0 thoughts on “A propos de la pédophilie; attention danger.”
Irène Pincemaille
A-T-ON JAMAIS VU UN ENFANT CONSENTANT POUR ÊTRE VIOLÉ ??? !!!
AUX FOUS !!!
Dans ce gouvernement, il n’y a personne pour élever le niveau : tous (et peut-être les femelles encore pire ! – je refuse d’appeler ça des femmes) SONT BONS POUR LA POUBELLE !
Allez, je vais au bout de ce que je pense depuis bien longtemps : Á QUAND UN COUP D’ÉTAT ? genre « coup de pied dans la fourmilière » !
Amitiés.
D’acordissimo con irène ! La société dans laquelle vivait Jésus accordait peu d’importance au statut des enfants. Sur le plan des droits, leur position n’était guère différente de celle des serviteurs. Pourtant Jésus affirme dans l’Evangiler de Mathhieu que quiconque reçoit un enfant, il lui donne de l’attention en son nom, sera considéré comme s’il avait accueilli le Seigneur lui-même.
Notez que Jésus parle de l’accueil fait à un enfant comme celui-ci. Le mot ‘comme’ laisse sous-entendre que le Seigneur passe du sujet de l’enfant selon la chair à une catégorie de gens que l’enfant représente maintenant. Cette catégorie comprend nul doute les enfants dans le sens littéral mais aussi ceux qui sont des enfants selon l’esprit. Ces personnes qui ont accepté de prendre humblement la position d’un enfant sont les disciples de Christ. Elles sont désignées par la phrase ces petits qui croient en moi. Ainsi chaque fois que nous traitons un frère ou une sœur avec amour, c’est comme si nous le témoignons à Christ. Cette idée rejoint les paroles de Jésus en Matthieu 25:40: « Amen, je vous le dis, dans la mesure où vous avez fait cela pour l’un de ces plus petits, l’un de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait ».
Le verset suivant est clAIR. Matthieu 18:6 : « Mais, si quelqu’un scandalisait un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on suspendît à son cou une meule de moulin, et qu’on le jetât au fond de la mer ».
Nous savons que les enfants sont importants aux yeux de Dieu… Mais en quoi font-ils spécifiquement partie du plan divin ? Quel regard porte la Parole de Dieu sur les enfants ? Apprenons à aimer et à regarder les enfants comme Dieu les aime et les considère !
La place des enfants dans le projet de Dieu
• Les enfants faisaient partie du projet de Dieu pour l’humanité au commencement.
Le premier chapitre de la Bible nous montre que Dieu voulait que l’homme et la femme soient féconds, multiplient et remplissent la terre. Cela signifie que la venue au monde d’enfants faisait partie du projet de Dieu dès le commencement (Génèse Cahpitre 1).
Les enfants sont une bénédiction de Dieu. En donnant aux humains de pouvoir multiplier, Dieu leur accorde la grâce extraordinaire de mettre au monde des êtres qui sont des images de Dieu.
• Dieu est impliqué dans la conception et la naissance des enfants.
Dans le Psaume 139, David médite sur la manière dont Dieu l’a formé alors qu’il était dans le ventre de sa mère. Notre Seigneur est celui qui donne la vie aux enfants. Eve s’est écriée de façon émerveillée lors de la naissance de son premier fils : « J’ai mis au monde un homme avec l’aide de l’Eternel. » (Genèse 4.1). AVORTER EST DONC UN CRIME CONTRE DIEU !
• Dans le projet de Dieu, les enfants étaient censés… grandir !
La mission de l’humanité est de remplir la terre et de la soumettre. Cette œuvre ne pourra pas être accomplie par des enfants : l’enfant est donc appelé à grandir pour que le dessein de Dieu s’accomplisse ! La Bible ne fait pas de l’enfance une valeur pour elle-même (comparez 1 Corinthiens 13.11 et l’idéal de Peter Pan de ne jamais grandir !).
Nous trouvons un modèle dans ce qui est dit de Jésus enfant dans l’Evangile : « Et Jésus croissait en sagesse, en stature et en grâce, devant Dieu et devant les hommes. » (Luc 2.52) L’enfant doit croître et se développer dans tout ce qu’il est (physiquement, spirituellement, socialement, etc.).
