Sur les traces matérielles d’une des prisons du Masque de fer.

Vue du fort au lointain depuis la mer, amélioré par Vauban (où séjourna le masque de fer.).

L’une des entrées avant d’atteindre l’une des portes fortifiées.

La grille de la cellule.

Echauguette des remparts de la forteresse  sise  dans l’île Sainte Marguerite (île de Lérins)  où fut enfermé  » le masque de fer »  .  Merci à  Maître Louis Chiren à qui nous devons toutes ces photos..

http://www.cannes-ilesdelerins.com/fr/saint-honorat/                                                                                  Louis Chiren :  » Sur l’île soeur voisine Saint-Honorat, une communauté de moine prierait pour le roi caché dit-on. Saint Patrick le créateur du trèfle trinitaire Irlandais a séjourné dans l’île pour s’y former auprès de saint Honorat.

 

0 thoughts on “Sur les traces matérielles d’une des prisons du Masque de fer.

  1. Hervé J. VOLTO

    PARDON, ALAIN, DE LA LONGUER DE CE COMMENTAIRE…

    GENEALOGIE SIMPLIFIEE DU MASQUE DE FER

    1. CHARLE III DE BORUBON, fils de Gilbert de Bourbon-Montpensier et de Claire de Gonzague, soeur du Duc souvrain François II de Mantoue, né le 17 février 1490 à Montpensier, mort le 6 mai 1527 à Rome, fut Sire de Beaujeu, Comte de Montpensier, Comte de Clermont en Beauvaisis, de Forez et de Charolais, Comte puis Duc de Bourbon, Duc d’Auvergne ainsi que Dauphin d’Auvergne,  et de 1505 à 1523, Prince souverain des Dombes.
    Il fut également connétable de France de 1515 à 1521. On le nomme également le CONNETABLE DE BOURBON, et, par son mariage avec sa cousine Suzanne de Bourbon, dernière des Bourbons ditects, il est le dernier des grands féodaux Français pouvant s’opposer au Roi lui-même. Sa mort en 1527 lors du siège de Rome consacrera la fin de l’autonomie de l’Auvergne et du Bourbonnais et leur rattachement au Domaine Royale.

    2. NICOLAS-FRANCOIS JEAN PHILIPPE DE LORRAINE, fils batard d’Antoine le Bon, Duc de Lorraine et de Bar, époux de Renée de Bourbon-Montpensier, soeur du Connétable, qui serait le vrai Père de René, PATERNITE GARDEE SECRETE POUR SOSUTRAIRE L’ENFANT AUX VINDICTES DE LOUISE DE SAVOIE. René, de son vrai nom François-René-Jean-Philippe de Bourbon-Montpensier est né à Bar-le-Duc en 1524, mort le 23 janvier 1577, et fut d’abord évêque de Metz de 1543 à 1548 et de Verdunde 1544 à 1547, puis COMTE DE SION-VAUTDEMONT -en italien Conte di Valdemonte- 1548 à 1577, seigneur de Mercœur -un titre faisant parti des appanages de la Maison de Montpensier, avec le DUCHE DE LA CROIX D’ALBON  (de Sable à la Croix d’Or)- de 1563 à 1569, puis Duc de Mercœur de 1569 à 1577 mais surtout, de 1552 à 1559, régent des Duchés de Lorraine et de Bar pendant la minorité de son neveu Charles III.
    Par son mariage avec margurite d’egmont, il est le père du Duc de Mercoeur et également de la Reine Louise de Lorraine, épouse du Roi de France Henri III.
    Après avoir fait souche dans le Duché de Bar, il tenta en vain de fomenter la Conjuration d’Amboise en vue récupérer les terres Bourboniennes. Le complot ayant échoué, il dut fuir, tombant en mer et fut capturé par des pirates barbresques avant d’être vndu comme esclave à un Princ indien. En Inde, François crééra la souche des Bourbons-Montpensier de Bhopal, cadet des Montpensier.

