Souvent de très mauvais goût: on ne dénude pas ses bras lorsque les chairs sont flasques. On ne porte pas de jupes aussi courtes car comme la terre entière l’a maté, on a « presque » vu sa culotte alors qu’elle était assise, dans un truc officiel, à écouter je ne sais qui. Entre Mélania Trump https://fr.wikipedia.org/wiki/Melania_Trump et la Macron https://fr.wikipedia.org/wiki/Brigitte_Macron, un monde les sépare et ce monde s’appelle le bon goût ! Pour une fois il n’est pas du côté français mais Mélania sauve la mise, elle est européenne.
http://www.maquillage.com/2020-pour-les-tenues-de-notre-premiere-dame/3/
Encore belle femme pour son age, un peu maigrelette, notre bonne Première Dame : elle pense pouvoir encore faire la jeune avec des mises voyantes, comme à l’époque où elle était d’un grande beauté naturelle, comme sa fille Typhaine aujourd’hui.
Cessons de tirer à boulet rouges sur Madame : ce qui est scandaleux ce n’est pas son abscense manifeste de bon gout, mais la politique scandaleuse de son mari, dont il ne feut cesser, à l’immage du CER, de démasquer l’imposture.
LES FOUS DU ROIS savent très bien quand à eux que le Fantôme du Louvre est assis serainement dans la pénombre sur un siècge avec des accoudoirs, regardant sur son écran les évènements avec le même détachement de quelqu’un qui regarderait un match de foot, fumant un bon havanne dont la fumée s’accumule au plafond, déborde par une fenêtre ouverte pour aller s’ajouter aux nuages menaçant qui s’amoncellent dangereusement au-dessus de la France !
Et qu’il n’a plus qu’à attendre. Un étincelle…
En attendant que Madame ose le Tailleur-Pantalon Chanel qui lui irait très bien et mettrait -ùéfiez-vous, Madame !- sa taille fine à l’honneur, il ne faut cesser de démasquer SANS RELACHE la scandaleuse politique anti-Française et anti-Catholique de son PETIT maCrON de mari que les Français ont fait l’erreur de porter à la Magistrature Suprême.
Que les citoyens encore Catholiques et Français prient pour une France qui n’en a jamais eu autant besoin et que Monsieur le Président s’achète un parapluie : les nuages s’amoncellent…