Les enfants et le péché
• L’entrée du péché dans le monde a eu des conséquences terribles pour bien des enfants.
Nos journaux télévisés nous racontent trop souvent des histoires abominables d’enfants victimes de pédophilie. Quant aux organisations humanitaires, elles ont tant de choses à dire sur le drame de la pauvreté et des injustices subies par les enfants… « Mais, si quelqu’un scandalisait un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on suspendît à son cou une meule de moulin, et qu’on le jetât au fond de la mer » (Matthieu 18:6) !
La Bible parle aussi de ces choses. Elle évoque par exemple le massacre des enfants de Bethléhem par le roi Hérode (Matthieu 2.16-18), celui de femmes enceintes (cf. Amos 1.13), ou la condition des orphelins (cf. Psaume 68.6). Il est aussi question de la coutume atroce des sacrifices humains à de faux-dieux qui semblent avoir été dans certains cas des sacrifices d’enfants (cf. Jérémie 19.5 ou 2 Rois 17.17).
• La Bible nous parle aussi du péché des enfants.
L’Ecriture n’idéalise pas les enfants comme nous sommes souvent portés à le faire. David se confesse pécheur dès le sein de sa mère (Psaume 51.5), l’homme est disposé au mal dès sa jeunesse (Genèse 8.21).
Nous nous émerveillons souvent à bon droit de l’intelligence et de la créativité des enfants. Mais cela ne doit pas nous faire oublier la constatation sobre et pleine de bon sens de l’auteur biblique : « La folie est attaché au cœur de l’enfant ; la verge de la correction l’éloignera de lui. » (Proverbes 22.15)
Dieu donne un avenir aux enfants
• La Bible nous permet de regarder en face la situation des enfants par rapport au péché. En même temps qu’elle nous montre la réalité, elle nous donne de l’espérance.
Quand Jésus est entré dans le temple, il a été acclamé par les pauvres et par les enfants (Matthieu 21.14-15). Dieu se révèle parfois d’une manière toute particulière aux enfants et il accueille leur louange. Il ne faut surtout pas les empêcher de venir à Jésus (cf. Marc 10.13-16).
Le péché a gravement abîmé la création de Dieu, mais ne l’a pas détruite : l’homme est toujours appelé à remplir la terre (voir Genèse 9.1 qui reprend les termes du récit de la création), les enfants sont toujours une bénédiction de Dieu.
• L’enfant est lui aussi le prochain que nous devons aimer comme nous-mêmes.
L’enfant a d’autant plus besoin de notre amour qu’il est plus vulnérable. Nous devons nous engager en sa faveur pour qu’il puisse grandir et vivre le dessein de Dieu à son égard.
Conclusion : Que faire maintenant ?
Quelques suggestions :
• Apprendre à se voir soi-même comme un enfant dans la main de Dieu et méditer sur le fait qu’Il est notre Père. Accepter d’être dépendant de Lui et d’être rassuré par Son soutien et Sa protection (cf. Deutéronome 1.30-31). C’est une étape par laquelle chacun de nous doit passer.
• Dans l’assurance de l’amour du Père, essayer de l’imiter EN PRENANT SOIN DES ENFANTS QUI NOUS ONT ETE CONFIES, dans notre famille et à l’Eglise.
Un coup d’Etat ? Oui, pour restaurer un Etat Catholique et Royal…
Par ses choix, par inclinaison intellectuelle et sociale, Emmanuel Macron semble organiser avec grande détermination la déconstruction de la France : déserts médicaux, culturels, férroviaires, abandons des classes, des personnes agées, des services publics en zone rurales, abandon de l’Outre-Mer, ABANDON DES ENFANTS, etc…
Il lui reste encore quatre ans pour nous convaincre que l’on s’est trompé sur son compte.
