Le Figaro 9 juin 2018 P. 12
http://carnet.charentelibre.fr/deces/henry-de-la-fonchais/53693104?from_mobile=1
https://www.dansnoscoeurs.fr/henry-de-la-fonchais/2436598
http://carnet.sudouest.fr/deces/henry-de-la-fonchais/53693103
Angélique–Françoise Desilles, dame de La Fonchais, sœur d’André Desilles, le héros de Nancy, née à Saint–Malo le 16 mai 1769. Elle fut guillotinée, le 13 juin 1793, en même temps que son beau–frère Michel–Julien Picot de Limoëlan. La sœur d’André Desilles mourut avec un admirable courage
« Douze des conjurés (NDLRB. Conjuration de La Rouerie) dont Thérèse de Moellien et Angélique de la Fonchais ( cette dernière innocente ayant refusé de dénoncer sa soeur enceinte pour se sauver) furent condamnées à être décapitées. La sentence devait être exécutée le jour même 18 juin 1793 à trois heures de l’aprés-midi. Les amazones de la chouannerie; P. 101 et 102. https://books.google.fr/books?id=8hXNBMmjpegC&pg=PA100&lpg=PA100&dq=la++fonchais+guillotin%C3%A9e&source=bl&ots=-zTekYVHGt&sig=yTWhviV1Iy6Mw0GMtbR0mqb8s1E&hl=en&sa=X&ved=0ahUKEwipzbXalsnbAhUDWBQKHaxVAfQ4ChDoAQgwMAI#v=onepage&q=la%20%20fonchais%20guillotin%C3%A9e&f=false
En 1793, sous la révolution, se déroulera l’époque la plus dramatique de cette demeure. Marc Desilles Michel de Cambernon, qui avait hérité du domaine par son épouse (petite-fille d’Olivier Trublet), qui devient le trésorier de l’association de la « Conjuration Bretonne », fondée par Armand Truffin, Marquis de la Rouërie. Parmi les amis et membres de l’association, le docteur Chevetel, très proche de Danton, les trahira. La plus jeune fille de la maison, Angelique Desclos de la Fonchais, jeune mère de deux enfants y fut arrêtée avec les conjurés et conduit à Paris pour y être guillotinés. Son père Marc Desilles arriva à s’enfuir en passant par la « Ville Bague » pour rejoindre Jersey où il mourra un an plus tard. http://www.saintcoulomb-tourisme.fr/malouiniere-de-la-fosse-hingant
pardon de faire long mais… l’exemple des familles de La Fonchais et de la Rouerie doit nous ramener aux fondamentaux. Depuis la chute de la Monarchie Légitime en 1830, à la suite de Bossuet, Bonald, Maîstre, les vrais Royalistes maintienent et manifestent LE PRINCIPE ROYAL qui est que LE ROI EST LA SEULE AUTORITE LEGITIME EMANANT DE DIEU. Car l’un d’eux, Maurice d’Andigné, a dit :
-C’est à la Légitimité Catholique et Royale que nous devons revenir… ce ne sont pas les hommes, si éminants soient-ils, qui sauvent un pays, ce sont les insitutions.
Car le Roi de France n’est pas un Roi comme les autres : c’est le Lieutenant du Christ sur Terre (Romains 13:1-2), tel un nouveau Constantin. La France n’est pas un pays comme les autres : c’est la Fille Aînée de l’Eglise et l’Educatrice des Peuples. La Révolution dite Française n’est donc pas autre chose qu’une oeuvre satanique ayant pour but la déchristianisation de la France, “nation des Francs qui a Dieu pour fondateur”.
Le retour à une vraie politique Catholique commencera par la famille et l’éducation.
La Noblesse, c’est la reconnaissance publique du rôle social de la famille. Voulue Chrétienne.
La Royauté, c’est le couronnement de la famille et de l’Etat. Voulus Catholiques.
Le Royalisme en France, c’est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d’expension-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l’idée : tout le contraire de l’actuel euro-mondialime islamisant ! C’est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c’est mourir pour le Salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionaire. C’est, enfin, face à la masse, l’affirmation de la personne… voulue Chrétienne.
Si notre Royalisme inspire en France le Légitimisme et ces néo-Légitimismes que sont le Survivantisme, le Parmisme et le Providentialisme -le principe est le même, seul change le Prince- ce même Royalisme inspire à l’étranger le Carlisme espagnol, parmesan, et latino-américain, le Miguélisme portugais et brésilien, le Néo-Bourbonisme napolitain, le Jacobitisme écossais et irlandais, le Magyarisme hongrois, le Monarchisme polonais et le Hiérosolymitisme de Terre Sainte et des pays de l’ex-Empire Latin de Constantinople : le principe demeure le même.
Des Orléanistes convaincus mais authentiquement Catholiques comme le furent un Charles Péguy ou, plus près de nous, un François-Marie Algould, peuvent rejoindre notre discourt. Notre Charte de Fontevrault entend rassembler des Royalistes DE TOUT TENDANCE. Lur point commun : l’amour pour la France et le Roi.
L’intéret pour la Monarchie augmente à mesure que la Ripoux-blik éloigne la France du Bien Commun, et il convient, DANS L’ATTENTE DU PRINCE, de SERVIR LE PRINCIPE !
Pour servir d’exemple aux autres pays Catholiques…
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