Samedi 6 janvier 2017.
Bonjour M. Gaudin,
Le contenu de votre commentaire du paru en réaction à l’article
Coignard – Retour des djihadistes : le concert des belles âmes nous a été signalé comme abusif.
Après lecture et analyse attentive par l’équipe de modération, il a été décidé de le retirer du site en raison de sa non-conformité avec la
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Pour rappel, voici votre contribution :
« Nous sommes en guerre » ont clamé les dirigeants, sans demander aux électeurs s’ils étaient d’accord pour faire la guerre. De plus personne n’a désigné l’ennemi autrement que par : « le terrorisme ». Des Français musulmans ont pris le parti de DAESH. DAESH a perdu la confrontation guerrière et les musulmans avec DAESH. A mon avis il faut les considérer comme des prisonniers de guerre et leur laver le cerveau, comme cela a été fait en Allemagne avec les SS et membres du parti NAZI. Il ne faut pas traiter en ennemis des vaincus prêts à prendre notre parti.
Le pseudo-débat sur le retour des djihadistes français est surréaliste tant devient chaque jour plus difficile le grand écart de nos dirigeants politiques entre l’avis du pays réel et celui des idéologues. Si François Hollande et ses gouvernements avaient suivi les avis du Conseil dans l’Espérance du Roi en leur temps, nous n’en serions pas là.
Pour nous, il s’agissait de considérer tout simplement que ces hommes et ces femmes, partis faire le djihad (guerre dite sainte) aux côtés des terroristes islamistes de Daesh étaient des traîtres ayant épousé la cause des ennemis de notre pays au point de revenir parfois y fomenter des attentats meurtriers et, en tout cas, de soutenir ceux qui brisaient des vies innocentes chez nous. De ce seul fait, ces hommes et ces femmes s’excluaient de la communauté nationale et il devenait non seulement logique mais nécessaire de les déchoir de leur éventuelle nationalité française (nous ne discuterons pas ici des condition laxistes de l’attribution de celle-ci…).
Ils seraient devenus ainsi des étrangers, interdits de séjour qui plus est, et nulle question ne se poserait plus quant à leur prétendu « retour ». Il va de soi que cette décision se serait appliquée à l’ensemble du noyau familial (père, mère et progéniture).
Alors qu’aujourd’hui d’aucun osent évidemment, au nom de principes humanitaires que ces monstres ignorent, prétendre qu’il faut savoir « passer l’éponge », tenter de les « déradicaliser » et, en tout cas, accueillir leurs enfants « innocents » qui sont…Français ! ON MARCHE SUR LA TÊTE.