Dans l’attente, beaucoups de Français, en ce début de XXI° siècle, ont le sentiment d’appartenir à un groupe victime d’une oppression sans issue. Leur idéal politique Catholique et Royal leur parait tellement desespéré qu’ils en viennent à considérer que seul un cataclysme pourra ouvrir une brèche dans le bétonnage idéologique environnant. Ils se réfugient dans l’attente d’un Grand Soir, un évènement inatendu, imprévisible, spectaculaire, surhumain, et pour tout dire, miraculeux, qui leur apportera la délivrance.
Un homme Providentiel, de Sang Royal ? Une aube Royale ?
PS : pardon Alain, mais je reçoit des tonnes de coup de fil ! Ce sujet est brulant et après celà, JE LAISSERAI LA PAORLE A QUELQU’UN D’AUTRES : DITE CE QUE VOUS EN PENSEZ, COMME NOTRE BONNNE IRENE. Pardon de faire long…
Face à la violence sournoise qui s’exerce partout, contre l’âme de nos enfants, contre les Catholiques, contre les traditions de notre Pays, contre son Histoire, nous Royalistes, nous devons opposer SANS RELACHE nos VALEURS CHRETIENNES, FAMILIALES ET PATRITOTIQUES !
La prière des Providentialistes semble suscité en France une forme concrète d’action Royaliste, celle du Groupe Royaliste d’Initiative et de Proposition Politique (GRIPP). LE BUT DE CE COMMENTAIRE N’EST PAS D’ENVOYER LES ROYalistes s’abonner au GRIPP -On m’en a mal parlé- MIA DE NOUS INSPIRER DE LEURS IDEES POUR METTRE EN PLACE UNE ACTION ROYALISTE A OPPOSER AU REGIME RIPOUX-BLICAIN EN PLACE.
Le GRIPP est un mouvement Royaliste. Cela signifie que son objectif est de favoriser la restauration de la Royauté. Le GRIPP se veut Légitimiste mais s’implique DANS UNE DEMARCHE D’UNIFICATION DE TOUS LES ROYALISTES, sous réserve du respect de quatre conditions :
1) mener un combat contre le mondialisme (moratoire de la dette publique, protection de notre agriculture et de notre industrie, retour au franc et réintégration de la Banque de France dans l’appareil d’Etat (alors qu’elle a été privatisée en 1973), retour à l’étalon or );
2) afficher notre vocation Chrétienne (inscription des préceptes Chrétiens dans la constitution, respect de la vie de la conception à la mort, affirmation de la famille fondée sur le mariage d’un homme et d’une femme, RESPEONSABILITE DES PARENTS POUR L’EDUCATION DE LEURS ENFANTS, soutien politique des communautés Chrétiennes dans les pays où elles sont menacées, liberté religieuse dans les Etats musulmans, politique d’immigration : oui à l’immigration, mais une immigration européenne, de culture Chrétienne. Respecter le principe : « cujus regno, ejus religio »);
3) participer aux luttes que mène le peuple avec les organisations qu’il se donne (le GRIPP recherche l’alliance avec d’autres organisations Royalistes, à condition qu’elles respectent les critères définis ci-dessus. Parallèlement, pour répondre à la grave crise que connaissent les populations, le GRIPP pense utile de prendre des contacts avec des organisations politiques, Royalistes et non Royalistes, pour leur proposer de mettre en place ensemble un « Conseil Français de la Résistance à l’Occupant » (CFRO) sous forme d’un cartel d’organisations);
4) considérer que le changement de pouvoir ne pourra se faire QUE par les élections (Usage de la propagande et de l’agitation. La propagande consiste à diffuser globalement l’ensemble des idées portées par un parti politique relativement au projet de société que celui-ci propose. L’agitation consiste à diffuser un message restreint, souvent formulé à travers un slogan ou un mot d’ordre (tel que, par exemple « pour l’enseignement libre », « non à l’avortement » ou encore « Moratoire de la dette publique », etc) illustrant tel ou tel aspect de la mise en oeuvre du projet de société considéré, ou allant dans le sens de cette mise en oeuvre. L’intérêt de l’agitation réside dans la possibilié de mobiliser de larges masses du fait que l’objectif est limité. La décision a été prise par le GRIPP de conduire son action politique en utilisant d’une manière complémentaire l’agitation et la propagande. La propagande doit se développer à la fois sur un plan général et sous forme de slogans spécifiques. Quant à l’agitation, il paraît judicieux au GRIPP de décliner son combat selon trois axes : un axe spirituel, un axe idéologique et un axe économique).
