Peintures catholiques et royalistes dans l’espérance du retour de la France à une monarchie de droit divin. Telle est la vocation du talent de Louis Chiren.
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Chers amis, bonsoir à tous !
Je retranscris d’après l’historique concernant l’ordre du Saint Esprit sur le site du musée de la légion d’honneur et des ordres de chevalerie.
« La Révolution française a vu disparaître la plus grande partie des colliers et croix du Saint-Esprit de l’ancienne France. Toutefois, nous l’avons vu plus haut, il était de tradition bien établie d’envoyer à la fonte les croix abîmées ou anciennes (ainsi des 21 croix, dont 14 vieilles, détruites en 1784). Nos archives ne conservent qu’un seul document relatif à ce triste épisode : il s’agit d’un extrait du procès verbal de la Convention Nationale du 12 octobre 1792 précisant que le citoyen Potier de Gesvres (anciennement titré duc de Tresmes) pour contribuer aux frais de guerre avait déposé « quatre grandes croix de l’ordre du Saint-Esprit, hochets dont il a hérité de ses ancêtres » (il s’agissait des insignes des quatre précédents ducs nommés chevaliers le 31 décembre 1688, le 3 juin 1724, le 16 mai 1728 et le 1er janvier 1773). Ironie de l’histoire, la Société des amis a récemment fait l’acquisition pour le musée de l’un des rares brevets du Saint-Esprit d’Ancien régime à avoir survécu : il est attribué au duc de Tresmes (décoré en 1724 et décédé en 1739). »
« Il est donc établi qu’avant 1789, les croix n’étaient pas systématiquement restituées, c’est ce qui explique que la croix de prélat de Monseigneur de Coëtlosquet (promu le 1er janvier 1776, décédé en 1784), qui est reproduite ci-dessous et figure dans les collections du musée, ait pu être conservée dans sa famille. »
Cette illustration que vous reproduisez aimablement, réalisée par mes soins est donc bien la Croix de l’ordre du Saint Esprit, décerné à Monseigneur de Coëtlosquet (promu le 1er janvier 1776, décédé en 1784).
Ce peut-être une version destinée aux religieux ce qui pour ma part relit le pouvoir temporel et spirituel.
Très respectueusement.
Louis Chiren
Merci de votre intérêt suivi pour nos actions et plus particulièrement en ce jour de votre long commentaire ci-dessus.
Comme le dernier des serviteur
Contre la lèpre de nos peurs
A la suite de Jean votre aimé
Dont la tête sur votre cœur reposa
Ô notre doux Seigneur
Hâtez le miracle sauveur
Ainsi le mande le boiteux
« Le dimanche 10 mars 1793, à Paris, l’assemblée révolutionnaire de la Convention décrète la levée en masse de 300 000 hommes pour protéger les frontières. Cette mesure entraîne aussitôt le soulèvement des paysans de Vendée…
Le soir même, à l’instigation de Danton « Soyons terribles pour dispenser le peuple de l’être », elle institue un Tribunal criminel extraordinaire, plus tard appelé Tribunal révolutionnaire, pour « juger sans appel et sans recours les conspirateurs et les contre-révolutionnaires ».
Un tribunal d’exception avait déjà été institué pour juger les « conspirateurs du 10 août 1792 »
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mais dissous le 29 novembre 1792, une fois sa tâche accomplie.
Le nouveau tribunal va devenir l’outil de la Terreur jusqu’à la chute de Robespierre. Il compte cinq juges, douze jurés, un accusateur public et deux substituts nommés par l’Assemblée. Il s’installe dans la Grande Chambre de l’ancien Parlement, dissous en 1790, sur l’île de la Cité, à l’emplacement de l’actuel Palais de Justice.
L’accusateur public Fouquier-Tinville use de son autorité pour envoyer à la guillotine aussi bien d’innocents suspects que Charlotte Corday, meurtrière de Marat, l’ex-reine Marie-Antoinette ou des chefs de la Révolution comme ses propres amis Danton, Robespierre et même son cousin Camille Desmoulins……. »
Hervé Volto, CJA. LA MISSION DIVINE DE LA FRANCE
« …Les premiers Évangélistes qui apportent à la Gaule « la bonne Nouvelle » sont Sainte Marie Madeleine, Sainte Marthe et Saint Lazare. Lazare, image de la résurrection de la France… »
Je comprends mieux le choix de Saint Lazare mais n’oubliez pas la colombe de l’Esprit Saint, c’est elle qui domine et annonce la victoire par le vert de l’espérance.
Merci pour ces riches informations. Nous œuvrons tous à notre place. J’ignorai certaines choses. Les rapprochements ne sont pas anodins.
Il faut rappeler qu’au delà des considérations intellectuelles, au delà des brillants esprits qui nous éclairent, ce combat est avant tout le combat des cœurs aimants de la Croix et du Lys qui ne font qu’un. C’est le combat de la prière pour les Cœurs Sacrés.
Les petits ont leur place, le Christ nous l’a démontré par son exemple. Notre armée est grande et belle.
Merci pour tout, la véritable noblesse est celle du cœur, pas de privilège si ce n’est celui de servir et d’essayer autant que possible de donner l’exemple.
« Gesta Dei per Francos »
Mais croyez bien que vos appréciations nous sont également précieuses.