    3. La branche AINEE des Bourbons-Montpensier passe par PHILIPPE EMMENUEL DE LORRAINE, Baron d’Ancenis, COMTE DE LA CROIX DE MALZIEU (d’Argent à la Croix patricarcale dite de Lorraine de Gueule), Marquis de Nomény, DUC DE MERCOEUR et Duc de Penthièvre par mariage avec Marie de Luxembourg (née le 12 février 1562 à Lamballe et décédée le 6 septembre 1623 au Château d’Anet, Duchesse de Penthièvre de 1569 à 1623, princesse de Martigues, fille de Sébastien de Luxembourg comte puis duc de Penthièvre et de Marie de Beaucaire.

    Le Duc de Mercoeur, gouverneur de Bretagne, né à Nomeny (Lorraine) le 9 septembre 1558, mort à Nuremberg le 19 février 1602, est le dernier ligueur rallié à Henri IV. Il est le fils du Prince Nicolas de Lorraine, Comte de Vaudémont, à l’époque régent des Duchés de Lorraine et de Bar pour son neveu Charles III, et de Jeanne de Savoie-Nemours.
    Henri III se montra généreux à l’égard de son beau-frère : Mercœur fut confirmé dans son titre de duc et pair en 1576, agrégé à la première promotion des chevaliers de l’ordre du Saint-Esprit en 1579 et élevé au rang de Prince de Martigues en 1580 ou 1582. Sa carrière atteint son apogée le 5 septembre 1582, lorsqu’il fut nommé gouverneur de Bretagne par Henri III. Il y séjourna le plus souvent.

    À la mort d’Henri III, invoquant les droits héréditaires de sa femme, « La belle Nantaise », sur la Bretagne -Le COMTE DE PENTHIEVRE est le nom d’un fief breton situé au nord du Duché, entre Saint-Malo et Saint-Brieuc. Le duc Alain III de Bretagne donna le Comté en apanage à son frère Eudes en 1035, qui forma ainsi une branche cadette de la maison de Bretagne.
    En 1569, lors de son érection en duché-pairie, le Comté de Penthièvre comprenait les villes de Lamballe avec la principauté du même nom, Moncontour,  les Comtés de Guingamp et Bourbriac, avec la BARONNIE DE SAINTE CROIX et LA BARONNIE PUIS MARQUISAT DE LA CROIX DU RETZ( d’Or à la Croix de Gueule, devenue plus tard d’Or à la Croix de Sable), Le Comté de Plourhan dit La Rochesuart, l’île de Bréhat, les terres et châtellenies de Minibriac, Belle-Isle-en-Terre et Beaufort d’Ahouet, Le Pontneuf, les ports et havres de Couesnon et d’Arguenon et les seigneuries de Cornouaille, avec leurs dépendances. En 1657, Lamballe, Moncontour, Guingamp, Bourbriac et le Minibriac, avec leurs dépendances, furent vendus et séparés du duché, pour y être réintégrés en 1666.

    Il établit donc un gouvernement indépendant à Nantes et titra son fils Louis « PRINCE ET DUC DE BRETAGNE ». Il tenait sa cour à l’hôtel de Briord situé dans la rue de ce nom et fit fortifier le quartier du Marchix autour de l’actuelle rue homonyme. Les CROIX DE LORRAINE du château de Nantes, comme à Dinan, furent sculptées sur les fortifications qu’il faisait renforcer.

    4. Ce qui fait du Prince Louis ou LOUIS JEAN HENRI DE BOURBON-MONTPENSIER DE SAINTE-CROIX LA CROIX, DUC DE BRETAGNE, l’héritier par sa mère des PRINCEs DE MARTIGUES : à son extension maximale, la Principauté de Martigues comprendra outre la vicomté de Martigues, les Baronnies de Berre, d’Entressen, d’Istres, de Lançon, de Saint-Mitre et de Châteauvieux, ainsi que les seigneuries de Ferrières, de Jonquières, de Fos, de Châteauneuf, de Rognac, des Pennes et de Carry. Également l’héritier des PRINCEs DE LAMBALLES : avec les Duchés d’Amboise et d’Arc-en-Barrois, le Marquisat d’Amboise qui est le titre donné au fils Aîné du Duc d’Amboise, et le Comté de Guigamp, un ensemble de terres Bretonnes et profondément Catholique.