Confiants en la divine Providence, Légitimistes, Survivantistes, Parmistes et Providentialistes -comme des Orléanistes convaincus mais authentiuement Catholiques- peuvent se positionner dans une telle ligne d’action.
Les exemples de christianophobie ou de déconstruction anthropologiques abondent. C’est actuellement le terrain de lutte privilégié de CIVITAS. Cette organisation a pour objectif de construire en France un lobby Chrétien. A la différences des premiers temps où CIVITAS refusait de choisir entre république et Monarchie, il y a à présent, une forte mobilisation sur le thème Catho Tradi avec, très nettement, un important potentiel de développement Royaliste. De plus en plus ne plus CIVITAS semble rappeler la grandeur de Saint-Louis, la mission miraculeuse de Sainte-Jeanne d’Arc et les paroles du pape Pie Vi rapellant que la Monarchie fut “le meilleur des gouvernements” : une ligne qui incarne le coeur de notre Histoire. Le fait que des slogans tels que « La France est Chrétienne et doit le rester » aient été présentés sur des banderolles lors d’une récente manifestation montre que ce mouvement est naturellement porteur d’une alternative politique. Il ne manque qu’un parti Chrétien pour lui donner clairement cette dimension.
Il faut donc aux Royalistes mener le combat à l’intérieur de ce mouvement pour que celui-ci prenne en charge des mots d’ordre ouvertement anti-républicains.
Parallèlement, pour répondre à la grave crise que connaissent les populations, le GRIPP pense utile de prendre des contacts avec des organisations politiques Catholiques -CIVITAS, donc, mais aussi AGRIFF, Contre-Réforme Catholique et ses phalanges catholiques, Royalistes et Communautaristes (nous parlons de communautarisme Chrétien), associaitions de familles Chrétienne, etc…- et patriotes (CPNT, LIBERTAS, Parti de France, UDN, Alliance Royale) pour leur proposer de mettre en place ensemble le « Conseil Français de la Résistance à l’Occupant » (CFRO) évoqué plus haut, ce sous forme d’un cartel d’organisations. Là aussi, les Royalistes trouveront là une direction politique à suivre pour applanir les chemins du Roi.
Une charte des patriotes existe, celle de Florient Filippot, pour ce qu’elle vaut : dépasser les clivages entre la Droite et la Gauche, se rassembler pour l’indépendance nationale, le progrès social, la solidarité et la promotion du modèle culturel Français.
QUE FAIRE CONCRETEMENT ?
Si un vrai Providentialiste doit recommander ses pas et ses actions à Jésus, Marie et Saint-Michel, les trois vainqueurs de Satan comme les trois Lys de France, priant avant toute rencontre avec d’autres Royalistes, comme tout Royalistes il visera un double objectif :
-Faire d’une part connaître autour de lui les nombreuses activités Catholiques et Royalistes de sa province et en rendre compte: Université d’été, Marche pour la Vie, Veillée pour la famille, Sessions de jeunes, pèlerinages de Chartres, de Paray-le-Monial et de Pontmain, Conférences, Fêtes du livre, etc…
-traiter d’autre part de l’actualité et livrer les informations à la lumière de sa foi Catholique et dans la fidélité à sa tradition nationale.
La Charte de Fontevrault, qui s’en remet à Dieu du point de savoir qui doit être Son lieutenant sur le trône de France, rassemble DEJA des politiciens, des historiens et des pèlerins. Intéressant est le potentiel de Français prêts à entendre un discours spécifiquement royaliste. Ceux-là n’ont jamais milité dans le royalisme, ils n’ont pas du sujet une conception idéologique précise, il y voient l’intérêt institutionnel et national, comme Catholique, avant tout : c’est peut être là qu’il faut chercher…
Voilà ce qu’il advient quand on se passe de Dieu, avec des lois infâmes basées sur un raisonnement humain de surcroît malade et dépravé, laissant la porte à toutes les dérives judiciaires.
