Nous venons de rencontrer une amie qui nous a fait cet aveu navré . Je vais cesser d’assister aux messes (NDLRB . Célébrées en rite ordinaire). Il ne s’y passe rien ( NDLRB. Je suppose qu’elle a voulu dire : rien de transcendant, parce que pour les manifestations humaines et ordinaires , ce serait plutôt le trop plein).
Et voilà que maintenant non content de communier à la Mac do – c’est à dire à la chaine et sans marque de respect excessif envers le fils de Dieu que l’on reçoit- le temps consacré au serrage de mains-baiser de paix , et parfois trés loin en descendant la nef, est assez nettement supérieur à celui pendant lequel est opérée la Consécration et Transubstantiation ( Voire ci-dessus la pieux dessin de Maître Louis Chiren à qui nous demandons bien humblement pardon de diffuser ces oeuvres sans y avoir été expressement autorisé par lui.).
Et comme si tout cela ne suffisait pas voici que les prêtres consacrent une hostie d’une taille de plus en plus inaccoutumée ( Voir ci-dessus) . Si l’on respectait les proportions Hostie /Calice comme le font , par exemple , les armoiries de la province espagnole de la Galice ci-dessous. le Calice pourrait avoir l’apparence d’un petit arrosoir, mutatis mutandis.
Et si comme tout cela ne suffisait pas ; après la Consécration , le prêtre fracture en plusieurs morceaux la grande hostie qu’il place avec la réserve eucharistique du Ciboire destinée à la communion des fidèles. Or il arrive souvent que le micro placé sur l’autel de façon à ce que les fidèles puissent mieux entendre les paroles du célébrant soit d’une telle sensibilité qu’il retransmette plusieurs horribles craquements résultant de la fraction de la grande hostie de Consécration. Tout ceci ne prépare pas au mieux le fidèle à la Communion.
Vraiment , après toutes ces horreurs tout ceci nous donne envie de relire les paroles du Lauda Sion telles qu’elles nous ont été léguées par Saint Thomas d’Aquin. https://fr.wikipedia.org/wiki/Lauda_Sion
- « Loue, Sion, ton Sauveur, loue ton chef et ton pasteur par des hymnes et des cantiques.
- Ose de tout ton pouvoir, car il est plus grand que toute louange et à le louer tu ne suffis pas.
- Un thème de louange spéciale, le pain vivant et vivifiant, aujourd’hui nous est proposé.
- Lors du repas de la sainte Cène, au groupe des Douze ses frères, il fut donné, n’en doutons pas.
- Que la louange soit pleine, qu’elle soit sonore, qu’elle soit joyeuse, qu’elle soit belle, la jubilation de l’esprit.
- Car nous vivons ce jour solennel qui de cette table entend célébrer l’institution première.
- À cette table du nouveau Roi, la nouvelle Pâque de la nouvelle Loi met un terme à la phase ancienne.
- La nouveauté chasse la vieillerie, la vérité l’ombre, la lumière dissipe la nuit.
- Ce que fit le Christ à la Cène, il nous ordonna de le faire en mémoire de lui.
- Instruits par ses saints préceptes, nous consacrons le pain et le vin, en offrande sacrificielle pour le salut.
- Ce dogme est donné aux chrétiens : le pain se change en chair, et le vin en sang.
- Ce que tu ne comprends ni ne vois, une ferme foi te l’assure, hors de l’ordre naturel.
- Sous diverses espèces, signes seulement et non réalités, des réalités sublimes se cachent.
- La chair est une nourriture, le sang un breuvage, pourtant le Christ total demeure sous l’une et l’autre espèce.
- On le prend sans le déchirer, ni le briser, ni le diviser, il est reçu tout entier.
- Un seul le prend, mille le prennent, autant celui-ci, autant ceux-là le consomment sans le consumer.
- Les bons le prennent, les méchants le prennent, mais pour un sort inégal, ici de vie, là de ruine.
- Il est mort aux méchants, vie aux bons : vois d’une même manducation combien l’issue est dissemblable !
- Le sacrement enfin rompu, ne vacille pas, mais souviens-toi qu’il est sous chaque fragment comme sous le tout il se cache.
- Nulle division n’est réalité, le signe seulement se fractionne, et par là, de ce qui est signifié ni l’état ni la stature n’est amoindri.
- Voici le pain des anges fait aliment des voyageurs, vrai pain pour les fils, à ne pas jeter aux chiens.
- D’avance il est signifié en figures, lorsqu’Isaac est immolé, que l’agneau pascal est sacrifié, que la manne est donnée à nos pères.
- Bon Pasteur, vrai pain, Jésus, aie pitié de nous ! Toi, nourris-nous, défends-nous ! Fais-nous voir nos biens dans la terre des vivants.
