Serie noire . L’AF 2000 cesse de paraître. Et si les royalistes décidaient de ne promouvoir que Dieu seul. – Charte de Fontevrault et Royalisme providentialiste
Il existe une ACTION FRANCAISE qui, à la différence du Cercle Royaliste d’Action Française, de la Nouvelle Action Royaliste et de la Restauration Nationale, n’est pas exclusivement Orléaniste et laisse humblement à Dieu le choix du Roi à venir : c’est la CONTRE-REFORM CATHOLIQUE de l’Abbé Georges de Nantes.
Né à Toulon le 3 avril 1924 et mort à Saint-Parres-lès-Vaudes le 15 février 2010, plus connu sous le nom de l’Abbé de Nantes, c’est un prêtre Catholique tradii fondateur de la Ligue de la Contre-Réforme catholique. Frappé de suspense a divinis par les autorités de l’Église catholique, il a néanmoins poursuivi ses activités pastorales au sein de sa communauté. Il a également rédigé plusieurs essais.
L’Abbé de Nantes est né à Toulon dans une famille Catholique proche de l’Action Française. Son père Marc de Nantes est officier de marine. Il étudie six ans chez les pères maristes de Toulon, puis chez les Jésuites de Brest, suite à une mutation de son père.
En juin 1942, il entre aux Chantiers de la jeunesse du général de la Porte du Theil comme engagé volontaire. Il les quitte pour rejoindre le séminaire sulpicien d’Issy-les-Moulineaux en octobre 1943.
Il rejoint finalement le séminaire des Carmes en 1946. Il est ordonné prêtre le 27 mars 1948 par Mgr Caillot, évêque de Grenoble.
À la fin de ses études, le jeune abbé de Nantes prépare une thèse dans laquelle il propose ce qu’il appelle une « métaphysique relationnelle » selon laquelle la personne humaine se définit moins par son individualité que par ses relations de filiation et d’appartenance à des communautés familiales, sociales, nationales, de civilisation et naturellement, ecclésiales. Son projet intellectuel est de donner un fondement anthropologique chrétien aux choix politiques et sociaux contre-révolutionnaires, ceux de Charles Maurras en particulier. L’abbé de Nantes enseigne la philosophie et la théologie au noviciat des Frères missionnaires des campagnes. En même temps, sous le pseudonyme d’Amicus, il rédige des écrits polémiques et politiques dans l’hebdomadaire maurrassien ASPECT DE LA FRANCE. En 1950, il est exclu de sa charge d’enseignement à cause de ses prises de position politiques qui défendent le pétainisme.
Lors de la guerre d’Algérie, l’abbé de Nantes prend ouvertement position pour l’Algérie française, écrivant sous son nom dans la revue L’ORDRE FRANCAIS. Il est alors, comme Jean Ousset et la Cité Catholique, sur une ligne « National-Catholique » qui voit dans la guerre d’Algérie un combat de la civilisation chrétienne.
Mais on connait l’Abbé de Nantes pour ces 150 point de la Phalenge, Catholique, Royaliste, Communautaires (communautarisme Chrètien) qui définissent une action Catholique et Française, Royaliste et Providentialiste, laissant humblement à Dieu le choix du Roi à venir car « choisir son Prince, c’est déjà être républicain ! »…
Oui ! A partir ds enseignements de l’Abbé de Nantes, il est possible à des Royalistes, et même à des maurrassiens, de promouvoir Dieu seul, le Roi de France à venir, qui qu’il sera, n’étant que Son Lieutenant…
Le Prince Sixte-Henri de Bourbon-Parme prète son chateau de Lignères pour les univesrités d’été de l’AF et aide beaucoup les jeunes maurrassiens du Lys Noir. Si l’Action Française le lui demendait gentiement, nulle doute que le Prince serait -tel que je le connait personnellement- heureux de contribuer à la relance de l’Action Française 2000.
Une idée pour le prochain numéro à paraître -demeurons confiant en la Divine Providence !- une grande interwiew du Prince et sa vision politique pour la France…
J’ai bien peur que la mise à disposition quelques jours par an du château de Lignères ne suffise pas à résoudre les problêmes structurels de fonctionnement de l’AF 2000.