A-T-ON JAMAIS VU UN ENFANT CONSENTANT POUR ÊTRE VIOLÉ ??? !!!
AUX FOUS !!!
Dans ce gouvernement, il n’y a personne pour élever le niveau : tous (et peut-être les femelles encore pire ! – je refuse d’appeler ça des femmes) SONT BONS POUR LA POUBELLE !
Allez, je vais au bout de ce que je pense depuis bien longtemps : Á QUAND UN COUP D’ÉTAT ? genre « coup de pied dans la fourmilière » !
Amitiés.
D’acordissimo con irène ! La société dans laquelle vivait Jésus accordait peu d’importance au statut des enfants. Sur le plan des droits, leur position n’était guère différente de celle des serviteurs. Pourtant Jésus affirme dans l’Evangiler de Mathhieu que quiconque reçoit un enfant, il lui donne de l’attention en son nom, sera considéré comme s’il avait accueilli le Seigneur lui-même.
Notez que Jésus parle de l’accueil fait à un enfant comme celui-ci. Le mot ‘comme’ laisse sous-entendre que le Seigneur passe du sujet de l’enfant selon la chair à une catégorie de gens que l’enfant représente maintenant. Cette catégorie comprend nul doute les enfants dans le sens littéral mais aussi ceux qui sont des enfants selon l’esprit. Ces personnes qui ont accepté de prendre humblement la position d’un enfant sont les disciples de Christ. Elles sont désignées par la phrase ces petits qui croient en moi. Ainsi chaque fois que nous traitons un frère ou une sœur avec amour, c’est comme si nous le témoignons à Christ. Cette idée rejoint les paroles de Jésus en Matthieu 25:40: « Amen, je vous le dis, dans la mesure où vous avez fait cela pour l’un de ces plus petits, l’un de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait ».
Le verset suivant est clAIR. Matthieu 18:6 : « Mais, si quelqu’un scandalisait un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on suspendît à son cou une meule de moulin, et qu’on le jetât au fond de la mer ».
QUE DIT LA SAINTE BIBLE AU SUJET DES ENFANTS ?
Pardon de faire long…
Nous savons que les enfants sont importants aux yeux de Dieu… Mais en quoi font-ils spécifiquement partie du plan divin ? Quel regard porte la Parole de Dieu sur les enfants ? Apprenons à aimer et à regarder les enfants comme Dieu les aime et les considère !
La place des enfants dans le projet de Dieu
• Les enfants faisaient partie du projet de Dieu pour l’humanité au commencement.
Le premier chapitre de la Bible nous montre que Dieu voulait que l’homme et la femme soient féconds, multiplient et remplissent la terre. Cela signifie que la venue au monde d’enfants faisait partie du projet de Dieu dès le commencement (Génèse Cahpitre 1).
Les enfants sont une bénédiction de Dieu. En donnant aux humains de pouvoir multiplier, Dieu leur accorde la grâce extraordinaire de mettre au monde des êtres qui sont des images de Dieu.
• Dieu est impliqué dans la conception et la naissance des enfants.
Dans le Psaume 139, David médite sur la manière dont Dieu l’a formé alors qu’il était dans le ventre de sa mère. Notre Seigneur est celui qui donne la vie aux enfants. Eve s’est écriée de façon émerveillée lors de la naissance de son premier fils : « J’ai mis au monde un homme avec l’aide de l’Eternel. » (Genèse 4.1). AVORTER EST DONC UN CRIME CONTRE DIEU !
• Dans le projet de Dieu, les enfants étaient censés… grandir !
La mission de l’humanité est de remplir la terre et de la soumettre. Cette œuvre ne pourra pas être accomplie par des enfants : l’enfant est donc appelé à grandir pour que le dessein de Dieu s’accomplisse ! La Bible ne fait pas de l’enfance une valeur pour elle-même (comparez 1 Corinthiens 13.11 et l’idéal de Peter Pan de ne jamais grandir !).
Nous trouvons un modèle dans ce qui est dit de Jésus enfant dans l’Evangile : « Et Jésus croissait en sagesse, en stature et en grâce, devant Dieu et devant les hommes. » (Luc 2.52) L’enfant doit croître et se développer dans tout ce qu’il est (physiquement, spirituellement, socialement, etc.).