    Marie du Luxembourg est un personnage important de l’histoire du duché de Bretagne : lointaine descendante de la duchesse Jeanne de Penthièvre et de son mari Charles de Blois, dont l’un des panages est le COMTE DE LA CROIX DE BLOIS, elle a ambitionné de rétablir la souveraineté du Duché, et de monter sur le trône avec son mari, le Duc de Mercœur, beau-frère du roi Henri III et gouverneur de Bretagne par la faveur de celui-ci. La victoire de Henri IV l’empêche de réaliser son projet, qui n’était pas dépourvu de réalisme tant elle était aimée des Nantais, et leur fils doit être caché : il sera pour celà envoyé secrètement dans le Midi avant d’être transféré en Italie à Mantoue, où il fera souche : son fils sera l’homme au Masque de Fer et ses tritres seront usurpés par les fils batards dìhenri Iv, ceux de Louis XIV et… par les Orléans.

    5. Selon la thèse du Comte de Valori, rapporté par Jean-Christian Petitfils dans son livre LE MASQUE DE FER (Perrin, p.266), le Masque de Fer aurait été Don Juan de Gonzagues, frère naturel de Charles IV de Mantoue. En effet, Louis de Bretagne se marira secrètement en 1637 avec MARIE DE MANTOUE ou MARIE DE GONZAGUE(en italien, Maria Gonzaga) (Principessa di Mantova, duchessa di Mantova, marchesa del Monferrato) (née le 29 juillet 1609 à Mantoue, dans l’actuelle Lombardie, et morte le 14 août 1660 dans la même ville), princesse italienne de la Maison Gonzague, et veuve de Charles de Nevers-mantoue (1609-1631). A cause de la Guerre de Sucession de Mantoue, le mariage entre Louis de Bertagne et Mariue de Mantoue dut rester secret : leur fil, Jean-henri Hercule de Bourbon-Montpensier de Sainte Croix de La Croix, Duc de Bretagne, dit JUAN DE GONZAGUES, sera prèsenté comme le fils batard de Marie, eu d’un beau capitaine de la garde, et donc comme demi-frère de Charles Iv de Gonsague, dont il deviendra le premier ministre vant de tremper dans le Complot de Roux de Marcilly et devenir l’homme au Masque Fer…

    LA DESCENDANCE DU MASQUE DE FER SE PERD APRèS SON FILS, LOUIS-HENRI, DIT LE GRAND AMIRAL DE VALOIS…

    relire Hervé VOLTO. LE SECRET DU GRAND MONARQUE | La Charte de …
    https://chartedefontevraultprovidentialisme.wordpress.com/…/he…

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  2. Hervé J. VOLTO

    Identité : inconnue…
    Activité : Inconnue…

    On ne connait que le nom : HENRI-Louis de Bourbon-Montpensier de Sainte-Croix de Valois DE LA CROIX, duc de Bretagne. Et le blason : Hervé Volto, CJA. LES ARMES DE FRANCE | La Charte de Fontevrault
    https://chartedefontevraultprovidentialisme.wordpress.com/…/he…

    Catholique d’une grande hauteur de sentiements, tel un Chevalier de Malte au service des indigents, le Roi caché HENRI V DE LA CROIX aiderait les gens dans le besoin, menant une vie retirée et pénitante, dans l’attente du jour de Dieu : https://www.youtube.com/watch?v=4izq4PguFQs stirngrau Pilot Excerts
    https://www.lespac.com/quebec/…collection/chevrolet-corvette_…

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  3. Hervé J. VOLTO

    PS : ET JE M’ARETTE LA !