Il existe une ACTION FRANCAISE qui, à la différence du Cercle Royaliste d’Action Française, de la Nouvelle Action Royaliste et de la Restauration Nationale, n’est pas exclusivement Orléaniste et laisse humblement à Dieu le choix du Roi à venir : c’est la CONTRE-REFORM CATHOLIQUE de l’Abbé Georges de Nantes.
Né à Toulon le 3 avril 1924 et mort à Saint-Parres-lès-Vaudes le 15 février 2010, plus connu sous le nom de l’Abbé de Nantes, c’est un prêtre Catholique tradii fondateur de la Ligue de la Contre-Réforme catholique. Frappé de suspense a divinis par les autorités de l’Église catholique, il a néanmoins poursuivi ses activités pastorales au sein de sa communauté. Il a également rédigé plusieurs essais.
L’Abbé de Nantes est né à Toulon dans une famille Catholique proche de l’Action Française. Son père Marc de Nantes est officier de marine. Il étudie six ans chez les pères maristes de Toulon, puis chez les Jésuites de Brest, suite à une mutation de son père.
En juin 1942, il entre aux Chantiers de la jeunesse du général de la Porte du Theil comme engagé volontaire. Il les quitte pour rejoindre le séminaire sulpicien d’Issy-les-Moulineaux en octobre 1943.
Il rejoint finalement le séminaire des Carmes en 1946. Il est ordonné prêtre le 27 mars 1948 par Mgr Caillot, évêque de Grenoble.
À la fin de ses études, le jeune abbé de Nantes prépare une thèse dans laquelle il propose ce qu’il appelle une « métaphysique relationnelle » selon laquelle la personne humaine se définit moins par son individualité que par ses relations de filiation et d’appartenance à des communautés familiales, sociales, nationales, de civilisation et naturellement, ecclésiales. Son projet intellectuel est de donner un fondement anthropologique chrétien aux choix politiques et sociaux contre-révolutionnaires, ceux de Charles Maurras en particulier. L’abbé de Nantes enseigne la philosophie et la théologie au noviciat des Frères missionnaires des campagnes. En même temps, sous le pseudonyme d’Amicus, il rédige des écrits polémiques et politiques dans l’hebdomadaire maurrassien ASPECT DE LA FRANCE. En 1950, il est exclu de sa charge d’enseignement à cause de ses prises de position politiques qui défendent le pétainisme.
Lors de la guerre d’Algérie, l’abbé de Nantes prend ouvertement position pour l’Algérie française, écrivant sous son nom dans la revue L’ORDRE FRANCAIS. Il est alors, comme Jean Ousset et la Cité Catholique, sur une ligne « National-Catholique » qui voit dans la guerre d’Algérie un combat de la civilisation chrétienne.
Mais on connait l’Abbé de Nantes pour ces 150 point de la Phalenge, Catholique, Royaliste, Communautaires (communautarisme Chrètien) qui définissent une action Catholique et Française, Royaliste et Providentialiste, laissant humblement à Dieu le choix du Roi à venir car « choisir son Prince, c’est déjà être républicain ! »…
Oui ! A partir ds enseignements de l’Abbé de Nantes, il est possible à des Royalistes, et même à des maurrassiens, de promouvoir Dieu seul, le Roi de France à venir, qui qu’il sera, n’étant que Son Lieutenant…
Le Prince Sixte-Henri de Bourbon-Parme prète son chateau de Lignères pour les univesrités d’été de l’AF et aide beaucoup les jeunes maurrassiens du Lys Noir. Si l’Action Française le lui demendait gentiement, nulle doute que le Prince serait -tel que je le connait personnellement- heureux de contribuer à la relance de l’Action Française 2000.
Une idée pour le prochain numéro à paraître -demeurons confiant en la Divine Providence !- une grande interwiew du Prince et sa vision politique pour la France…
J’ai bien peur que la mise à disposition quelques jours par an du château de Lignères ne suffise pas à résoudre les problêmes structurels de fonctionnement de l’AF 2000.
Lignières, c’est fini depuis longtemps. Faut télécharger la mise à jour.
En effet, le camp Maxime Real del Sarte (CMRDS) ne semble s’être tenu au château de Lignières(Cher) que de 2002 à 2010. http://fr.metapedia.org/wiki/Camp_Maxime_Real_del_Sarte.