Les enfants et le péché
• L’entrée du péché dans le monde a eu des conséquences terribles pour bien des enfants.
Nos journaux télévisés nous racontent trop souvent des histoires abominables d’enfants victimes de pédophilie. Quant aux organisations humanitaires, elles ont tant de choses à dire sur le drame de la pauvreté et des injustices subies par les enfants… « Mais, si quelqu’un scandalisait un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on suspendît à son cou une meule de moulin, et qu’on le jetât au fond de la mer » (Matthieu 18:6) !
La Bible parle aussi de ces choses. Elle évoque par exemple le massacre des enfants de Bethléhem par le roi Hérode (Matthieu 2.16-18), celui de femmes enceintes (cf. Amos 1.13), ou la condition des orphelins (cf. Psaume 68.6). Il est aussi question de la coutume atroce des sacrifices humains à de faux-dieux qui semblent avoir été dans certains cas des sacrifices d’enfants (cf. Jérémie 19.5 ou 2 Rois 17.17).
• La Bible nous parle aussi du péché des enfants.
L’Ecriture n’idéalise pas les enfants comme nous sommes souvent portés à le faire. David se confesse pécheur dès le sein de sa mère (Psaume 51.5), l’homme est disposé au mal dès sa jeunesse (Genèse 8.21).
Nous nous émerveillons souvent à bon droit de l’intelligence et de la créativité des enfants. Mais cela ne doit pas nous faire oublier la constatation sobre et pleine de bon sens de l’auteur biblique : « La folie est attaché au cœur de l’enfant ; la verge de la correction l’éloignera de lui. » (Proverbes 22.15)
Dieu donne un avenir aux enfants
• La Bible nous permet de regarder en face la situation des enfants par rapport au péché. En même temps qu’elle nous montre la réalité, elle nous donne de l’espérance.
Quand Jésus est entré dans le temple, il a été acclamé par les pauvres et par les enfants (Matthieu 21.14-15). Dieu se révèle parfois d’une manière toute particulière aux enfants et il accueille leur louange. Il ne faut surtout pas les empêcher de venir à Jésus (cf. Marc 10.13-16).
Le péché a gravement abîmé la création de Dieu, mais ne l’a pas détruite : l’homme est toujours appelé à remplir la terre (voir Genèse 9.1 qui reprend les termes du récit de la création), les enfants sont toujours une bénédiction de Dieu.
• L’enfant est lui aussi le prochain que nous devons aimer comme nous-mêmes.
L’enfant a d’autant plus besoin de notre amour qu’il est plus vulnérable. Nous devons nous engager en sa faveur pour qu’il puisse grandir et vivre le dessein de Dieu à son égard.
Conclusion : Que faire maintenant ?
Quelques suggestions :
• Apprendre à se voir soi-même comme un enfant dans la main de Dieu et méditer sur le fait qu’Il est notre Père. Accepter d’être dépendant de Lui et d’être rassuré par Son soutien et Sa protection (cf. Deutéronome 1.30-31). C’est une étape par laquelle chacun de nous doit passer.
• Dans l’assurance de l’amour du Père, essayer de l’imiter EN PRENANT SOIN DES ENFANTS QUI NOUS ONT ETE CONFIES, dans notre famille et à l’Eglise.
Un coup d’Etat ? Oui, pour restaurer un Etat Catholique et Royal…
Un dernier pour la route…
Par ses choix, par inclinaison intellectuelle et sociale, Emmanuel Macron semble organiser avec grande détermination la déconstruction de la France : déserts médicaux, culturels, férroviaires, abandons des classes, des personnes agées, des services publics en zone rurales, abandon de l’Outre-Mer, ABANDON DES ENFANTS, etc…
Il lui reste encore quatre ans pour nous convaincre que l’on s’est trompé sur son compte.