    Henri de La Croix descendrait PAR SON PERE de la BRANCHE AINEE DES CAPETIENS, celle du Masque de Fer – Les Bourbons-Montpensier de La Croix- et PAR SA MERE de… Louis XVI ! par le vrai Louis XVII évadé de l’enfer du Temple et descendant de la BRANCHE COUPEE DES LYS. Si cette dernière est aujourd’hui apparentée avec les Bourbons espagnols (Sévilles, Deux-Siciles, Parme), chercher à le retoruver avant l’heure de Dieu serait exposer de grandes familles espagnoles et italiennes à l’opprobe, voire au danger. Prions pour la révélation du Grand Monarque, QUI QU’IL SERA…

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    1. Louis Chiren

      Non loin de l’entrée du fort royal, se trouve une pièce de canon découverte à 41 mètres de profondeur au nord de l’île Sainte Marguerite.
      C’est un canon de siège classique Français de 24 en bronze d’époque Louis XIV.
      Son calibre est de 157 mm pour une longueur de 3,68 mètres et un poids de 2,95 tonnes.
      Il a été fondu à Strasbourg en 1715 par Antoine de Bercan (commissaire des fontes).
      Il porte la devise voulu par le roi soleil « Ultima Ratio regum » (le dernier argument des rois).
      Ce sont les armes du duc Louis Auguste de Bourbon, duc du Maine et grand duc de l’artillerie de 1694 à 1736 qui l’identifie.
      Ce dernier était le fils adultérin de Louis XIV et de la marquise de Montespan, il sera légitimé.
      D’un tempérament pieux et effacé, c’était un érudit mais un piètre officier.
      Son père le protégera le plaçant entre les princes de sang et les ducs et pairs.
      Il épousera madame de Charolais fille du prince de Condé.
      Cette dernière, fière et ambitieuse le mêlera plus tard à un triste complot.
      En 1714, Louis XIV signera un édit l’appelant tout comme son frère le comte de Toulouse ainsi que leur descendance à la succession royale en cas de vacance du trône.
      Ils prendront place au dernier rang après les cinq princes de sang légitime.
      Louis XIV lui dira plus tard ayant fait coucher sa décision sur un testament:
      « Vous l’avez voulu, mais sachez que quelque grand que je vous fasse et que vous soyez de mon vivant, vous n’êtes rien après moi, et c’est à vous après à faire valoir ce que j’ai fait pour vous, si vous le pouvez ».

      On distingue sur le fût, les armes du roi surmonté du soleil à 32 rayons et sa devise « NEC PLURIBUS IMPAR » (il n’en est pas de plus grand).

      Enfin ce canon est baptisé « l’inconnu » comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessous. Le mystère est donc bien renforcé autour de la dynastie royale, du masque de fer, du souvenir de ce sang illégitime et légitime.
      Le poids de l’histoire est bien présent dans ce fût de canon et nous attendons du Ciel le déclenchement des tirs vers cette hydre à la solde du dragon car après les prières du petit reste succédera sans doute « le dernier argument du ROI ».

      GESTA DEI PER FRANCOS !

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          1. Louis Chiren

            Cette illustration est née les 28 octobre et 1er novembre 2018.
            Le 28 nous fêtions la fête du Christ Roi qui est le seul juge et le vrai Roi « Iudex et Rex ».

            Nous nous rappelons ce même jour la victoire de l’empereur Constantin, victorieux au pont Milvius sur le Tibre. Une vision de la Croix dans le ciel et les mots « In hoc signo vinces  » furent les miracles du moment.

            Le 1er novembre nous fêtions tous les saints nous recueillant pieusement en pensant à ces élus qui s’élevèrent par leurs vertus.

