nos yeux cette France criminelle. Donc au mieux on s’indiffère de son sort au pire nos « déséquilibrés », comme aiment à surnommer nos médias fanatisés par la novlangue, punissent tout ce qui est relatif à la symbolique patriote. Ils violent nos femmes, tuent nos proches, encaissent nos biens, détruisent nos monuments. L’anarchie devient la norme, la guerre civile couvant peu à peu.
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