Dans l’attente, beaucoups de Français, en ce début de XXI° siècle, ont le sentiment d’appartenir à un groupe victime d’une oppression sans issue. Leur idéal politique Catholique et Royal leur parait tellement desespéré qu’ils en viennent à considérer que seul un cataclysme pourra ouvrir une brèche dans le bétonnage idéologique environnant. Ils se réfugient dans l’attente d’un Grand Soir, un évènement inatendu, imprévisible, spectaculaire, surhumain, et pour tout dire, miraculeux, qui leur apportera la délivrance.
Un homme Providentiel, de Sang Royal ? Une aube Royale ?
PS : pardon Alain, mais je reçoit des tonnes de coup de fil ! Ce sujet est brulant et après celà, JE LAISSERAI LA PAORLE A QUELQU’UN D’AUTRES : DITE CE QUE VOUS EN PENSEZ, COMME NOTRE BONNNE IRENE. Pardon de faire long…
Face à la violence sournoise qui s’exerce partout, contre l’âme de nos enfants, contre les Catholiques, contre les traditions de notre Pays, contre son Histoire, nous Royalistes, nous devons opposer SANS RELACHE nos VALEURS CHRETIENNES, FAMILIALES ET PATRITOTIQUES !
La prière des Providentialistes semble suscité en France une forme concrète d’action Royaliste, celle du Groupe Royaliste d’Initiative et de Proposition Politique (GRIPP). LE BUT DE CE COMMENTAIRE N’EST PAS D’ENVOYER LES ROYalistes s’abonner au GRIPP -On m’en a mal parlé- MIA DE NOUS INSPIRER DE LEURS IDEES POUR METTRE EN PLACE UNE ACTION ROYALISTE A OPPOSER AU REGIME RIPOUX-BLICAIN EN PLACE.
Le GRIPP est un mouvement Royaliste. Cela signifie que son objectif est de favoriser la restauration de la Royauté. Le GRIPP se veut Légitimiste mais s’implique DANS UNE DEMARCHE D’UNIFICATION DE TOUS LES ROYALISTES, sous réserve du respect de quatre conditions :
1) mener un combat contre le mondialisme (moratoire de la dette publique, protection de notre agriculture et de notre industrie, retour au franc et réintégration de la Banque de France dans l’appareil d’Etat (alors qu’elle a été privatisée en 1973), retour à l’étalon or );
2) afficher notre vocation Chrétienne (inscription des préceptes Chrétiens dans la constitution, respect de la vie de la conception à la mort, affirmation de la famille fondée sur le mariage d’un homme et d’une femme, RESPEONSABILITE DES PARENTS POUR L’EDUCATION DE LEURS ENFANTS, soutien politique des communautés Chrétiennes dans les pays où elles sont menacées, liberté religieuse dans les Etats musulmans, politique d’immigration : oui à l’immigration, mais une immigration européenne, de culture Chrétienne. Respecter le principe : « cujus regno, ejus religio »);
3) participer aux luttes que mène le peuple avec les organisations qu’il se donne (le GRIPP recherche l’alliance avec d’autres organisations Royalistes, à condition qu’elles respectent les critères définis ci-dessus. Parallèlement, pour répondre à la grave crise que connaissent les populations, le GRIPP pense utile de prendre des contacts avec des organisations politiques, Royalistes et non Royalistes, pour leur proposer de mettre en place ensemble un « Conseil Français de la Résistance à l’Occupant » (CFRO) sous forme d’un cartel d’organisations);
4) considérer que le changement de pouvoir ne pourra se faire QUE par les élections (Usage de la propagande et de l’agitation. La propagande consiste à diffuser globalement l’ensemble des idées portées par un parti politique relativement au projet de société que celui-ci propose. L’agitation consiste à diffuser un message restreint, souvent formulé à travers un slogan ou un mot d’ordre (tel que, par exemple « pour l’enseignement libre », « non à l’avortement » ou encore « Moratoire de la dette publique », etc) illustrant tel ou tel aspect de la mise en oeuvre du projet de société considéré, ou allant dans le sens de cette mise en oeuvre. L’intérêt de l’agitation réside dans la possibilié de mobiliser de larges masses du fait que l’objectif est limité. La décision a été prise par le GRIPP de conduire son action politique en utilisant d’une manière complémentaire l’agitation et la propagande. La propagande doit se développer à la fois sur un plan général et sous forme de slogans spécifiques. Quant à l’agitation, il paraît judicieux au GRIPP de décliner son combat selon trois axes : un axe spirituel, un axe idéologique et un axe économique).