            Le Lys que voici est ceint d’une couronne de trèfles. Sans l’avoir voulu il y a vingt six trèfles qui la composent. C’est le nombre de générations qui va du roi David au Christ et selon l’évangile de saint Matthieu le même nombre allant d’Adam à Moïse. Il illustre le poème en l’honneur de saint Patrick, le saint patron de l’Irlande qui passant par les îles Lérins pour se former auprès de saint Honorat créa le trèfle trinitaire, symbole puissant, promesse de Victoire.

            Souvenons-nous également qu’en 1690, Louis XIV en échange d’un appui militaire suite au renversement du roi Jacques II d’Angleterre et d’Irlande en 1688 et de l’arrivée de réfugiés jacobites constituée d’une majorité d’Irlandais, exigea qu’un contingent de cinq régiments d’infanterie Irlandais passe à son service. Tout d’abord composés majoritairement de jacobite anglais, les « oies sauvages » c’est-à-dire les Irlandais arriveront en masse.

            Les historiens estiment à environ 19000 hommes le contingent venu constituer ces régiments au service de la couronne après le traité de Limerick. Le « vol des oies sauvages » comme on le nommait à l’époque continuera jusque vers la fin du XVIIème siècle avant que le roi-soleil ne licencie une partie des régiments étrangers.
            Cette immigration jacobite aura donné quatorze lieutenants-généraux et dix-huit maréchaux de camp aux armées du roi de France.

            Ainsi sur cette île chargée de mystère par la présence du masque de fer, béni par le passage de grands saints, nous pouvons penser qu’une protection surnaturelle couvre la personne du roi caché.
            Le souvenir de ces régiments Irlandais au service du Lys de France perdure et doit conforter notre espérance par le trèfle trinitaire de saint Patrick.
            Car si telle est la sainte volonté du Très Haut, le roi qui sera sacré à Reims lui rendra hommage et le servira pour que la Croix soit louée et adorée avant que n’advienne le retour du maître dans sa gloire.
            Par ce signe il vaincra étant annoncé comme porteur du vocable de la Croix.

            https://louischiren6.wixsite.com/peintreetpoete/le-trefle-gardien-du-lys

          2. Louis Chiren

            Trois jours après la création de cette page, je me suis aperçu d’un signe magnifique du Ciel. L’illustration est née le 28 octobre jour anniversaire de la vision de l’empereur Constantin et fête du Christ roi. Et bien parmi les cinq régiments venus renforcer l’armée du roi de France et dont plusieurs s’illustreront à la bataille de Fontenoy, la phrase apparue dans le Ciel aux yeux de l’empereur romain figure en bonne place sur leurs drapeaux régimentaires. Comme vous pouvez le constater sur celui du colonel du régiment de Berwick fondé en 1698 « In hoc signo vinces ». Comprenne qui voudra.

  4. Hervé J. VOLTO

    Bravo, Louis Chiren !

    Voici le Témoignage de Blaivilliers -un mousquetaire sous les ordres de m. Saint-Mars (cjhef des mousquetaires à la garde du masque de Fer) à l’île de Sainte-Marguerite- rapporté par son cousin, Formanoir du Palteau :

    -M. de Saint-Mars appelle son prisonnier “Mon Prince”… Le gouverneur et les officiers restaient devant lui , debouts et découverts, jusqu’à ce qu’il les fit couvrir et s’assoir… il allaient souvent lui tenir compagnie et manger avec lui…

    C’est cette dernière citation qui semble nous donner la solution de l’énigme : selon le protocole de court établi par Henri IV, lorsque des gentilshommes avaient l’insigne privilège d’aller manger avec le Roi, ils devaient rester devant Sa majesté, debouts et découverts, jusqu’à ce que le Souverain les fit assoir… c’est à dire que les mousquetaires sur l’île de Sainte-Marguerite se comportaient avec le prisonnier masqué COMME S’ILS ETAIENT EN PRSENCE DU ROI DE FRANCE !