- Toi qui sais et peux tout, qui nous nourris ici-bas mortels, rends-nous là-haut les commensaux, cohéritiers et compagnons de la cité des :saints.
- Amen ».
- Alain TEXIER.
» Voire ci-dessus le pieux dessin de maître Louis Chiren à qui nous demandons bien humblement pardon de diffuser ses oeuvres sans y avoir été expressément autorisé par lui ».
Ne vous excusez pas il me semble que nous collaborons pour une oeuvre commune depuis un certain temps.
Mon travail est pour Dieu la France et le roi.
Sur quel autre portail plus indiqué que la Charte de Fontevrault pourrait-il être mis en lumière ?
Aussi utilisez les images de mes oeuvres à votre bon coeur, nous menons un combat commun, je ne vis pas de mes oeuvres mais elles doivent vivre pour cette cause !
Les protections qui les encadrent visent à ce qu’elles ne soient pas détournées de leur sens et qu’elles me soient bien rattachées en tant qu’auteur.
Voici une version plus nette ci-dessous.
En grande union de prière au pied du Saint Sacrement !
https://i.imgur.com/SOeATze.jpg
Merci, Maître, de votre grand délicatesse et de votre lumineux talent.
https://i.imgur.com/o78xMcH.jpg
En ce 13 octobre 2018 anniversaire de la dernière apparition de Notre Dame du Rosaire à FATIMA où devait se manifester aux yeux de tous le miracle du soleil, le plus grand miracle du XXème siècle ! (nous montrant au passage qui est la véritable lumière de ce monde).
Que ce XXIe siècle par la grâce de Dieu nous donne à voir le grand miracle si longtemps espéré en nous donnant le roi du Sacré-Cœur.
J’ai créé cette œuvre le 3 juillet 2016. A cette date Hugues Capet était sacré roi des Francs en 987. Le 3 juillet 1315 Louis X, dit le hutin interdisait l’esclavage dans le royaume : « selon le droit de nature, chacun doit naître franc ». Le 3 juillet 1423 Louis XI naissait à Bourges, surnommé « l’universelle aragne ». Je l’achevais le 4 juillet pour la sainte Élisabeth, reine du Portugal, devenue veuve elle entrera en religion et mourra en 1336.
Nous pensons à madame Élisabeth dont la cause de béatification a été ouverte en 1953 par le cardinal Feltin, réactivée en 2016 et soutenue en 2017.
Avant d’être guillotinée elle rédigera cette prière à la prison du Temple : « Que m’arrivera-t-il aujourd’hui, ô mon Dieu, je l’ignore. Tout ce que je sais, c’est qu’il ne m’arrivera rien que Vous ne l’ayez prévu de toute éternité. Cela me suffit, ô mon Dieu, pour être tranquille. J’adore vos desseins éternels, je m’y soumets de tout mon cœur. Je veux tout, j’accepte tout, je Vous fais un sacrifice de tout ; j’unis ce sacrifice à celui de votre cher Fils, mon Sauveur, Vous demandant, par son Sacré-Cœur et par ses Mérites infinis, la patience dans mes maux et la parfaite soumission qui Vous est due pour tout ce que Vous voudrez et permettrez. Ainsi soit-il. »
Cette prière de la princesse a me semble-t-il d’étranges similitudes avec la prière d’abandon du père de Foucauld apôtre du Sacré-Cœur qui devait mourir sous la balle d’un bédouin, le 1er décembre 1916 dans son fortin de Tamanrasset.
De Marie-Julie Jahenny:
« Je viendrai le placer au milieu de mon cœur. Mon cœur sera au milieu de la patrie, son courage sera inébranlable. L’innocence et la blancheur ont flotté à sa naissance et flotteront sur les cendres de son tombeau. Les jours d’orage et de deuil ne sont pas passés, je vous garderai et vous protégerai, ne craignez rien. »
Notre dame le 3 juillet 1874
Mystère de l’incarnation
Devant votre Cœur Sacré
Que tout genou fléchisse
Tant aux cieux que sur terre
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Tu n’adoreras que Dieu seul
Rappelons-nous cette vérité
Et songeons au passé
Afin que la mémoire perdure
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Sic transit gloria mundi
Belle locution latine
Antique pratique romaine
Pour le général vainqueur
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Un esclave à ses côtés
Rappelle-toi que tu dois mourir
Vanité toute humaine
Nous ne sommes que poussière
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L’Eglise repris ce rite
Pour le pontife souverain
Lors de son intronisation
Un moine brûlant l’étoupe
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Ainsi passe la gloire du monde
Car le couronné doit servir
Qu’il soit pape ou roi sur terre
Les honneurs vont au Ciel
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Nous espérons le Lys
Et la clémence du Christ
Nous sommes dans sa main
Que votre gloire se manifeste
https://louischiren6.wixsite.com/peintreetpoete/sic-transit-gloria-mundi
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