Confiants en la divine Providence, Légitimistes, Survivantistes, Parmistes et Providentialistes -comme des Orléanistes convaincus mais authentiuement Catholiques- peuvent se positionner dans une telle ligne d’action.
Les exemples de christianophobie ou de déconstruction anthropologiques abondent. C’est actuellement le terrain de lutte privilégié de CIVITAS. Cette organisation a pour objectif de construire en France un lobby Chrétien. A la différences des premiers temps où CIVITAS refusait de choisir entre république et Monarchie, il y a à présent, une forte mobilisation sur le thème Catho Tradi avec, très nettement, un important potentiel de développement Royaliste. De plus en plus ne plus CIVITAS semble rappeler la grandeur de Saint-Louis, la mission miraculeuse de Sainte-Jeanne d’Arc et les paroles du pape Pie Vi rapellant que la Monarchie fut “le meilleur des gouvernements” : une ligne qui incarne le coeur de notre Histoire. Le fait que des slogans tels que « La France est Chrétienne et doit le rester » aient été présentés sur des banderolles lors d’une récente manifestation montre que ce mouvement est naturellement porteur d’une alternative politique. Il ne manque qu’un parti Chrétien pour lui donner clairement cette dimension.
Il faut donc aux Royalistes mener le combat à l’intérieur de ce mouvement pour que celui-ci prenne en charge des mots d’ordre ouvertement anti-républicains.
Parallèlement, pour répondre à la grave crise que connaissent les populations, le GRIPP pense utile de prendre des contacts avec des organisations politiques Catholiques -CIVITAS, donc, mais aussi AGRIFF, Contre-Réforme Catholique et ses phalanges catholiques, Royalistes et Communautaristes (nous parlons de communautarisme Chrétien), associaitions de familles Chrétienne, etc…- et patriotes (CPNT, LIBERTAS, Parti de France, UDN, Alliance Royale) pour leur proposer de mettre en place ensemble le « Conseil Français de la Résistance à l’Occupant » (CFRO) évoqué plus haut, ce sous forme d’un cartel d’organisations. Là aussi, les Royalistes trouveront là une direction politique à suivre pour applanir les chemins du Roi.
Une charte des patriotes existe, celle de Florient Filippot, pour ce qu’elle vaut : dépasser les clivages entre la Droite et la Gauche, se rassembler pour l’indépendance nationale, le progrès social, la solidarité et la promotion du modèle culturel Français.
QUE FAIRE CONCRETEMENT ?
Si un vrai Providentialiste doit recommander ses pas et ses actions à Jésus, Marie et Saint-Michel, les trois vainqueurs de Satan comme les trois Lys de France, priant avant toute rencontre avec d’autres Royalistes, comme tout Royalistes il visera un double objectif :
-Faire d’une part connaître autour de lui les nombreuses activités Catholiques et Royalistes de sa province et en rendre compte: Université d’été, Marche pour la Vie, Veillée pour la famille, Sessions de jeunes, pèlerinages de Chartres, de Paray-le-Monial et de Pontmain, Conférences, Fêtes du livre, etc…
-traiter d’autre part de l’actualité et livrer les informations à la lumière de sa foi Catholique et dans la fidélité à sa tradition nationale.
La Charte de Fontevrault, qui s’en remet à Dieu du point de savoir qui doit être Son lieutenant sur le trône de France, rassemble DEJA des politiciens, des historiens et des pèlerins. Intéressant est le potentiel de Français prêts à entendre un discours spécifiquement royaliste. Ceux-là n’ont jamais milité dans le royalisme, ils n’ont pas du sujet une conception idéologique précise, il y voient l’intérêt institutionnel et national, comme Catholique, avant tout : c’est peut être là qu’il faut chercher…
Voilà ce qu’il advient quand on se passe de Dieu, avec des lois infâmes basées sur un raisonnement humain de surcroît malade et dépravé, laissant la porte à toutes les dérives judiciaires.