    C’est Voltaire qui lancera l’histoire, l’Homme au Masque de Fer devenant, sous sa plume acérèe un symbole de l’arbitraire Royal. Et depuis plus de trois cents ans, le mystère du Masque de Fer fascine: on prête à ce prisonnier pas moins de cinquante visages possibles. Le frère jumeau de Louis XIV, celle de Voltaire, c’est la thèse la plus soutenue, celle qui alimenta le plus de romans ou de films. Là où la théorie du jumeau s’effondre, c’est que la naissance de Louis XIV se passa en public, comme toute naissance Royale: la substitution d’un jumeau de trop est alors impossible.

    POURQUOI PAS UN COUSIN AINE ALORS ? Le Masque de Fer, incarnation en tout cas de la permanence de la Légitimité Royale ? Symbole, en fait, du Roi Perdu…

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  5. Louis Chiren

    Merci également pour vos apports historiques et pour votre soutien à monsieur Texier en tant que pilier de la Charte.
    Je vous confierai que j’ai un faible pour l’Italie, bassin de notre civilisation (et ses grands artistes….). Au moment où l’on nous rabat les oreilles sur l’Europe, nos rois ne les ont pas attendu, le sang de l’Europe coule dans leurs veines et plus encore…
    Dieu fasse que nous assistions au grand Jour selon sa volonté. Beaucoup seront surpris selon moi mais après les cris et les grincements de dents, c’est le silence et le calme qui prévaudront.
    La faiblesse est le propre de l’homme, signe de notre péché mais le Sacré-Cœur veille, la sainte Vierge nous console et Sainte Anne dans cette histoire a son rôle à jouer comme je vous en ferai part prochainement.

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  6. Hervé J. VOLTO

    Attention : si LA NAISSANCE fait le PRINCE, le SACRE fait le ROI ! Charles X a été Sacré alors que nous savons que Louis XVII, désigné par LES LOIS FONDAMENTALES DU ROYAUME DE FRNCE pour succéder à Louis XVi son père, était vivant à l’étranger.

    LE CHOIX DIVIN SEMBLE SUPERIEUR A LA LOI DE PRIMOGENITURE.

    Et c’est le Marquis de La Franquerie qui a parfaitement définit la Royauté Française :

    –La Royauté en France est de choix Divin, Dieu l’a instituée pour défendre l’Eglise et assurer le règne du Sacré-Coeur et du Coeur Immaculé de Marie. Il la conserve par la LOI SALIQUE, grâce à laquelle le Souverain est toujours issu de la même Race, celle du Christ, élue par le Seigneur au temps de David et confirmée par St Rémi et Ste Jeanne d’Arc. Il l’a gouverne en se réservant le droit de choisir comme Roi dans cette Race Davidique, le Prince le plus Saint et le plus digne de régner, la loi de primogéniture s’appliquant normalement HORD LE CAS DE CHOIX DIVIN, mais toujours à l’exclusion PERPETUELLE des femmes et de leur descendance. Le Souverain est donc Roi directement par la grâce de Dieu et non pas par l’autorité du Siège-Apostolique. A Dieu revient le choix du Roi, mais toujours dans cette Race Davidique, au peuple le filial consentement, au Sacerdoce le Sacre.

    Reply
  7. Hervé J. VOLTO

    MERCI, Louis Chiren, de vos compliments ! L’Italie est la patrie de ma mère -si mon père est Pied-Noir italien né en France et grandit Français, ma mère est nèe italienne, originaire de Naples- et de mon épouse nèe à Parme la même année que moi. Mon épouse, historienne de l’art de formation, pourrait vous dire mieux que moi que, comme vous le dite bien, l’Italie est le berceau de notre civilisation (et ses grands artistes….) !

    Ce n’est peut-être pas pour rien que la Divine Providence ai permi aux Christianissimes Bourbons de régner également sur le Duché de Parme d’une part et sur le Royaume des Deux Siciles d’autre part…

    Reply
  8. Pingback: “Livre d’or” des consultations du blog de la Charte de Fontevrault et du royalisme providentialiste ( Octobre 2019) | La Charte de Fontevrault

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